Intrigue 1.2 * Rp Commun

Que la vie fût belle, pensait le demi-démon lorsque ses lucarnes coulées sur la brune infernale face à lui, jamais il n’aurait cru qu’un jour elle ne lui laissera pas sa chance. Elle qui était tellement persuadée que tu l’aimais que pour son titre, tu avais dû lui prouver que ce que tu aimais en premier chez elle s’était elle-même. L’humaine qui s’était rebeller contre le monde entier pour être traité à la même égalité que ce salaud d’Adam. Tu l’admirer. Rien ne pourrait cacher ton bonheur, enfin.. Tu le croyais. Méphisto avait appris la nouvelle en même temps que Lilith lorsque celle-ci avait allumé la télévision et que le visage de son cher Alec avait été affiché. Alec était un meurtrier. Calomnie. Tu le connaissais peu, il était vrai mais, tu savais qu’on ne pouvait pas se fier à ce que l’on voyait, tu en étais la preuve vivante avec le coup des chevaliers qui t’avais fait révéler ton visage en plein live. Et s’il avait été victime lui aussi d’un coup monté ? Après tout, tu avais fouillé dans son dossier et la seule personne qu’il avait tué avait été sa femme par légitime défense, ça avait été mis au clair avec la révélation. Il avait été injustement puni parce qu’il ne pouvait pas révéler que c’étaient ses pouvoirs qui avaient prit le dessus. Sans attendre tu t’étais rendu à la prison de la ville, faisant des pieds et des mains pour pouvoir lui faire une évaluation psychologique. Classique lorsqu’un meurtre est commis, durant cette entrevue, vous étiez seuls. Caméra, micro et tout le bordel coupé par « intimité » et c’est là que tu lui avais expliqué ton plan. Il fallait qu’il plaide la folie, tu pouvais le déclarer fou et au lieu de pourrir en prison il serait en hôpital psychiatrique, tu avais déjà tout prévu tu serais mutée dans l’aile psychiatrique et tu pourrais prendre soin de lui. Tu lui avais laissé le choix la dernière fois que tu l’avais vu, la seconde évaluation devais avoir lieu aujourd’hui et tu espérais tellement qu’il ferait le bon choix. Ce gamin ne mérite pas ça et tu faisais ton possible pour soutenir ta Reine dans ce moment difficile, elle était de marbre mais tu savais, tu le sentais qu’en elle un torrent de haine croupissait et il n’était qu’une question de temps avant qu’elle ne fasse exploser cette prison pour libérer son petit-fils. Elle était une bombe à retardement.


