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I'm Not Like Y... Can I Try This?... ⚥ Arouard Empty I'm Not Like Y... Can I Try This?... ⚥ Arouard

Jeu 16 Avr 2020 - 16:01
I'm Not Like Y... Can I Try This?...
Quand ta mère t'avais mis au monde, tu compris immédiatement que ta vie allait déjà être réglée comme du papier à musique.
A commencer par ton Nom, Edouard William Wahsem. Ce nom Wahsem, tu l'avait hérité de tes parents, déjà populaire au sein de Londres, ta mère était une populaire actrice, ton père, un Sénateur influent.

A peine né qu'on t'avais mis dans les bras de celle qui deviendrais ta nourrice et gouvernante... Deuxième maman, ce fut elle qui entendis ton premier mot, vit tes premiers pas et qui fut toujours la pour toi. Alors que tes parents se moquaient pas mal d’avoir mis au monde un enfant, tu grandissais, même si au fond de toi, tu étais totalement perdu.

Quand ton petit frère naquit, tu avais 4 ans, déjà capable de lire et de t'exprimer normalement grâce à tes précepteurs, tu te demandais si ton frère aurait la même vie que la tienne, aussi tiré à quatre épingles.

Mais pas du tout.

Toi qui était l’aîné, tu te pris toute les responsabilité dans la tronche, alors que Alice, chouchou de ta mère, prenait des cours de théâtre, tu bûchais sur la politique pour rejoindre ton père. Tes notes étaient excellentes, tu avais appris le français et l'allemand...
Mais cette vie ne te permettais pas de faire se que tout les adolescents de ton âges faisaient, tu ne parlais avec tes parents que pour parler de ton avenir, entre ta mère qui te décrochais à peine un mot alors qu'elle vantait le talent de ton frère pour le théâtre, ton père te défendait par rapport à tes nombreuses tactiques politiques fortement appréciée, malgré ton jeune âge...

A ça, tout le monde te disait d'aller prier, car oui. Votre famille était terriblement chrétienne, tu avais connu tout les dimanches à l'église, toute les fêtes, les prières avant de manger, avant d'aller te coucher... Et autres...

Tu ne savais même pas si tu y croyais.

Mais tu suivais le mouvement, t'avais pas vraiment le contrôle de ta vie, tu étais encore et toujours perdu, même sur toi même.
Jeune homme de 20 ans aux longs cheveux noirs, tu faisais tourner ta bague de chasteté, en regardant dehors... Tu allais rencontrer ta fiancée. Elle avait 18 ans, tout juste majeure de deux jours, tu venais de la rencontrer, elle avait...

Elle venait de passer la porte de l'église.

La voilà votre première rencontre, vous étiez à votre cérémonie de mariage, tout simplement. Et ta bague de chasteté devient ton alliance, anneau en or... Elle était très jolie ta fiancé. Mais tu aimais encore plus sa robe, tu y avais réfléchis encore plus quand elle l'avais retirer pour votre nuit de noces...
Et tu n'avais pas assuré plus que ça, toi jeune puceau tu t'y étais vraiment pris comme un manche, et tu ne comprenais pas le sang qui coulais entre ses cuisses, t'avais flipper comme jamais, tu t'étais juste reculer et ta femme pleurait de douleur, mais elle t'expliqua que c'étais normale, que toute les femmes saignaient et avaient mal durant leur première fois. Et tu avais fait de ton mieux ensuite...

Votre vie était routinière... Tu détestais ça.

A tes 21 ans, te voilà promus Sénateur aux côtés de ton père, un des plus jeune de ta génération, tu étais souvent pourtant la risée des autres avec tes cheveux longs, mais tes cheveux avaient une autre fonction, une fonction barrière contre les autres quand tu étais gêner.

