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Why have you turned off your phone? * Wolfierye Empty Why have you turned off your phone? * Wolfierye

Mar 21 Avr 2020 - 14:18
Why have you turned off your phone? Tu venais de sortir du commissariat, tu étais crevé.e. Fatigué.e de leur répéter sans cette la même chose.
Tu avais passer ta journée à accumuler les emmerdes. Le matin tu avais eu droit à un rendez-vous chez l'assistante sociale qui avait eu vent de ton métier et de l'endroit ou vous viviez. Elle te bassinait car ce n'était pas un endroit ou élever une enfant.

Et elle avait raison.

Tu serre les dents, blotti.e dans ta veste en cuir, enfin celle que tu avais voler à Anselme... Que tu croyais, tu t'arrête boire un café à un Starbucks, tu ne te sens pas d'aller rechercher ta princesse chez ton frère alors que tu te sens si mal. Tu avais réussi à camoufler sous une épaisse couche de maquillage la marque étendue sur ta joue. Tu devais faire attention à qui te voyais, maintenant que tu avais largué Samuel Strokes, les moustiques te tombaient dessus.

Tu repensait encore à cette désastreuse matinée. Tu n'étais déjà pas très fan des disputes en soi. Mais la tu avais vécu une véritable catastrophe ou tu avais découvert qu'une fois de plus ton cœur avait faillit vraiment balancer entre deux Rosenwald.

Tu étais une merde.

Tu avales ce café sans même le déguster, tu te sens épié, ça t'angoisse.
Tu te dépêche donc de partir.
Tu passes chez ton frère et tu esquives son regard qui ne demande qu'à en savoir plus, la nuit venait de tomber sur la Grosse Pomme.

Tu rentre chez toi avec ta petite princesse, puis tu vous fait à manger, tu lui prend son bain et tu l'aide à se coucher. Tu te dirige ensuite vers ta chambre, vers ta coiffeuse. Coiffeuse que tu as fait réparer. Ce n'était que le miroir à changer de toute façon...

Tu retires ton masque et admire plein de dégoût le bleu qui surplombe ton visage... Tu éclates en sanglots, avant que ton téléphone ne sonne.
Wolfgang?... Tu ouvres son Mms et à travers tes larmes un rire jaune éclate entre tes lèvres séchés.

Putain de stalker de merde.

Tu lui envoie plusieurs fois des messages de manières à se qu'il te laisse... Et tu te bloque un peu quand il te répond que tu lui manque....
Tu ne sais pas quoi dire et met un moment à répondre.
Puis tu craques avant de lui envoyer ta rage et ta fatigue à la figure avant d'éteindre ton téléphone.

Tu te lève pour aller prendre ton traitement, après plusieurs dizaines de minutes à avoir méditer devant ton miroir.

Miroir mon beau miroir, qui est l'être le plus détruit que tu ai jamais vu?

Tu es prêt à prendre ces petites pilules alors que d'un coup tu fronces les sourcils.
Tu avais entendu ta porte? Tu l'avais fermer à clef et seul Faustus avait le double. Ton frère avait besoin de parler?... Ce n'étais pas le moment mais il avait déjà tant été la tu ne pouvais pas...

Tu soupire bruyamment.

Puis tu poses les deux cachets avant de te diriger vers l'entrée où tu écarquilles les yeux, t'aurais du t'en douter... Wolfgang Rosenwald était illusionniste, si se libérer de chaînes était si simple, une simple serrure l'était encore plus...

Tu fronces les sourcils, tu te mord la lèvre, tu étais vraiment piteux.se à ce moment, tu étais en jogging larges, démaquiller, avec ton bleu sur la joue et tes lunettes, tes cheveux en batailles alors que tu avais à peine quitter la douche, il y à une heure.

Même durant votre vie commune, jamais ton amant n'avait vu ça, encore moins te voir porter un jogging de ce genre. Tu avais des tenues de sports bien plus attrayante.

Tu soupire en passant ta main dans tes cheveux, prenant soin à se que ta tête soit tournée de l'autre côté afin que Amadeus ne voie pas son bleu.
Tu pris soin de te rapprocher pourtant pour parler moins fort, la porte d'Ayano était ouverte, tu ne voulais pas qu'elle entende tout ça.

"Qu'est-ce que tu fous la? Sors d'ici, à moins que tu ne veuilles encore te vider les couilles? Dommage pour toi, je refuse de coucher avec qui que ce soit alors que ma fille est dans les parages, question de respect. Ce que tu ne connais pas parce que tu rentres par effraction chez les gens, ou plutôt deux fois chez la même personne pour foutre la merde!"

Tu n'aurais jamais oser vraiment lui parler comme ça en sachant que à la posture actuelle, tu étais loin d'être à ton avantage, il était sans doute encore furieux et toi tu attisais les flammes de sa colère sans doute en lui parlant ainsi...

Mais pour ainsi dire. Tu t'en fichais à l'instant même.

Ton esprit commençait sincèrement à couler, tu ne savais plus comment gérer tout se qui t'arrivais.

Tu es une merde et tu resteras une merde Salierye.