Tu ne dormais plus, tu ne mangeais plus, tu ne prenais même plus d’affaires. Le monde obscur avait été révélé et ce que tu craignais le plus été arrivé. Alexander payé les pots casser de cette révélation, ce que tu avais prédit et la raison pour laquelle tu avais voté contre la révélation. Tu ne pensais pas qu’une telle chose allait se passer mais, tu craignais que sa célébrité se retourne contre lui au vu de sa race et tu avais presque eu raison. Il était passé d’idole adoré à meurtrier. Et tu avais été là lorsque le coup est partie. Tu essayais de rejoindre la scène, tu avais bien vu que ton bien-aimé n'était pas dans son état actuel, il était en rédemption, fini la drogue et le moins d’alcool possible. Alors pourquoi ce retournement ? Il avait replongé ? Non. Tu le savais. Parce qu’au moment où la balle était partie, tu avais vu ses yeux, ce n’était pas Alexander. Pourtant tu n’avais rien fait, les archanges t’avaient certes gracié mais le monde du dessus avait été clair, encore une folie de ta part et cette fois-ci il n’y aurait pas de retour en arrière. Le ponton d’exécution. Alors, tu avais fait en sorte de croire à tout ça. Tu n’étais pas allé voir Alec depuis la première entrevue parce que rien que la vision de lui dans ce lieu te retourner l’estomac et tu n’avais qu’une envie… Sortir ton flingue et buter tous ceux qui se trouve sur ton chemin pour pouvoir le faire sortir. Seven et Faustus t’avaient rappelé à la raison, il n’y avait qu’eux qui savait ta position, tu étais déterminé à comprendre ce qu’il s’était passé et surtout prouver l’innocence de ton être noir. Aidé de tes plus proches alliés vous aviez fait ce que vous savez le mieux faire : enquêter. Et les preuves apparaissaient comme une douce pluie d’été, pourquoi une poche de sang se trouvait dans la poubelle arrière ? Pourquoi personnes absolument personne n’avait vu le Black boire ? Pourquoi avait-il une arme alors que la sécurité était très stricte avec ça ? Comment la fan avait-elle réussi à détourner l’attention de tout le monde ? Pourquoi n’avait-il pas réagi après ce meurtre ? Trop de choses étaient incohérentes et surtout : Trop évident que ça soit une mise en scène. Avec tes collègues vous aviez donc établi une théorie après que la question « Pourquoi Alexander ? Qui lui voudrait du mal » a était posé. Grâce à Seven, vous avez découvert que plusieurs faucheurs on était abattu ses derniers temps, ça créer donc un chemin : Ça avait commencé en Finlande et ça avait terminé à New-York. Pas très loin de Philadelphie. Après avoir récupéré les faux-familiers et avoir fait appel à la magie vous avez appris qu’ils avaient été tuer pour une raison : Lucifer était sur terre. Et la conclusion fut découverte : Lucifer avait manipulé Alexander pour pouvoir atteindre Lilith, sa reine qui avait fait faux bond. Tu l’avouais, tu lui en voulais. Par égoïsme elle avait condamné son petit-fils involontairement. Ce soir à la réunion vous alliez présenter le dossier d’Alec, profitant que les anges soient aussi présent pour les alerter de la situation mais avant tout tu étais retourné voir l’être noir. Si ta bouche disait des choses que tu ne pensais pas, tes mains verrouiller aux siennes tentées en vain de lui faire comprendre, tu connaissais le morse et lui aussi. Alors, quand tu cédas ton tour à Adélaïde tu espérais qu’il comprendrait que tu lui avais dit :


«  Je te crois. Tu es innocent, je vais le prouver et l’arrêter. Je t’aime tellement fort. »


Depuis ce matin tu t’étais levé avec une intuition que quelques choses de grave se passer, tu ne savais pas quoi mais ton ventre se tordais d’angoisse, sûrement à cause de ses cachets que tu avais arrêté maintenant depuis un mois. Christian disait des choses qui n’avaient aucun sens, comme quoi tu serais un sorcier, il sentait une part de magie en toi, c’était complètement fou. Ou bien tu l’es réellement. Puisque même avec l’arrêt des cachets rien ne changer, les créatures étaient toujours là… Peut-être que c’était une mauvaise idée… Tu te noyais que plus dans la folie si ça se trouve. C’était même sûr… Des fois tu te retrouvais dans une ville différente sans aucune raison ou bien à l’autre bout de Centralia alors que tu n’y étais pas… Tu pensais avoir des trous de mémoire, ce n’était pas possible autrement. Comment expliquer que rien qu’en clignant des yeux tu te vois ailleurs sinon ? Tu avais toujours des maux de ventre après ça, la tête qui tourne et des sensations étranges. En vérité tu étais bien loin de comprendre que ce n’était que tes pouvoirs qui s’exprimer, ses cachets n’étaient qu’un coupe-magie. Et comme un peu trop d’habitude ses derniers temps tu te retrouvais dans cette ville… Philadelphie ? Complètement paumé sans savoir pourquoi ni comment. Tu vis sur les écrans la nouvelle du jour apparaître. Alexander Black. Ce nom te disait quelque chose, cette tête te disais quelques choses, ce groupe ne t’étais pas inconnu… Et soudainement tu vis ton visage « Après la tragique disparition du guitariste du groupe, Dagmar Nielsen connue sous le pseudo « Nidhoog » maintenant c’est son chanteur qui devient responsable d’un meurtre. American Satan est-il un de ses groupes maudit ? » Le choc... L’incompréhension… Puis sans crier garde tu fermes les yeux un instant pour respirer, sinon tu vas faire une crise d’angoisse… Tu ne comprends rien mais lorsque tu ouvres les yeux de nouveaux c’est face à un mur de briques que tu es. Tu entends un bruit derrière toi, tu te retournes est-il est là : Alexander.  Les larmes montent même si ton esprit est aussi perdu que tes membres tremblent, tu retiens une nausée et tu le prends dans tes bras.