Tu étais aussi invité à de nombreux événements, les galas, les soirées, les ouvertures, les débats... Tu avais visiter Buckingam Palace, tu avais pris le thé avec la Reine, tu étais malgré tout assez populaire. Mais tu savais à quel point tu te voilais la face.
Et ta nourrice le savait, toujours à tes côtés, cette femme était devenue ta meilleure amie, dans l'intimité, elle avait déjà surpris le fait que tu te maquillais, ou essayer la robe de mariage de ta femme... Elle avait cacher cette partie de toi à tous et t'encourageais à être toi même...

Mais t'avais peur des autres.

C'est durant tes 23 ans que tu te posa également des questions sur ton orientation sexuelle, avant tu ne l'aurais jamais remis en doute, mais ton Majordome Daniel était vraiment... Il te plaisait. Vraiment. Et c'est sans doute se qui te portera préjudice plus tard dans cette année la ...

Tu avais été inviter à un Gala de charité. Y allant avec Clémentine qui comme toujours était ta douce amie en plus de ta femme, tu te présenta la bas, et accepta le verre de Champagne qu'on te tendait... Qu'elle erreur que tu te demande encore si tu aurais fait la même avant d'avoir connu celui qui allait changer toute ta vie.

La bousculer, comme jamais.

Tu finissais ton verre en parlant avec un cercle restreint de personne, et tu t'éloignes pour prendre un peu à manger.
Tout d'un coup, tu te sens mal, t'as chaud. Tu ne sais pas pourquoi.Tu veux juste prendre l'air.

Encore une erreur.

Il n'aura fallut que peu de temps pour que 10 personnes ne te foutent dans un van... Pour s'occuper de ton cas, l'investigateur? Celui que tu avais trouver à ton goût. Qui avait vu du très mauvais œil ton attention et avait décidé d’accéder à ta demande.

Et quand ils furent satisfait, tu te sentais sale certes, mais honteux d'avoir aimer ça, sans doute à cause des drogues... Mais ... Au fond tu ne savais pas.

Comme depuis le début. Tu étais perdu.

Et maintenant tu gisais dans le caniveau, débraillé, encore shooté, les cheveux trempant dans l'eau croupie, les larmes encore sur les joues. Tu voyais flou, trop flou, presque plus rien... Tu commençais à perdre connaissance. Et tu te demandais encore si tu allais te réveiller... Est-ce que ce serais une grande perte?..

Sans doute pas.

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I'm Not Like Y... Can I Try This?... ⚥ Arouard Empty Re: I'm Not Like Y... Can I Try This?... ⚥ Arouard

Ven 11 Sep 2020 - 0:31

I'm Not Like Y... Can I Try This ?