:copyright: 2981 12289 0
Angèle Nightingal
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Why have you turned off your phone? * Wolfierye Empty Re: Why have you turned off your phone? * Wolfierye

Mar 21 Avr 2020 - 15:24
WHY HAVE YOU TURNED
OFF YOUR PHONE ?
Aujourd’hui c’est très tôt que tu te sors de ton lit, sous les menaces sous forme de message que Shelly t’envoie, à deux doigts de contacter Nils pour qu’il te tire par la peau des fesses te traînant sûrement jusqu’à ton chapiteau. Actuellement tu ne pouvais pas être l’Amadeus ronchon qui en voulait à la terre entière parce que tu avais des obligations, envers les forains et surtout envers les enfants et les quelques poignées d’adultes qui avait acheté les billets pour ton Neverland. À huit heures dix tu te retrouves dans ta loge à te préparer, tu t’es rasée, forcément même si tu clamais haut et fort que tu avais fais une croix sur ton âme soeur qui avait parfois plus l’office d’une Némésis, sa pique sur ton rasage avait sûrement fait son effet escomptée plus que ta barbe n’était plus. Tu avais recouvert ton torse de paillette brillante qui réagissait dès qu’une lumière se poser dessus, elles étaient de couleur dorée presque similaire à la fameuse poudre de fée qui était la pièce phare de ce personnage que tu t’es construit sur le mythe de Peter Pan. Et il fallait que tu revêtisses ce masque si tu voulais continuer à bosser ici, tu jettes un regard vers le miroir, t’observant à présent que tu es maquillé et préparer même tes cheveux sont coiffées, tu les as tiré en arrière puisque de toute manière tu devais porter ce petit bonnet vert qui laisserait sortir ses deux fausses oreilles pointues que tu avais collée. Finalement, tu aurais aimé avoir des petites taches de rousseur ça te va bien mais tu ne t'attardes pas plus dessus puisque finalement le plus dur de ta préparation vient : Ta tenue. Tu passes une quinzaine de minutes à en essayer plusieurs avant de faire ton choix, un jean bleu clair un peu déchiré puis une chemise à strass verte aux bords dorées, tes nombreux bijoux aussi dorées match plutôt bien avec la tenue et de toute manière c’est comme pour tes plusieurs bagues qui recouvrent tes doigts tu ne t’en sépares jamais. Mise à part pour te laver. Avec cette envie de toujours admirer ce tatouage qui encre l’une de tes doigts. Tu es prêt, tu enfiles tes bottines marron et tu attrapes tes accessoires avant de te diriger vers la pièce centrale du chapiteau là ou l’équipe technique prépare déjà le terrain. Tu restes derrière les épais rideaux révisant un peu ton programme et reproduisant quelques tours pour être sûr de ne pas te planter, tu n’as rien pris aujourd’hui mise à part ta dose habituelle d’Ambrosia et quelques joints. Tu n'es pas au top de ta forme mais, tu avais connu bien pire et tu avais su gérer. Les minutes longues passent ou peu à peu les bancs de bois se remplissent d’enfants agités, de parent désabusées et de quelques passionnées. Puis enfin, l’heure sonne, les lumières se tamise jusqu’à laisser planer une mystérieuse aura, les jeux de lumière se fond, ton assistante habillée d’un costume moderne de Clochette entre en scène. La musique retentit et ça y est, on t’annonce. Mesdames et messieurs un maximum de bruit pour Peteeeer Pan !

Bien des heures plus tard après plusieurs représentations et pause pour ton bien-être, l’heure du couvert feu qu’à imposé la ville ne va pas tarder à retentir, ce qui annule tes spectacles après 22h. Ça te fait chier, ça te fais moins de ventes, moins de visibilités et moins de sourires. Tu ne vivais que pour ça, les rires éclatants et les sourires étincelants que ses mômes offrent quand tu les fais rêver à un monde bien meilleur. Toi, l’enfant des rues, d’une camée et d’un alcoolo, qui ne croyait plus à bien grand chose mise à part la détermination de la mort dans ta vie. C’était sûrement à cause des forains qui avaient réussi à te redonner le même espoir que toi-même tu transmets et recouvres d’un aspect de magie, Shelly et Nils sont ravi de ta personne, tu les rends fiers et ils sont heureux de voir que pour cet instant tu vas mieux. En plus tu viens de recevoir les nouvelles affiches pour ton spectacle qui demain seront accrochées dans tout New-York, elles sont magnifique mais, tu n'y fais pas plus attention. Ils rient avec toi, vous mangez tous ensembles après la fermeture de la fête foraine et malgré la bonne ambiance tu ne peux pas t’empêcher de penser à ton frère décédé que tu n’as pas arrêté de voir à chaque fois que tu posais le regard sur le public. Comme un déjà vu, comme ce fameux dernier jour où tu avais vu Aloïs, il était venu voir ta représentation. Et depuis ce jour tu ne l’avais plus revu. Il était mort.


Toute la fin de soirée après ça tu avais envoyé des messages à ton ex fiancé.e qui est à présent le mec actuel de ton frère, Anselme, un foutu bordel encore. Mais, Salierye te tenait par les couilles à sa manière, même si tu n’arrivais pas à le dire tu aimais et aimes Salierye d’une manière dont tu n’avais jamais aimé. Ce que te faisais ressentir iel était bien de choses trop différentes pour que tu puisses essayer de comprendre mais, en tout cas ce lien indescriptible te faisais toujours revenir vers iel. Ça te poussais par exemple à faire des pfannkuchen à une heure tardive parce que cette nuit tu voulais de la compagnie, le fantôme d’Aloïs ne te quittais plus et tu n’allais pas tarder à exploser avec tout ce que tu pouvais garder en silence en toi. Tu pleurais de l’intérieur pour que tes soucis se noient et ça ne marchais pas. Alors, tu échangés quelques textos avec iel, ne voulais pas clairement lui dire que tu avais besoin de lui dire, tu agis encore comme un gros con qui ne manques pas de lea faire réagir en t’envoyant chier. Son portable est éteint, tu le remarques en lui envoyant deux messages de plus, tu grognes et tu regardes les pfannkuchen aux bananes fumant dans le tupperware. Va chier l'enculé d’aristo.