«  - Je vais te sortir de là, d’accord ? Je ne sais pas comment mais hors de questions que je te laisse pourrir là… Je.. Tu as la réponse à mes questions et quelque chose au fond de moi me dit que je te connais Alec… »

( Pando )

Théodore McSinclair était comme tous les autres philadelphiens, il se retrouvait face à une situation inédite avec deux camps se battant : L’un pour le surnaturel et l’autre contre. Mais, la différence avec les autres et lui c’est que c’était lui-même qui devait gérer cette crise. Maire de Philadelphie. Ça avait été une surprise, aux dernières élections il avait été aux coudes à coude avec Angèle qui remporta cette première bataille. Ne pouvant pas le voir en pâture elle a refusé qu’il soit son conseiller et il se contenta de gérer la préfecture de la ville. Hors, lorsque celle-ci démissionna volontairement il fut propulsé directement à cette place vacante. Néanmoins cette victoire tardive tombée à pic à présent que la révélation avait eu lieu, il pouvait enfin dire le vrai fond de ses idées : Un monde en paix. Et voilà que celui-ci commencé plutôt mal, arriverais-je à réussir ? C’est ce que tu pensais en enfilant ce gilet par balle au-dessous de ta chemise, tolérance zéro, avec tout ce qu’il se passait en ce moment tu devais obligatoirement respecter un protocole très strict. Un gilet par balle, une vitre incassable à ce pupitre où tu prendrais la parole, tous les conviés fouiller plusieurs fois et tu devais boire ni manger quoi que ce soit. Car si ses tarés s’en prenait aux créatures tu étais la première tête à abattre, celui qui avait donné vie à tout ça. Tu n’étais pas vraiment inquiet de ça, le Shérif Powell s’occupait très bien de cette garde rapprochée depuis ton titre obtenu, tu savais qu’il ne laissera pas la moindre chose passer. Qu’il pouvait être agaçant parfois à cause de ça. Tu avais l’impression d’avoir de nouveau une nourrice. Enfin, avec de la barbe, des abdos en plus et un p’tit cul à damner un saint. Ce qui t’inquiétait réellement c’étaient les vautours qui seront présents, la presse, ils n’avaient sûrement pas hésiter à fouiller dans ton passé et ils avaient sûrement découvert grâce à ceux qui t’en voulaient encore que jusqu’à tes vingt-cinq ans tu avais été un chasseur. Aydan et toi aviez formé le duo le plus redoutable de cette ville. Et lorsqu’il s’était rangé de leur côté par amour, tu n'avais pas accepté ses nouveaux ordres, continuant de semer la terreur. Mais, les choses avaient changé. Tu avais évolué. Et si seulement il n’y avait que ça… Ils allaient t’exterminer, tu le savais mais, tu étais prêt. La voix d’Ian te fait sortir de tes pensées alors que tu viens juste de terminer de te rhabiller correctement.