Philadelphie, l’an 2013


Quand tu repenser à ses sept dernières années tu te disais que les choses avaient bien changé, jamais tu n’aurais cru que cette soirée-là aller changer ta vie à jamais. Te faire prendre un tournant que tu n’avais même pas imaginé. À cette époque tu venais d’arriver dans la ville avec les forains, tu aimes dire que tu étais venu uniquement pour retrouver Lula cependant, c’était un mensonge qui cachait une toute autre vérité. La loi de votre colonie interdisait tout contact avec les humains, venir sur terre était interdit et sévèrement punis. Tu faisais régulièrement des escapades car cette interdiction faisait que tu avais très peu de chance de te faire pincer et tu avais rencontré Evie et Martin, des forains qui t’avais appris en partie à vivre parmi les humains. Tu leur as longtemps caché ta nature jusqu’à ce que le hasard leur fasse découvrir quel genre d'amis tu étais. Heureusement ils avaient bien pris ta nature contre toute attentes, tu les fasciner, de ton intelligence à cette découverte que tu étais pour eux qui jusqu’à ce jour n’avais jamais rencontré quelqu’un de ton espèce. Ainsi alors que tu disais à tes congénères que tu faisais des explorations, tu venais sur terre. Comme ce soir, nouvelle ville voulait dire tournée des bars chez les forains et rien ne déroger à cette règle. Tu l’avais appris avec le temps, ses « gitans » comme disaient les humains, étaient en réalité ce qui se rapprocher le plus pour toi d’une famille, tu en avais une certes mais, complètement dysfonctionnel. Tu avais compris grâce à eux pourquoi tu ne te sentais pas à ta place dans l’océan, le monde terrestre était bien plus attrayant, vaste et de paysages à couper le souffle. D’accord la mer n’avait rien à lui envier, elle posséder aussi ses parties qui vous ensorcelez rien qu’en posant les yeux dessus mais, en vrai leur beauté n’était pas égal. Elles étaient si différentes. Tu entendais le chant de la liberté des humains t’appeler, tout ce vice dans lequel ils se noyaient sans se soucier du lendemain. Ils n’avaient pas comme vous, cette peur de ne pas survivre. D’être dévoré par un prédateur ou bien encore de craindre que leur espèce s’éteignent. Si la vôtre était en voie d’extinction à cause du taux misérable de natalité, la leur pas contre exploser. Cet appel t’avait attiré dans ses filets et à présent tu en étais coincé. Tu détestais toujours et pour longtemps les humains, ça, ça n’avait pas changer. Tu trouvais juste qu’ils n’étaient pas méritant de ce qu’ils possèdent, en étant sur terre tu mettais alors ton plan en exécution : vengez le peuple marin des méfaits des humains. Tu allais purifier cette terre aux noms de tes ancêtres, c’est tout ce qu’ils méritent après tout. Tu étais bien loin d’imaginer qu’au-delà de tes fantasmes de vendetta inattendue, tu allais finir par croquer le fruit défendu dont tu t’imposer. Celui de l’amour.

22H44

La tournée s’est passé comme à son habitude, magnifiquement bien, tu as bu comme jamais tu as bu, tu as tapissé la rue de ton vomis plusieurs fois, tu avais braqué une supérette pour pouvoir enlever ce goût horrible dans ta bouche. Evie et Martin étaient déjà chez eux depuis une petite heure, la jeune banshee n’avait pas pour l’habitude de boire et ce soir elle avait fini sur le bar à chanter sur du Madonna pendant que le rouquin essayé tant bien que mal de la faire descendre avant qu’elle ne se blesse. Tu étais resté avec les autres, ayant trouvé une proie pour finir cette fête en beauté. C’est dans les toilettes que tu avais chanté pour lui, que tu l’avais dévoré alors que le brouhaha du bar cachait ses cris de souffrances, quelle bonne idée que tu avais eue en bloquant cette porte. Personne ne viendrait le sauver et une vingtaine de minutes plus tard c’est repu que tu avais pris à ton tour la tangente laissant les derniers fêtards à leur sort. Il pleuvait à grosses gouttes dehors mais ça ne te gênait pas tu adorais la pluie, marcher sous encore plus, tu penchas un moment la tête vers le ciel profitant de ses gouttes roulant sur la peau diaphane de tes joues à ton cou puis tu les sentais se perdre sous le tissu de ton débardeur blanc. Tu souriais d’un air détendu passant une main dans tes boucles brunes qui à ce temps tu arrivais aux épaules. Tu continuas ton chemin chantonnant légèrement et tandis que tu trouvais un abri d’infortune à l’abri de l’eau pour fumé une clope, tu entendis au loin une camionnette arrivée, une drôle d’odeur régner dans l’air au fur et à mesure que le véhicule s’approcher. Tu les voyais au coin de la rue avancer lentement jusqu’à soudainement freiner puis balancer quelques choses par l’arrière, les sourcils froncer tu regardas la scène sans un mot, de loin tu reconnu une silhouette. Jetant le reste de ta clope tu t’approchas rapidement, croyant au début que ses salopards abandonnés un animal, tu détestais ça, sur terre tu avais vu bien nombre d’humains abandonner leurs animaux et ça te révolter toujours autant. Cependant, avec ta veste et ton pantalon de costume bleu ciel tu étais bien voyant, à peine t’avais vu qu’ils se barrer déjà tu couru légèrement derrière la camionnette en hurlant une flopée d’insultes.