Cric cric. C’est le bruit de la serrure que tu forces avec une épingle à cheveux comme te l’avait appris Nils quelques secondes plus tard la porte est à présent ouverte, tu te glisses à l’intérieur de la pièce. Tu soupires un long moment, ça a été chaud cette fois tu avais failli te faire prendre par la sécurité du Guilty mais, tu étais un maître de l’évasion après tout. Tu n’as pas le temps de faire plusieurs pas que Salierye arrive et te reçois aussi bien (mal) qui puisse le faire. Tu ne réponds pas sur le coup parce que tu sais qu’il n'a pas tort, mais tu ne digères pas vraiment quand iel te repousse. C’est évident. Il ne te dit pas non à toi. Plusieurs choses te frappent dans ses paroles : Sa fille et sa pique au sujet de ta dernière parole à votre dernière vraie rencontre. Puis il y a son apparence physique et son comportement un peu fuyant. Tu plisses les yeux avant de juste hocher les épaules puis de jeter le tupperware sur la table pas loin de toi.

« - Bah faut savoir. Tu ne m'as pas dit que tu voulais des pfannkuchen maison ? Ça perds tout son charme si ce n'est pas déguster frais. Réponds-tu en ne le quittant pas du regard puis en levant les mains en signe de paix, C’est gentil de t’inquiéter pour mes couilles mais elles sont vides, j’suis pas là pour ça. Tout comme là dernière fois j’étais pas là pour ça.»

Un long blanc pèse avant que tu jettes un regard sur les autres portes de l’appartement instant un peu sur celle qui continent des décorations tout comme un prénom « Ayano». Tu finis par reprendre la parole juste pour souffler.

« - Ta fille ? »

Tu n’arrives pas à en dire plus, parce que toi, tu sais que sa fille repose quelques parts-là ou seuls vos frères savent l’emplacement. Tu t’imagines déjà le pire et tes poings se serrent un peu avant de t’avancer vers lui lentement. Ton instinct te dit que quelques choses clochent, Salierye semble être différent.e que d’habitude, plus agité.e, plus instable, plus sur les nerfs. Iel s’obstine aussi à te montrer uniquement son profil, ça te fais froncer les sourcils tandis que tu t’approches de plus en plus d’iel jusqu’à être à une proximité qui a fait tout dérapé la dernière fois. Puis tu te penches un peu vers lui pour voir ce qu’iel cache, iel a un mouvement de recul peut-être bien parce qu’on aurait dit que tu allais l’embrasser ou je ne sais pas quoi alors ta main se fond sur sa mâchoire que tes doigts tiennent, encore, tu lui serres juste pour l’immobiliser puis tu tournes son visage pour observer sa joue bleutée. Meurtrie pour une raison que tu ignores et qui fait monter la braise au sein de tes tripes. Ta langue claque d’un air agacé alors que tu observes un peu mieux avant de remettre son visage en face du tien, tu lui souris avant de lui susurrer.

« - Laisse ta «fille» dormir, ne commences pas à faire d’esclandre et dis-moi juste son nom. Ordonnes-tu le regard dur tout ça ne te plais pas vraiment, C’est qui Salierye ? »

L'amour est la Sirène, entraînant le pêcheur qu'ensorcelle son chant, vers le sable sans fond.
Pando


@Salierye A. De Vilbusy
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Why have you turned off your phone? * Wolfierye Empty Re: Why have you turned off your phone? * Wolfierye

Mar 21 Avr 2020 - 15:26
Why have you turned off your phone? Tu avais laisser la porte d'Ayano ouverte, pour la simple et bonne raison que l'enfant faisait des cauchemars, tu savais au moins que si elle se mettait à hurler ou pleurer tu serais rapidement dans sa chambre pour la prendre dans tes bras.

Mais apparemment le sort avait encore un autre projet pour ta soirée.

Tu fronces les sourcils en le voyant dans ton entrée, ton inconscient réagit à toute allure, tu réfléchis rapidement à se qui aurais pus l'emmener ici, surement le fait que tu l'ai envoyer chier et que ça ne lui plait guère, et tu te demande surtout comment il à réussi à ENCORE s'infiltrer chez toi, bon sang le Guilty Pleasure n'était pas le plus sécurisé endroit que tu croyais, si l'illusionniste qui emmenait ton cœur dans son Neverland arrivait à rentrer à sa guise...

Qu'en était-il des autres qui voulaient ta peau?

Tu soupires en te pinçant l'arête tu nez et... Tu fuis plus ou moins vers ta cuisine qui est juste à coter de l'entrée. Et tu avales ton traitement, tu claques de la langue quand il jette le tupperware encore chaud sur la table, tu râle, tout comme tu râlais à Philadelphie. T'étais clairement quelqu'un de maniaque, au point de repasser les chaussettes et les boxers, ça te prenais deux heures de ton temps chaque jours, mais vu que tu te forçait à ne pas dormir plus de 5 heures, tu avais largement le temps.

"Putain Ama merde, j'ai cirer la table la chaleur c'est pas bon pour la cire."

De toute façon foutu.e pour foutu.e, tu vois son regard partir vers la porte d'Ayano, évidemment il va encore te balancer qu'Ayano est morte... Mais bordel tu le savais, ton esprit n'avait rien oublier.. Sauf une partie importante le soir du meurtre d'Aloïs, ce meurtre était d'ailleurs ce pourquoi tu avais cette marque, ton deuxième interrogatoire et était aussi musclé que tu ne l'avait imaginé, et la personne chargé de t’interroger n'y avais pas été de main morte, croyant dur comme fer que tu avais tuer le Rosenwald. Mais en ce qui concerne Ayano tu te sens obligé.e de t'expliquer.  