«  - Ah super. Les ambassadeurs, la presse, les meurtres, à présent les sénateurs et Michael. Tu en as d’autres des mauvaises nouvelles ?! Demandes-tu grognon avant de te diriger vers ta mallette dont tu en sort deux mignonnettes d’alcool que tu avales rapidement puis tu grimaces en continuant, Ils n’ont toujours pas retrouvé leur reine d’ailleurs ? Bon sang, si jamais elle vient à mourir c’est plus qu’une guerre civile qu’on aura sur les bras là… ça va être filmé en direct en plus. Faut vraiment que je gère, le président est à deux doigts d’envoyer l’armée. Bon. Dans combien de temps je dois rentrer en scène ? »

Interroges-tu un brin inquiet tandis que tu finis les derniers préparatifs sur ta personne et lorsqu’il t’annonce le temps, soudainement ton ventre se serre et se retourne. Fais chier. Ça faisait longtemps que ça ne t’était pas arrivé, une crise d’angoisse. Tu vrilles soudainement, respirant fort et faisant marche arrière pour te diriger à l’une des rares fenêtres ou un garde n’est pas posté. Tu l’ouvres et la ferme plusieurs fois pour te faire un courant d’air frais au visage, tu inspires et expires rapidement. Tu te tourne soudainement vers le shérif.

« - Toi. Tu te tais. Sois beau et tais-toi ! Tu penses déjà trop fort ça m’agace ! »

Cingles-tu colérique déjà tu avais un caractère bien trempé lorsque tu étais en pleine crise, tu devenais un vrai connard. Tu avais cette tendance à être bien trop solitaire. Ce qu'Erza te reprocher régulièrement. Tu étais un être qui n’avait besoin de personne. Le milieu dans lequel tu es t’a confirmé qu’il fallait se méfier de tout et surtout de ceux qui partagent nos couches. Tu attends quelques minutes ainsi entendant un brouhaha dans la salle de réunion se lever, ils s’impatientent, tu tardes. Tu te mets un coup de pression soudainement refermant une bonne fois pour toute la fenêtre puis de te diriger déterminer dans la salle de réunion ou lorsque tu fais ton entrée un flot de flashs tu éblouis quelques instants. Tu fais les salutations habituelles, le même baratin de courtoisie avant de prendre place derrière le micro.

«  - Cher habitants de Philadelphie, ce soir à lieu la première réunion de la ville au sujet du surnaturel ou toutes les voix sont entendus. Je ne veux pas seulement être le Maire d’une ville, je veux également être celui à votre écoute pour que nous puissions bâtir un monde meilleur ensembles. Le cas d'Alexander Jack Black ne doit pas définir une partie de la population qui elle est innocente. Une ville ou les races cohabitent n’est pas synonyme d’un monde ou le crime n’existent plus, la cohésion entre la société ne fait pas disparaître ce qui a toujours exister. Qu’importe qui nous sommes au fonds, nous sommes tous égaux en matière d’existenc-

- Égaux ? Et pourtant personne ne parle des atrocités que vives en ce moment les créatures surnaturelles. Evangeline Harper a perdu la vie il y a peu parce qu’elle était une banshee. Mais comme beaucoup ce n’est qu’un « accident ». C’est drôle parce que lorsqu’un.e humain.e est impliqué.e ça devient un meurtre. Vous parlez d’Alexander comme s’il était vraiment coupable Monsieur.

- J’annonce, Ariel dit « Wolfgang Rosenwald », premier du nom, prétendant au trône et futur Roi des Abysses. Grand Exécuteur du Calamar Géant, Maître de la chasse et Œil suprême.

Récita comme le protocole l’exiger l’homme qui se tenait à côté du triton depuis le début, il tenait dans sa main un triton que la sécurité n’avait pas réussi à lui faire lâcher, il taper d’un coup le sol à chaque titre qu’il énoncé comme leur habit le démontré ils étaient des êtres de la mer. Wolfgang ne lâcher pas du regard le maire qui n’était pas ravi de s’être fait couper dans sa phrase. Théodore lui répondit immédiatement.

« - Les effectifs de polices de Philadelphie sont entrain d’être renouvelé, nous mettons tout en œuvre pour changer cette situation. Pour l’instant nous avons aucune preuve « officielles » pour démontrer que ses personnes sont innocentes. Si des preuves à était falsifier alors ça ne se reproduira plus jamais et la justice sera vraiment impliqué. Les créatures surnaturelles ont le droit d’être elles aussi en sécurité dans cette ville.