« - Revenez ici bande de lâches ! Soyez des hommes au lieu de fuir bande de sous-merde !! »

Tu t’arrêtas en grognant avant de cracher au sol et alors que tu te retournais pour récupérer le pauvre malheureux, tu t’arrêtas soudainement en voyant qu’au lieu d’un pauvre animal ce n’était qu’un humain. Ton regard émeraude se verrouille sur lui balayant son corps en entier avant de s’encrer dans ses pupilles. Il était faible. Terriblement faible. Le prochain prédateur qui allait passer n’allait sûrement en faire qu’une bouchée. C’était typiquement le genre de triton ou sirène que certaines familles de la colonie abandonnées, considérant que ses faibles n’étaient qu’un fardeau. Tu plissas un peu les yeux, ton nez se retroussa de dégoût, une odeur était imprégnée sur lui, tu ne savais pas quoi mais ça te donnait presque envie de gerber. Ça te donna encore plus la haine contre les personnes dans la camionnette, faire du mal aux autres étaient une chose mais de ne pas finir ce qu’on commence… Ça avait le don de te faire sortir de tes gongs. Soit-on fait les choses bien soit on ne fait rien. C’est tout. Lentement tu t’avance et du bout du pieds tu secoue le corps gisant dans le caniveau, tu n’étais pas fou cette personne était bel et bien vivante puisque tu avais bien vu qu’il semblait respirer. Un gémissement de douleur te répond, tu t’abaisses lentement tes doigts retire les cheveux cachant le visage de la victime, tu lâches un petit « ho » quand tu remarques qu’il s’agit d’un homme. Tu ne l’aurais jamais cru, son gabarit était tellement…. Rachitique ? À cause de ses connards le souffre-douleur d’un soir ce retrouvé sous ta responsabilité, on vous prend pour des sauvages mais pour vous ils étaient normal d’abréger les souffrances de quelqu’un.  N’était-ce pas ça l’humanité au fond ? Ta main se pose donc sur son cou, tu allais faire simple, avec la force que tu avais en quelques secondes ses poumons lâcheront et il pourrait trouver le repos éternel. Ses pupilles ne te lâchaient pas du regard et les tiennes ne quittaient pas les siennes, il avait sûrement compris ce que tu allais faire. Tu lui esquissas un petit sourire désolé... Toute façon qu’est-ce que tu pouvais bien faire d’autres ? Une famille Ariel, c'est des gens qui restent à tes côtés qu’importent les épreuves, c’est ceux qui te tendent la main lorsque tu es au plus bas. Qui sont là pour partager tes joies et tes peines. C’est ça une famille fiston.

Cette citation de Nils te revient soudainement à la mémoire, cette lueur que cet homme avait dans les yeux te faisait penser à toi-même. À ce soir où tu avais été récupérer par les forains alors que tu vagabonder nu dans les rues de Berlin, tu étais aussi perdu et blessé que lui. Tu soupiras une nouvelle fois en débattant avec toi-même pendant quelques secondes puis tu te levas l’attirant avec toi dans ta montée. Tu le portas pour le mettre sur ton épaule alors que tu repris tranquillement ta route comme si rien ne s’était passer. Une vingtaine de minutes plus tard tu étais dans ta caravane, en compagne de Shelly qui rien ne lui échapper dans le camp, à peine tu avais trois pas qu’elle était déjà au courant que tu ramenais quelqu’un. Connaissant elle aussi ta nature, elle crue tout d’abord que tu ramenais une proie, ce qu’elle t’avait fortement interdit pour ne pas mettre en cause la fête. Finalement, lorsqu’elle t’écouta et examina l’homme qui s’était sous la fatigue endormis, elle t’éclaira sur la possible véracité de ce qu’avais pu subir le jeune homme. Au vu de ses plaies et de son endroit saignant, elle évoqua un viol ou bien de la torture, elle reconnaissait cet homme qu’elle avait déjà vu quelques fois à la télé. Il était sénateur de Philadelphie et donc un bon moyen d’obtenir les grâces de la ville si vous veniez à le sauver. Elle s’occupa de le soigner comme elle put, tu l’assistas minutieusement après tout tu avais compris l’enjeu de cette situation. Et pour une raison inconnue tu n'arrivais toujours pas à arrêter de reluquer le gringalet.