"Je l'ai achetée sur le marché noir alors qu'elle était aux enchères pour un site de réseau Pédophile... Et j'étais pas vraiment prête à ce qu'elle ressemble autant à... Enfin... Comme si ça t'intére... Hey!"

Tu recules en le voyant approcher. Cette proximité te fais flipper, t'as pas trop envie de t'en reprendre plein la gueule. Un peu normal en soit. Tu essaie encore de l'esquiver un peu, ok. T'as toujours eu du mal à échapper au Cobra Royal qu'était Amadeus... Même si tu jouais l'anguille.

Il t'avait déjà pris le menton et regardais cette horreur sur ta joue.

Tu esquive son regard émeraude alors qu'il pose la question t'as les mains sur son torse et tu hausses les épaules, t'as pas envie de lui en parler. Puis tu t'éloigne de lui pour sortir de quoi faire une boisson chaude.

Tu connais trop bien le brun pour savoir qu'il ne partira pas de toute façon.


"C'est pas important... J'ai pas envie d'en parler... J'croyais te l'avoir fait comprendre par message. Mais c'est vrai que j'oublie à quel point t'es une tête de Bosch espèce de borné."

Si Amadeus te connais aussi bien que ça, il sait que tu es surtout encore dans ta carapace de dénis par rapport à tes problèmes. Tu ne veux pas en parler et tu sais qu'il va essayer de forcer.

Comme le bon forceur qu'il était.

Tu prends du café froid, le touillant un peu, rajoutant du lait chaud, tu met un sucre, trois cuillère de chocolat en poudre et deux de sirop de Noisette, puis tu met des petits copeaux de chocolats sur la mousse de lait.

"Tiens, au moins quand tu bois tu poses pas de questions..."

Tu lui avais tendu le gros mug rose et tu avais ensuite fait un café noir pour toi. Tu n'avais pas pu t'empêcher de froncer quand même les sourcils en reprenant le tupperware avant de ressuyer ta table, pour poser le tupperware sur le plan de travail, tu ne l'ouvrit pas tout de suite, tu sortis d'abord de ton frigo un carrot cake, à moitie entamée par Ayano, toute les semaines l'enfant avait le droit à son gâteau différent, cette fois un carrot cake avec une chantilly au maïs, tu en servit à Amadeus, malgré tous... T'étais plutôt touché.e qu'il soit venu avec des pâtisseries...

Mais ça te faisais plutôt peur quand il avait dis maison.

Tu avais presque un don pour la cuisine au contraire de lui, même si pendant votre relation tu t'étais forcé.e à manger ses plats parce que ça venait du cœur... Et c'est se que tu allais encore faire sans doute ce soir...

Tu te hissa, t’asseyant sur ton plan de travail et prit la boite pour l'ouvrir, étonnamment surpris qu'ils ne soient pas brûler... Peut-être qu'ils étaient bons au final?... Tu regarda ton ex-fiancé et tu finis par parler à nouveau.

"Dis moi à quel moment dans mes messages t'as compris que j'allais pas bien?... Comment t'arrive encore à faire la différence alors que tu m'aimes plus hein? Ton "tu me manques" la, c'est juste que je manque à ton petit égo ou ton lit?... Et... C'est toi qui les as fait?... Tu ne m'empoissonnerais pas alors que j'ai quand même une enfant à charge hein?..."

Tu avais pris ton temps pour parler, tu savais que de toute façon il ne te couperait pas.
Tu entendis un petit jappement sortir de la chambre d'Ayano et une petite boule de poil blanche sortie de la pièce, venant renifler le nouveau venu et se mettre à jouer avec ses lacets.

"Potato arrête, tu vas lui bousiller ..."

Le chiot regarda son maitre avant de chouiner un peu, puis de revenir avec une balle, totalement défoncée. S'arrêtant à côter de Amadeus, il lui posa la balle aux pieds, assis devant lui en agitant ta petite queue, la tête levée vers lui.

"... Au cas ou tu aurais pas compris il veux que tu la lance... "

Tu bois ton café, prenant une pâtisserie, tu la regarde un moment puis croque dedans avant de fortement grimacer... Est-ce qu'il avait goûter avant de lui offrir?

C'est tellement dégueulasse, pas de doute sur celui qui les à fait...

Mais tu avales, reprenant même une bouchée, tu n'allais pas laisser ça partir à la poubelle, Amadeus ne faisais pas la cuisine, parce qu'il préférait la tienne qu'il disait, mais tu savais qu'au fond c'était parce qu'il ne savait vraiment pas cuisiner.

Tu regardais le fond de ton café, prenant une gorgée à chaque fois que tu devais avaler, c'était tout de suite mieux après que tu ai enfin finis l'immondice chaude.

"... Heureusement que c'est à la banane. Merci en tout cas."

T'avais pas pus t'en empêcher, tu avais trop de franchise, même si ça blessait, et en soit c'était même plutôt un compliment puisse que tu n'avais pas dis que c'était dégueulasse, tu as dis que tu aimais bien le goût de la banane.
Puis tu le regarde dans les yeux...

"... J'ai du vin tu en voudras quand t'auras finis ton truc bien trop sucré?"

Tu n'aimais pas le sucre, c’était un fait que bien du monde te reprochais car tu n'en mettais que peu dans les gâteau, ta fille la première, mais pourtant, le sirop de noisette qui était dans ton placard n'était pas la pour elle, elle n'aimait pas ça. Non c'était pour l'énergumène devant toi...

Tu ne savais même plus réagir, t'avais plus envie de faire semblant pour le moment, de toute façon il avait vu ta pire apparence, tes pires moods et tout se qu'il y a de pire chez toi en faite Sallie.