- Justement Monsieur le Maire si je peux me permettre, Seven Doe a besoin de votre attention au sujet du dossier d’Alexander Black. Ajouta un homme qui se leva de sa chaise, il était grand et élancé, habillé de noir et l’air très.. Fermé. Si Powell a bien fait son travail Théo se dit qu’il devait s’agir de Sixteen Doe. L’ambassadeur des morts.

- Je suis tout ouïe Messieurs. »

Sixteen posa dans sa main sur l’épaule de son confrère, il ne pouvait pas présenter le dossier, sa relation avec Alexander avait commencé à s’ébruiter et il craignait que celle-ci influence le Maire dans son jugement. Et après tout ton viel ami est à présent l’investigateur de cette ville, tu as déchu, c’est son travail à présent. Il se rassit puis attrapa son téléphone lorsqu’il le sentit vibrer, Jonathan… Il lui répondit à son message, le remerciant puis s’excusant d’être en ce moment distant. Trop de choses se dérouler pour l’ange de la mort dont sa vie était bien terne avait de rencontrer l’être noir. Faustus avait raison, tout ça c’était bien lié. Lucifer, les meurtres. Quelques choses de pire arrivaient, il le sentait lui aussi. Il lui demanda aussi de venir assister à la réunion, il avait besoin de le voir, non pas pour son sang même s’il en mourrait d’envie mais il avait besoin de son aide. Alexander s’était échappé, il n’avait pas lâcher un mot depuis la nouvelle. Se déplaçant jusqu’ici comme un fantôme, son amour avait fait le pire choix. S’échapper. Comme un criminel, il n’était qu’une question de temps avant que le Maire l’apprenne et qu’il soit définitivement perdu. Sixteen avait envoyé Fémur à la recherche du brun, son familier allait le trouver, il en était certain et là il pourrait le ramener à la raison. Alec n’avait pas compris ce que tu avais voulu lui dire de toute évidence. Le faucheur se rassit alors que son regard se dirigea enfin pour la première fois depuis son arrivée sur la reine des enfers. À ses côtés l’égyptien posa sa main sur son poing serré lorsqu’elle jura, il échangea un regard avec elle, cette lettre ne semble pas ravir sa démone. Méphisto se penche vers elle pour lui murmurer à l’oreille.

« - Alors ? C’est quoi la mauvaise nouvelle et la très mauvaise nouvelle ? »

Il haussa un sourcil avant de lever les yeux au ciel en posant sa main sur son front lorsqu’elle lui dit pour Alec, il aurait vraiment dû plaider la folie. Rapidement, il prend lui aussi son téléphone pour envoyer un message aux cambions qu’il connaît. Chercher Alec, ordre de la Reine. S’il y avait bien une personne pour le raisonner c’était bien elle. Une nouvelle fois il lui murmure ignorant quelque peu la reine des vampires apportant son soutien. Bizarrement tu avais du mal à lui faire confiance, parfois tu avais cette sensation de sentir son parfum sur ton corps alors que tu dormais juste. Tu commençais à te demander si Koen n’avait pas quelque chose à y voir puisque ça avait commencé depuis votre rencontre au cimetière.

« - Il y a ma voiture garée devant on peut sillonner les rues de la ville, il ne doit pas être parti bien loin à pied. Ou tu as une autre idée ? »

Méphisto était loin de se douter qu’en réalité son « beau petit-fils » n’était plus dans cette ville ni dans cette dimension. Dagmar avait fait sans savoir cette erreur d’utiliser ses pouvoirs en apportant le brun avec lui, il ne savait pas comment il avait fait exactement… Il s’était juste fortement concentré en pensant à son amoureux, ça l’aider lorsque toutes ses choses bizarres se passer. Soudainement c’était à l’entrée de Centralia que vous vous trouvez, la lueur dans les yeux d’Alec fait sentir à Dagmar qu’il a fait le mauvais choix. Il ne ressemble plus à celui qu’il croit connaître il a l’air… Plus cruel… Il essaye en vain de le rattraper mais la fumée noire du brun lui brûle la main ce qui le fait crier de douleur. Et alors qu’il le voit disparaître il se met à courir dans la direction inverse, il doit retrouver Christian.