1H34

Shelly est repartie dans sa caravane, elle dit avoir fait de son mieux pour lui et elle a même préparer un de ses thés spéciaux. Elle t’a donné une crème à base de tes écailles, qu’elle a découvertes ayant un pouvoir guérissant, elle t’imposa de le surveiller toute la nuit et de lui en appliquer quand tu pouvais. La garde ne fut pas si longue que tu le pensas à peine tu avais fini de rouler un joint avant de lui mettre de la crème, que celui-ci s’était réveiller alors que tu lui en badigeonnais le ventre. Tu t’arrêtas aussitôt en t’éloignant, la foraine avait dit de faire ça au cas-où pour ne pas l’effrayer. Te détournant de lui tu allas jusqu’au petit bureau au fond de la caravane qui n’était pas si grande que ça, tu récupéras ton joint que tu allumas et fumas tranquillement laissant l’homme reprendre à son rythme ses esprits. Tu rangeas un peu quelques objets qui traînèrent au sol, tu n’étais pas du genre ordonné et bizarrement tu n’avais pas envie qu’il voie tout ça. La marijuana fait son effet, tu t’impatientes alors tu reposes ton attention sur lui.

«  - Tu es faible. Trop faible. Déclares-tu d’un air réprobateur, je peux t’apprendre à devenir fort si tu le veux et plus personne ne te fera souffrir. »

Qu’est-ce qui te prenais Ariel ? Ce n’était pas dans tes habitudes, dans l’eau tu aurais sûrement passé ton chemin et laisser faire leurs travails aux prédateurs, tu n’aurais même pas accordé la moindre importance. Néanmoins tu avais compris que c’était peut-être d’une part à cause de ça que votre race s’éteignait, malgré la cruauté de certains humains, d’autres pouvaient se montrer altruiste. Et c’est tout ceci que les forains essayaient tant bien que mal de t’apprendre, c’était dur pour toi de changer tes habitudes mais, étrangement ce pauvre homme incarné l’espoir que tu puisses changer. Tu tiras une longue bouffé sur ton joint levant ta main pour caresser les cheveux de l’homme face à toi.

«  - Tu as de beaux cheveux. »

Tu agissais spontanément sans réfléchir il est vrai, tu étais abrupte mais, en même temps tu ne savais pas trop comment te comporter avec lui. Tu comprenais ce qui se passait mais tu n’arrivais pas à te mettre à sa place, tu avais été élevé pour être un jour roi, jamais tu ne faiblissais et les nombreuses carcasses de créatures sous-marines que tu avais combattue entreposer dans un coin de ta colonie comme trophées. Tu n’avais jamais été confronté à des congénères sensibles, faible ou encore non-animal. Vous passiez plus votre temps à vous battre qu’à vous serrer dans les bras. De plus Shelly avait parlé de peur, du pouvoir qu’il avait et qu’il pourrait vous faire. Il pouvait aussi bien vous bénir que vous maudire et après tout ce que les voyageurs avaient fait pour toi, tu ne pouvais pas tout foutre en l’air juste en étant toi-même. Tu retiras ta main avant de lui tendre la roulée fumante de sa drogue, tu repris une nouvelle fois la parole.  