Et quand tu avais atteint ce stade, c'est que tu avais depuis trop longtemps quelque chose que tu gardais, quand on te connaissais, on savait que tu étais du genre à encaisser, encaisser, encaisser, souvent sans jamais te plaindre. Et c'était vrai, jamais tu ne te plaignais, tu te contentais de garder ça pour toi et de râler sur autre chose, mais ça te minait. Évidemment, ton psy te l'avais déjà dis, garder des choses comme ça ce n'était pas bon pour ton suivis.

T'avais pas attendu la réponse du brun, tu n'attendais jamais sa réponse en matière de vin, t'avais envie de boire de toute façon.
Et on pouvais dire que ça te calmais. Même si c'était vraiment pas conseiller avec ton traitement.

Tu sortis deux ballons et ouvrit ta petite cave à vin à côté du frigo, sortant un vin français, les meilleurs tu savais. Tu pris un tire bouchon et mit la bouteille entre tes cuisses pour la maintenir après avoir enfoncer le tire bouchon, tirant un bon moment, râlant clairement, t'avais absolument aucune force, c'était la fatigue.

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Why have you turned off your phone? * Wolfierye Empty Re: Why have you turned off your phone? * Wolfierye

Jeu 21 Jan 2021 - 17:59
WHY HAVE YOU TURNED
OFF YOUR PHONE ?
Evidemment que tu ne devrais pas être ici, à courir après une personne comme iel après tout ce qu’iel t’avait fait. Tu n’avais pas oublié, tu ne le feras jamais, tu te vengeras de tout ça lorsqu’iel seras mure. Iel méritait au moins ça. Tu te cachais derrière le prétendu non que tu n’acceptes pas, l’un de tes nombreux traits toxiques. Mais, effectivement tu avais su que quelque chose cloché rien qu’en lisant les messages échangés avec l’escorte. Tu ne savais pas exactement comment, en tout cas ton instinct avait dit d’aller lea voir pour en être sûr par toi-même. Tu ignorais la situation de Salierye qui était lié à ton frère, tu avais d’autres choses à gérer. Les temps étaient compliqués en ce moment avec tous ses derniers événements, tu faisais un suspect de choix, Aloïs mourrait de la main d’un scorpion ou d’un sweat poison et quelques jours après son meurtre. Un mandat d’arrêt avait été posé contre toi puisque lors de ta convocation dont tu ne t’y étais pas rendu, pour donner suite à ça la police chargé de l’enquête avait fini par se pointer plusieurs fois à la fête foraine là ou faisait toujours tes spectacles clandestinement. Tu arrivais toujours à leurs échapper parce que tu savais très bien ce qu’il t’attendait, plusieurs forains avait dû subir un interrogatoire « musclé », tes frères et soeurs avaient aussi était convoqués, harceler de questions pour faire de toi le coupable idéal. Sauf que, ce n’était vraiment pas toi, oui tu voulais te venger mais tu n’avais encore rien fait de tel. Ta fratrie t’avait donc prévenu de te faire petit, d’arrêter un moment les spectacles, d’où ton dernier de ce soir. Ses pourris étaient tellement déterminés à trouver un coupable pour satisfaire le maire de la ville que ça ne t’étonnerait même pas qu’ils te forcent à signer de faux aveux. De ce fait tu avais prévu de quitter New-York quelques temps, retournant à Berlin le temps que les choses se tassent et qu’ils trouvent le vrai coupable. D’une partie tu voulais lea voir ce soir pour ça. Seulement tu es pas capable de communiquer correctement mais taon ex-fiancé.e non plus. A voir comment iel râle pour une fichue table cirée, franchement iel avait pas d’autres problèmes plus graves dans la vie que de la cire ? Tu ne lui réponds même pas, levant les justes au ciel, son comportement te rappelle juste qu’effectivement iel est insupportable. Tu devais vraiment passer à autre chose.

« - Tu n’étais pas prête à ce qu’elle lui ressemble autant ? Ne mens pas. Sinon tu ne l’aurais pas adoptée. Cette fille ne remplacera jamais Ayano tu en es conscient.e ? J’t’interdis de dire que ça ne m’intéresse pas, j’aimais Ayano avant que tu fasses ce que tu as fait. Je ne te le pardonnerai jamais. »

Avais-tu répondu d’un ton cinglant et dur, tu comprenais qu’à moitié ses agissements. D’accord le deuil est compliqué encore plus celle d’un enfant mais delà à la remplacer tu trouvais ça vraiment malsain. Puis ton attention passe à son visage qui cache, tu avais bien eu raison de fouiner quand tu voyais la marque sur sa joue, il ne fallait pas être surdoué pour comprendre qu’iel avait prit un coup. Pourquoi ? C’est ce que tu voulais savoir, enfin DEVAIS savoir.

« - Cesses de parler pour rien dire. Pourquoi tu ne veux pas en parler ? Genre quelqu’un te fout un poing dans la gueule et ta pas envie de le dire à la personne la plus compétente pour lui rendre la pareille ? Parce que j’suppose que ce n’est pas ce vieux pouilleux de Chad de mes deux ou Anselme-la-tarlouze-qui-chiale qui va faire quelque chose hein. J’suis peut-être borné mais moi j’ai ce qu’ils n’ont pas, des couilles. »

Tu soupires longuement tu avais toujours eu du mal avec le côté dramatique de Salierye, iel aimait faire durer les choses puis finir par tout avouer d’un coup, tu lea connaissais il suffisait juste de creuser un peu. Il était si facile de lui tirer les vers du nez, iel aimait juste de faire désirer. Tu t’écartes de lui pour te diriger une nouvelle fois jusqu’à la chambre de la fausse Ayano, de la pointe des pieds tu rentres de la chambre puis tu t’assois à ses côtés. Observant longuement silencieusement la petite dormant profondément, elle ressemblait tant à la petite rousse que tu considérais vraiment comme ta fille que c’était presque douloureux de voir une telle ressemblance. Tu finis par te lever, posant un baiser sur son front et la rebordant correctement. Il ne valait mieux pas que tu restes trop longtemps, tu pouvais la réveiller ou bien finir par pleurer. Ayano te manquais horriblement, elle était beaucoup trop jeune et comme tu l’avais dit, tu n’arrivais pas à croire que Salierye avait pu lui faire ça.