( Pando )

Théodore McSincler observait le désastre face à lui l’air impassibles et pourtant en lui son être entier crier. Il se sentait humilié. Face à ses vautours qui ne faisait qu’une boucher de lui, les caméras filmer tout en direct et c’est à cet instant qu’il réalisa qu’ils ne pourraient peut être pas les sauver. Il comprenait leurs revendications mais ce n’était pas en leur faveur. Les humains étaient si susceptibles... ils auraient suffit d’être larmoyant pour peut être les attendrir mais dans leurs attitudes ils voyaient tous à quel point les créatures surnaturelles étaient en train d’imposer leur droit. Tout en leurs honneurs ou votre honneur. Mais aujourd’hui comme à partir du jour ou Angèle a déchu de ses fonctions, dans ce costume tire à quatre épingle et bien trop propre il était le maire de Philadelphie. Il devait penser à la société et non à un cas isolé. Il secoua la tête d’approbation au discourt de Seven. Avant de faire signe à sa secrétaire qui se tenait non loin de lui.

«  - Mr Doe, j’entends ce que vous dites et je ne peux que le confirmer d’une part. La justice a ses procédures et sans toutes les preuves notre décision est fortement biaisé. J’ai étudier moi-même le dossier de Mr Black et les preuves étaient sans appel. Comme je l’ai dis précédemment nos effectives sont en train d’être renouveler, justice seras faite et nous dédommageront Mr Black à la hauteur qu’il n’a qu’un tier éprouvé. Cependant, le nom de monsieur black seras lavé si vous acceptez de transmettre à ma secrétaire votre enquête. Nous vous payerons en conséquences des heures que vous avez passez dessus. »

Ne rebondissant pas sur l’annonce concernant Lucifer il put cependant entendre les exclamations dans la salle.. ce n’était vraiment pas une bonne idée d’annoncer ça a une ville qui avait déjà temps de mal à accueillir les créatures obscures comme ils les appelaient.

« - Mr Sinclair n’avez vous pas peur de cette menace que représente Lucifer ? Et est ce vrai que vous avez été un ancien chasseur de ses mêmes créatures pour lesquelles vous prêcher actuellement ?
- Lucifer ne me fait pas peur et il doit pas vous effrayer non plus. Il est un être qui se nourrit de l’effroi et de la faiblesse dans laquelle nous sommes lorsque nous éprouvons ce sentiment. Nous combattrons ensembles et nous le repousseront autant que possible main dans la main entre humains et être surnatuelle. Bannissons cette appellation de « créature obscure », ils ne sont rien de plus que des humains comme vous avec quelques atouts en plus si je peux dire. Ses nos contes et nos légendes qui a fait d’eux ce que vous appelez des monstres. J’ai énormément côtoyer de créatures, il est vrai que j’ai étais un chasseur pendant une grande partie de ma vie. Pendant 23 ans je l’ai était mais je vous assure que je n’ai jamais prit goût à devoir ôter une vie. C’est l’éducation que j’ai eu, les histoires qu’on me racontait et l’atmosphère où j’ai grandis qui m’a fait devenir tristement un chasseur. J’ai pu me rendre compte de mon erreur lorsque j’ai rencontré ce qui est à présent ma meilleure amie. Au début je l’ai vue comme vous, un monstre. Un danger qui ne pourrait faire de moi qu’une bouchée. Mais quel intérêt ? Personne n’est guidée par le simple désir de tuer, il y a forcément des motivations et c’est en faisant part que de l’affreux côté des choses que ça forge les esprits craintifs. Personne ne nous dit que si la peste a était éradiquée c’est grâce aux sorcières qui en parallèle de la chasse dont elles faisaient preuves rassembler tous leurs ressources pour purifier cette terre. On ne nous parles pas non plus des loup-garous qui ont beaucoup porté nos uniformes et ont combattu pour sauver notre pays a de nombreuses occasions. On ne mentionnes pas les êtres des eaux comme monsieur Rosenwald qui pourtant chaque jour en plus de périr de nos mauvais choix écologique participent activement à l’écosystème marine. Sans eux notre besoin vital qu’est l’eau serait déjà en pénurie depuis longtemps. Les vampires qui chassent les animaux les régulants, les démons du sexe qui permet d’exaucer nos pires fantasmes, les banshee qui sont toujours là pour vous aider à faire votre deuil, cette étrange femme qui vous parles après un enterrement que vous ne connaissez pas et qui pourtant trouve les mots juste. Je pourrais vous donnez autre mile exemple si ça permet de réaliser que notre survie dépend également de celle des autres. Nous sommes une société, une unité. Si nous continuons de nous attaquer entre nous je suis certain que le monde court à sa fin. Ça seras ensembles ou personne. »