«  -  Tu en veux ? Shelly dit que ce n’est pas bien mais, c’est très relaxant, ça te fera oublier… Ses cafards ne méritent que la mort et tu leur offriras. »

Ce que tu aimais le plus dans ta vie, c’était la vengeance, lancinante ou brute, froide ou chaude. L’importance était de laver l’honneur qu’on t’avait salis. Ce qu’il lui avait fait aujourd’hui et il mériter de leur rendre la pareille. Le chemin serait peut-être long, très long, mais il sera là pour les voir  rendre leur dernier souffle comme ils avaient mit un terme à sa vie d’avant sans qu’il ne le sache encore.
I don't know what I'm supposed to do, haunted by the ghost of you
Oh take me back to the night we met
Pando
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I'm Not Like Y... Can I Try This?... ⚥ Arouard Empty Re: I'm Not Like Y... Can I Try This?... ⚥ Arouard

Dim 13 Sep 2020 - 16:41
I'm Not Like Y... Can I Try This?...
Ta vie n'étais pas si importante, cette phrase tournais dans ta tête, après tout tu n'était qu'un sénateur, même si tu n'avais pas envie de l'être, tu avais simplement suivit tout se que ton père voulais que tu sois. Quel porte ça t'ouvrirais au final? Celle de la corruption? On allait pas se mentir tu n'étais pas un exemple d'honnêteté, tu avais appris avec ton père que il suffisait simplement d'accepter les lois qui te rapporteraient le plus de billet verts... Mais dans ces cas la... Pourquoi est-ce que tu avais fait ces longues études? Juste pour au final rester le cul sur les fauteuils a approuver les lois des fois tellement insignifiantes... Ou des fois surtout aberrantes... Mais tu n'avais pas ton mot à dire Edouard, tu devais suivre et ne pas donner ton avis, en politique avoir un avis qui diverge pouvais te valoir tellement de problème... Ton père t'avait former, tes stages t'ont former. Tu étais l'un des leurs, souriant quand il le fallait, étant discret quand il le fallait, suivant les opinons et argumentant quand il le fallait.

Tu n'étais pas libre d'avoir un esprit à toi, une opinion que tu aurais toi même imaginer, ou bien d'avoir totalement un libre arbitre. Si tu avais pu choisir Edouard... Qu'est-ce que tu aurais fait? Penses-y alors que les coups de Reins font couler plus vite tes larmes sur tes joues...

Honnêtement? Tu aurais voulu écrire, ou bien faire un métier artistique, tenir un club de danse. Après tout tu n'étais doué que pour suivre Eddy. Et alors que tu gisais dans le caniveau, tu fermais les yeux, tu étais prêt à partir, tu avais terriblement mal.... Autant mentalement que physiquement, le sang commençais vraiment à envahir tes tripes, les bleus avaient créer de sublime tatouage sur ta peau pâle... Et...

Tu grognes de douleur, un pied vient de te pousser alors que tu as semble t-il entendu quelqu'un qui hurle contre tes agresseur... Quelqu'un t'as vu?... Mais surtout... Quelqu'un fait attention à toi?...

Tu ouvres difficilement les yeux, tu es pathétique... Mais les yeux émeraudes que tu croises ont beau être splendide c'est avant tout la peur qui te fige... Mais tu le laisse faire alors qu'il commence à poser sa main sur ta gorge, de toute façon tu n'as pas la force de te bouger ou bien de te défendre... Ta vue est un peu floue tu remarque à peine le sourire désolé du brun aux cheveux longs qui commence à te donner la grâce. Bientôt tout serais finis... Bientôt... Bientôt...

Mais ta délivrance ne vient pas... Tu sens juste que tu es porté?... Et c'est tout, la douleur et la fatigue qui prirent le dessus, car tu tomba de fatigue dans un sommeil de plomb...
Et c'est sans rêve que tu fais plusieurs heures sans ressentir quoi que ce soit avant de se réveiller quelque peu en sursaut et écarquiller les yeux en reculant un peu envoyant que cet homme qui avait essayer de t'étrangler était entrain de te mettre de la crème sur le ventre, il s'était éloigner certes, mais il n'en restait pas moins un homme... Et malgré se qu'il venait de t'arriver tu le trouvais attirant... Ce que tu voulais refouler, tu avais juste eu un frisson de peur.