A ton retour dans la pièce principal Salierye t’a préparé ta boisson chaude préférée, ça te fait froncer les sourcils, quel enculé. Iel devait aimer te torturer ainsi en te rappelant toutes les petites choses que vous aviez jadis partagés. Secouant la tête tu sors de ta poche de costume d’illusionniste pour en sortir un joint, tu pousses d’un doigt la tasse vers lui.

« - Non merci. J’évite le sucre maintenant, ça me rappelle des mauvais souvenirs. »

Réponds-tu en haussant les épaules puis de te diriger vers l’une des fenêtres que tu ouvres après avoir vérifier qu’il y a personnes qui pourrait te voir. Tranquillement tu te mets à fumer, il n’aurait pas eu la petite tu ne t’aurais pas gêné mais là tu préférais veiller sur sa santé.

« - Dis… Celle-là tu ne vas pas la tuer j’espère ? »

Demandes-tu sans détour, tu espérais sincèrement que ce n’était qu’un coup de folie et pas une habitude qui se former petit à petit. Tu vois au loin qu’iel pose un carrot cake à côté de ta tasse, tu ne comptes vraiment pas en manger, la défonce est bien meilleure quand tu as le ventre vide. Puis tu ne supportais pas de faire semblant après ce qu’iel t’avais fait. Tu voulais garder tes distances avec Salierye, iel n’était plus ton ex-fiancé.e et sérieusement… Iel avait essayer de te tuer une fois, peut-être que cette fois-ci iel ne voulait pas se raté.

« - Tu vois, c’est toi qui devrais boire tu poses bien trop de questions. J’te le dirais si tu m’dis le nom de celui qui t’a fait cette marque. Et te fais pas t’film c’est juste parce qu’aucun de mes plans culs répondaient. Tu prends une longue inspiration de shit avant de la souffler lentement dehors, Bah. Tu m’diras ça serait que partie remise et moi j’raterai pas t’sais. Oui c’est moi, t’aurais préféré que ça soit ton mec Anselme ? Pourquoi pas ? T’es pas un exemple de bon parent. Mange pas si ta pas confiance au lieu de chialer. »  

Oh oui tu aurais aimé pouvoir l’empoisonner mais comme iel l’avait dit tu ne pouvais pas priver cette petite de son seul parent après l’horreur qu’elle avait connu sauf que tu n’allais certainement pas le dire à cette vermine de Salierye. Iel serait trop content.e de le savoir et ne te lâcherai même plus. Tu ecarquille les yeux en voyant la petite boule de poil blanche arrivé à tes pieds, déjà depuis quand iel avait un chien et de deux bordel ce n’était pas une peluche ? Tu l’avais vu en allant voir la petite mais il n'avait pas bougé d’un poil alors tu avais naïvement cru que c’était une peluche. Ou bien tu étais déjà bien trop défoncé. Te penchant tu récupères la balle à tes pieds pour la lancé en plein dans le front de Salierye qui rebondit sur la table puis par terre, tu ricanes en voyant la tête de l’escorte et le fameux Potatoes la ramener joyeusement. Tu lui lances une nouvelle fois cette fois ci dans la pièce uniquement.

« - Waw heureusement que tu me l’as dit, je n’avais vraiment pas compris comment ça fonctionne un chien. D’ailleurs depuis quand tu en as un ? Quand j’t’avais demandé tu m’avais dit que ça avait beaucoup de poils. Hypocrite va. »

Le non-binaire finit par enfin goûter à ta création et tu l’observes d’un œil septique, ouais la cuisine ce n’est vraiment pas ton fort. A vrai dire tu n’avais jamais réellement cuisiné à part pour faire plaisir à de grande occasion ou bien si tu n’as vraiment pas le choix. Mais, ça se contentait uniquement de réchauffer des plats déjà prêts. Tu finis ton joint avant de claquer ta langue, forcément qu’iel ment ça se voit à sa tête.

« - Ouais bah tu m’excuseras on n’est pas tous des enfants gâtés ayant eu des cours de cuisine. Au moins t’es pas empoisonné te plains pas. »

Revenant vers lui pour prendre place face à iel un sourire fleuri sur tes lèvres lorsqu’iel te propose du vin mais n’attends pas ta réponse pour vous servir, bah tiens, si ce n’était pas bizarre ça. Ça confirme ta théorie comme quoi quelque chose n’allait pas avec l’escorte face à toi. Et cette option de picoler était une bonne idée, plus iel buvait et plus sa langue était pendue. Dans tout les sens du terme. Finalement peut-être que tu n’allais pas dormir sur la béquille. Discrètement tu prends une photo en mode selfie ou on voit ta tête et Salierye derrière en train de servir les verres. Une fois la photo prise tu envoies celle-ci à Anselme n’oubliant pas de lui envoyer par la suite un message : 1-0 pour le toxic boy, sorry le pleurnichard. Iel revient avec les verres et tu fais mine de rien. Posant ton téléphone sur la table distraitement. Tu prends le ballon pour le renifler puis enfin regarder le contenu du verre, il ne semble pas y avoir de poison. Bien. Tu échanges tout de même vos verres et tu attends qu’iel boit le premier pour boire une gorgée à ton tour. Tu lea regarde de haut en bas quelques instants, l’air pensif.