Il posa enfin son regard sur la reine des enfers après son discours, elle était splendide mais des qu’elle ouvrait la bouche il se rappeler de pourquoi ils aimaient secrètement les hommes. Il échangea un regard au shérif de la ville, Ian, il s’en rendit pas de suite compte seulement lorsqu’un flash apparu et qu’il cligna plusieurs fois des yeux. Finalement, il regarda un instant sa meilleure amie avant de revenir sur la brune qui finis par révéler la disparition du jeune homme. Théodore lança un regard furieux au shérif et aux policiers présent dans la salle, comment ça se fait qu’il soit le dernier à l’apprendre ? Il se retient de hurler alors qu’un membre de la sécurité qui venait de l’étage du dessous se pencha sur lui pour lui murmurer qu’effectivement Alexander Black est en fuite. Le bâtiment est confiné car l’état à lancer l’état d’urgence, ils pensent qu’Alexander peut venir le tuer. Le maire trouver ça ridicule, Le Brun était sûrement déjà à plusieurs kilomètres. Et la situation était pire que prévue puisqu’il devait à présent l’annoncer à la télévision et donc... déclenché ce qu’il devait faire.

« - Philadelphie est à partir de cette heure confiné à cause d’un état d’urgence, le prisonnier Alexander Jack Black s’est échappé de sa cellule. Je vous demande à tous de rester chez vous et de prévenir le shérif si vous l’apercevez. Nous sommes en états d’urgence. Je demande à toutes les unités et à l’armée qui se prépare à se déployer sur la ville et aux alentours de le retrouver. Cette conférence s’arrête ici, excusez moi. »

Les flashs des appareilles pleuvent, Théodore descends de son estrade et soudainement ça fuse. Une balle de sniper qui fonce droit vers son front, personne n’a le temps d’intervenir et au moment fatidique où la balle n’est qu’à quelques centimètres de sa peau un de ses vecteurs d’ombres sort de son dos, attrapant à la dernière minutes la balle. La seconde d’après le vecteur a déjà disparut lâchant la balle d’un petit tintillement. A ce même moment Le patriarche Wahsem manque de se faire caillasser par la foule la sécurité en profite pour se mettre en chasse du tireur, le maire s’interpose aussi. Espérant que cet accident a détourner l’attention de l’erreur qu’il a faite. Pour les plus vifs d’entre eux ils comprendront que leur nouveau maire est une créature surnaturelle pour d’autres ils est probablement protégée ou bien pour les plus idiots.. ils n’avaient rien vus. Il tira l’homme jusqu’à son bureau où ils s’enferma avec l’équipe de sécurité du maire. C’était pire qu’une catastrophe.... le président allait juste lâcher une bombe sur cette foutue ville. Il envoya un message à sa meilleure amie lui demanda de le rejoindre rapidement. Et dès ça fait il se tourna vers Ian.