L'homme ouvre la bouche et tu l'écoute en te cachant derrière tes longs cheveux, tu t'apprête à répondre alors que sa main se retrouve dans tes cheveux, et tu rougit avant de trembler un peu et tu le fixe avec tes yeux chocolat avant de froncer les sourcils et de lui mordre le pouce en t'écartant.

"Je n'ai pas besoin de quelqu'un pour me dire une chose que je sais déjà... Et je n'ai pas envie d'accepter l'aide d'un in... Mes... Cheveux?... Mais... Les gens ne les aiment pas d'habitude... Avoir les cheveux longs ça fait... FIlle... Et ... Je suis enfin... Techniquement... Un homme..."

Tu bredouilles, cet homme se montre tellement gentil avec toi, il essaie de t'aider et apparemment c'est sincère... Tu n'as pas l'habitude de voir quelqu'un de sincère... Il veux te rendre plus fort? Il complimente tes cheveux... Mais qui il est?... La tu commence vraiment à remettre en question ton orientation sexuelle, tu la mettait déjà en doute avant... Mais le garçon qui te faisait face te rassurais... Tout en t'effrayant... Donc il t'attirait... C'est bizarre... Mais agréable...

Et maintenant il te proposait de partager un joint. Il partageait avec toi? Tu avais encore du mal avec le concept de partager... Partager ok, mais c'était quoi la contrepartie?...

"Shelby?... Et c'est quoi?... Enfin... Je connais pas trop... Tout ça... Y a quoi de... Oh et puis merde... Foutu pour foutu... Après tout ce n'est peut-être qu'un mauvais rêve ou je suis enfin mort... Au moins je serais libre de faire se que je veux et d'être qui je veux..."

Tu pris doucement le joint et tu tire dessus avant de te mettre à tousser à plusieurs reprise les larmes aux yeux, tu pousse un juron avec cet accent British qui est ta marque de fabrique, tu aurais peut-être du partir de Londres, tu n'aurais jamais subit tout ça si tu avais suivit le voyage d'affaire de ton père, mais tu voulais rester avec ta fille, la prunelle de tes yeux, d'ailleurs, tu avais en revanche fait fis de tout se que les autres te disaient, il était hors de question qu'Ayano soit élevée par une nourrice, tu voulais que cet enfant connaisse ses parents, tu ne voulais pas qu'elle connaisse se qeu tu avait connu, ne pas grandir avec ses parents, ne pas jouer avec eux... Non, tu le refusais... Et tu serra les dents, avant de reprendre doucement une taffe... Plus doucement, et tu te laissa retomber sur le matelas, tu avais un peu plus de détente... Tu as moins mal... Tu en reprend un peu et tu le retend a l'homme qui est proche de toi, tu le regardes un moment et comme tu n'avais jamais pris aucune drogue, tout ça te monte vite au cerveau et tu te met donc à parler sans penser à tout se qui viens de se passer.

"... Tu es qui en faite?... Pourquoi tu m'as ramasser? Au vu de ton accent tu es allemand et je sais que le seul allemand qui est avec nous n'en a rien a foutre quand quelqu'un se fait agresser il prend une photo et passe à coter... Alors... Qu'est-ce qui fait que tu m'as ramasser?... Et ... Je veux bien que tu m'aide... Mais tu vas juste perdre ton temps."

Tu avais du mal à comprendre, tu voulais l'entendre parler, c'était bizarre, mais tu voulais aussi qu'il t'aide... Rien que pour rester un peu plus avec lui... Même si demain tu ne penserais peut-être plus ça, ton esprit était un peu contradictoire... Embrouillé, mais à dire vrai, ton esprit était déjà comme ça de base, c'est juste que tu l'avais toujours laisser au plus profond de toi sans le laisser sortir... Mais maintenant... Peut-être que se qui t'était arriver allait être le déclic afin que tu prenne enfin le taureau par les cornes et que tu soit toi même. Et se que tu voulais à ce moment, c'était te travestir...
Tu n'allais plus te cacher...

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