« - Alors. Il t’arrive quoi ? Parle ça te feras du bien et ça évitera qu’on remette sur le tapis ta tentative de meurtre raté ou bien ton infidélité ou bien encore ta f.. ta compris quoi.. »

Soudainement ton téléphone vibre affichant alors une photo et un nom, Calypso. Ton regard remonte automatiquement sur Salierye qui… A les yeux posés sur ton téléphone également. Broaf. C’est quoi cette sensation d’avoir fait une connerie ? Tu te lèves prenant alors l’appel téléphonique en t’éloignant un peu pour ne pas qu’iel entendent même s’iel t’entends toi. C’était drôle comment le destin pouvait se jouer de nous, tu n’avais pas revue Calypso depuis votre rupture et tu l’avais retrouvé il y a un mois. Chanteuse de cabaret dans l’un des établissements de la ville, elle avait voulu à tout prix que vous renouez contact, une connerie dans le genre ou elle ne t’avait jamais oublié. T’avais compris qu’elle voulait retenter, elle pensait avoir changer et que toi tu avais changé. Tu avais besoin d’oublier l’énergumène face à toi alors tu t’étais dis pourquoi pas. Tu ne sortais pas avec non. Mais, tu la voyais de temps à autre. Surtout en ce moment depuis qu’à cause de toi elle s’était attiré les foudres des scorpions après avoir refusé une séance privée à ce fils de pute de Johrane. Depuis ses fumiers s’amuser à lui faire peur et lui mettre la pression pour la faire céder à leur demeuré de chef.

« - … J’passerai après si tu ne dors pas. Chambre 7 oui.  Mach dir keine Sorgen, ich bin hier*. Okay. Küsse. »


* Ne t'inquiète pas je suis là
L'amour est la Sirène, entraînant le pêcheur qu'ensorcelle son chant, vers le sable sans fond.
Pando


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Why have you turned off your phone? * Wolfierye Empty Re: Why have you turned off your phone? * Wolfierye

Dim 24 Jan 2021 - 12:01
Tant de choses trottait dans ton esprit fou a lier. Beaucoup de choses c'était passées en ce moment... ton interrogatoire musclé, le meurtre d'une des sweets poisons et tellement d'autre chose que tu espérais au fond de ton cœur oublier... Mais le cerveau quand il le souhaitait pouvait être le pire des batards...

Aussi ton souvenir de l'interrogatoire était plus que présent, peut être parce que c'était cet après-midi aussi... Mais tu te souvenais de la voix grave et menaçante de ce policier. Il avait chercher de nombreuses fois a te faire flancher simplement en parlant, posant ses questions lentement et d'un air froid. Tu n'avais pas eu l'air impressionner. Evidemment tu avais déjà eu des disputes bien pire alors te faire crier dessus etait inutile... Jusqu'à se qu'il s'enerve de ton sourire moqueur et que son poing ne te parte dans la gueule. Ton souffle avant ete coupé un instant. Tant par la violence du coup que par la surprise. Un flic avait-il vraiment le droit de faire usage de violence policiere?...

Tu etais a New-York mon chou... Entre les gangs et les flics, aucun d'entre eux n'étaient capables de ne pas faire usage de violence... Tu avais bien entendu plus d'une fois fait les frais de ce genre de personne... et tu avais uniquement demander a partir. Étrangement... Il t'avait laisser partir en marmonnant a Mi mot que : "Tu ne perdais rien pour attendre et que tu reviendrais dire se que tu savais." Cet homme te flanquait une peur bleue...

Et c'est chez toi bien plus tard que tu avais ensuite réfléchis à cet autre incident. Qui t'avait traumatisé... Qui aurait sans doute traumatisé n'importe qui... Une chose qui te faisais sentir si peu en sécurité au Guilty... La mort d'une des escortes. Et tu t'en voulait... Tu te rappelle de l'entièreté de la scène. Tu avais été voir Tara. Elle voulait voir si tu avais consommé.e Quelque drogue que ce soit. C'était il y a deux semaines. Tu n'étais pas encore en arrêt a cause de ce bleu énorme sur ton visage... que tu n'avais même pas été capable d'assumer auprès des autres tu avais simplement parler d'une mauvaise rencontre sans dévoiler d'autre détails. Mais bref... apres avoir satisfait sa curiosité et essuyer une de tes piques, elle finit par t'accompagner voir une des escortes, tu avais eu un très mauvais presentiment a son égard. Et tu avais raison. A peine la porte avait-elle était ouverte que tu t'étais écroulé.e en vomissant tes tripes.

La pièce était tapissée de sang. Tout était d'une immense barbarie que tu ne comprenais pas. Ok cette fille n'était pas très intelligentes mais elle était d'une douceur et d'une gentillesse a toute épreuve donnant même sa chance aux clients les plus horribles jamais vu... Et toi tu t'en voulait tu aurais du voir que ce mec était louche...

Tu avais passer ensuite la nuit chez Tara avec Ayano. Tu n'avais pas le courage de retourner dormir dans ta chambre sachant avec quel facilité un certain forain y était entré, tu avais peur.

Mais maintenant ce certain forain était devant toi. Chez toi. Et tu ne savais plus comment réagir. A dire vrai, tu ne savais pas si tu te sentais encore sous son emprise. Ton esprit était plutôt vide en ce moment. Aussi. Tes réponses sont calmes, sans doute a cause de ce traitement que tu es obligés de prendre et les séances avec Anubis pour quelque peu contrôler ta colère.

"... Je te dis la vérité... Libre a toi de me croire ou pas. Quand je suis arrivé. La bas... Je l'ai vu et j'ai cru que c'était elle alors j'ai fais le nécessaire... et sache que je ne l'ai pas adopter... Je l'ai enlever a un réseau pedophile. Je sais deja tout ça. Et tu sais quoi?... J'en ai marre de me prendre la tête pour tes beaux yeux que tu me pardonne ou non... Ça m'es bien egal."

Tu bois le the que tu viens de te faire d'un air neutre, tu te frotte un peu les tempes. Tu ne t'énervera pas ce soir Sallie... Tu ne lui donnerais plus cette satisfaction.

"Je ne veux pas en parler a TOI. Putain Wolfgang mais pourquoi je te dirais quoi que ce soit hein? Tu m'as bien fait comprendre que je ne suis, a juste titre, qu'une pute a tes yeux. Donc la pute elle ne va aller voir ni Chad qui je te rappelle n'est pas ici. Il est repartit a Philadelphie. Mais bon y a pas que mon cerveau de ravagé par la drogue apparement. Quand a Anselme lui et moi c'est finis. De toute façon je m'en suis lassé. Quand a toi je ne veux plus rien te devoir Wolfgang... Tu me l'as fait comprendre c'est finis et il est temps qu'on mette ça en pratique... apres ce soir je ne veux plus que tu t'introduise chez moi comme un putain de tordus... j'en ai déjà assez sur le dos."

Tu frissonner en y repensant. Tu as peur de finir comme cette escorte.. le fait de savoir qu'on puisse s'introduire si facilement chez toi te tetanise.

Tu lui tourne le dos et tu l'entend comme... s'en aller. Tu es soulagé.e... tu n'as pas envie de le voir. Pas ce soir... En réalité tu preferais être seul.e. Mais evidement... Il ne semble pas très enclin à te laisser seul.e... Il ressort de la chambre d'avant et tu fronces les sourcils.

"... Woh. Rentrer dans la chambre d'une enfant pendant qu'elle dort. Ça fait pas du tout pedophile...

Mais bientôt ton chien vient rompre ce silence gênant qui s'est installer et sa balle dégueulasse te vient dans le front tu pousse un grognement et regarde très méchamment Wolfgang avant de lui rentrer tes ongles dans le ventre.

"Arrete d'abîmer mon outil de travail il est déjà assez abîmé comme ça connard. J'ai pris ce chien parce qu'elle en voulait un. J'ai pas dis non parce que je me sentais seul... et crois moi il perds ses poils... mais bon... J'ai investi dans un aspirateur autonome... du coup ça va..."

Tu regardes potatoes, il semble content d'avoir un compagnon de jeu actuellement. Il est tout petit... tu ne sais même pas s'il grandira un jour...

Tu ranges les pâtisseries et tu grogne en entendant la réflexion de Wolfgang.

"Oui bon c'est bon ta gueule la tu me gonfle. Je n'ai jamais eu de cours de cuisine et si tu es pas content d'être la degage. De base je t'ai pas invité a venir. Je peux me remonter le moral tout seul et toi tu es loin d'aider. Au contraire."

Alors que tu sers les verres de vin tu entend le typique bruit de photo et tu pousse un soupire Agacé.e

"Arrête. Ne prend pas de photo de mon visage ou je fais jouer le droit a l'image. Il est déjà assez détruit comme ça."

Mais tu remarques aussi son petit manege et ça te gonfle rapidement tu finis par lui retirer les verres des mains et boit une gorgé dans chaque.

"Espece de putain d'encule de merde. Je n'utilise pas de poison. Alors ta paranoïa mal placé si c'est pour me la faire subir je te laisse déjà dis mais apparement tu semble pas comprendre Dégage. Je te l'ai dis je n'ai pas envie de te parler.... Et allez on repart la dessus. "ça evitera qu'on remette sur le tapis ta tentative raté gnagnagna"... qui est entrain de remettre sur le tapis hein? Toi comme d'habitude. Alors que bizarrement quand on était ensemble tu etais incapable de parler de ton passé la apaprement le passé semble au bord de tes lèvres constamment. Ce n'es pas moi l'hypocrite actuellement Ariel. C'est toi."

Tu continue de boire, tu ne le regarde plus ne lui parle pas. Quand son telephone sonne tu regarde la photo et le nom. Et un leger ricanement sort de ta gorge sans que tu ai pu le contrôler.

Tu le laisse répondre. Mais tu vas chercher une autre bouteille de vin te reservant... Ça y est doucement l'alcool commence a agir sur ton organisme et tu soupire de soulagement.
Tu as entendu la conversation evidement.
Mais tu te rassoit comme si de rien était. Attendant. Quand il revient tu ne lui jete même pas un regard. Mais ton ton moqueur emplis la pièce.

"Oh j't'en prie Salierye Calypso est morte, même devant sa tombe tu serais capable de déterrer pour voir son corps. On dirait bien que les morts reviennent à la vie... Je vois... Elle fait partie des artiste du Guilty. Et moi qui me demandais pourquoi elle tournais autours de moi pour avoir des réponses... je comprend mieux."

Tu ricane. Tu ne sembles pas énervé.e et tu ne l'est pas. Mais la déception qu'il t'ai toujours mentit se lis sur ton visage alors que tu vide encore une fois ton verre. Le remplissant. Alors que lui en est seulement à son premier tu as déjà a toi seul vider une bouteille.
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