« - retrouve moi ce fils de pute de Black ou je te vire. Ta compris ? Souffla-t-il a bout de nerf, comment ça se fait que je suis pas au courant ? J’ai étais humilié en plein live. C’est le pire début de mandat que j’ai vu de mes yeux nom de Dieu !»

Il ne le ferait pas vraiment mais il était si bien énervé. Il se tourna ensuite vers le Sénateur Wahsem pour se confonda en s’excuse. En parlant de Wahsem depuis la balle qui avait faillit touché le maire, le triton s’était rapprocher de saon fiancé.e d’un air protecteur il l’avait forcer à aller vers le sol au cas où que d’autres balles fusent. Ils se relevèrent, le triton prenant la main de Salierye et courras jusqu’à Lilith et Mephisto qui avaient commencer à attaquer la reine dont son amant démoniaque avait finit par prendre sa forme démoniaque pour la défendre. Il se battaient violemment avec les journalistes, Wolfgang arriva près de la reine qui manqua de se prendre une chaise lancée qu’il avait arrêté de son avant bras. Son garde lui demanda immédiatement s’il allait bien soulignant bien le « mon roi ». Wolfgang évita de répondre prenant rapidement  la main de la reine et l’attira pour se retrouver dans un couloir dont il referma la porte et la bloquèrent avec un meuble. Et merde. Il avait laissé Mephisto à l’intérieur et son garde.

« - je vais devoir y retourner, restez ici je serais rapid.. »

Il se coupa en voyant des membres de la sécurité arrivé. Il sortit ses crocs en leurs crachant dessus de colère avant de foncer sur un homme bien décidé à faire couler le sang avant de jouer le héros.

Pendant ce temps là Sixteen profita de ce brouhaha ambiant pour faire signe à Seven de le suivre et d’aller chercher Faustus pour s’éclipser rapidement de la salle avant que tout soit fermé. Les faucheurs enfila leurs accessoires d’invisibilité puis posa une main sur l’humain pour le rendre invisible à son tour. Ils sortit du bâtiment l’ouïe attiré soudainement par les battements d’ailes osseux de Fémur qui arriver vers eux. Il se pose sur la main tendu du faucheur déchu, il fit tomber de son bec un bout de papier. Centralia. Le plus vieux se tourne vers ses compères l’air un peu désolé.

« - Mes amis vous êtes ceux en qui j’ai le plus confiance, Alexander est à Centralia j’ai besoin de vous pour aller le chercher. Je n’ai pas sa position exacte et nous devons le retrouver avant que les effets de Centralia ne nous le prenne. Lorsque monsieur Black est arrivé en ville, j’ai tout de suite compris une chose. La nature est bien faite et rien ne peut exister sans une finalité. Centralia et la double dimension sont ce que nous croyons irrémédiable malgré qu’elle perturbe l’équilibre. Alors... la nature lui a créer une faille, pour un monde interdit.. il lui fallait une créature interdite. Un être noir. S’il reste dans cette ville... Il finira par la détruire, ses habitants avec et surtout lui-même. L’homme de fer prit une longue inspiration avant d’en sortir son carnet de la mort, Je sais que je vous demande de prendre un risque mais.. ça fait plusieurs mois depuis l’enfermement d’Alexander que je vois son nom sur mon carnet. Malgré que j’ai déchu, je peux encore voir ce carnet. Je dois essayer de sauver Alexander qui a en risquer ma vie et je vous jure que je ferais tout pour protéger un maximum la vôtre. Vous êtes partant pour une nouvelle mission suicide ? J’augmenterai vos salaires de 20% si on survit.  »

Il esquissa un sourire maladroit se voulant être détendu, depuis sa relation avec Alexander le faucheur redevenait petit a petit ce qu’il était, ce qu’il croyait être humain mais.. ce n’est pas la sujet. Après leurs réponses Sixteen prit le pendentif du souvenir qu’il avait dans sa poche pour le mettre autour du cou de Faustus, ainsi  il ne seras pas touché par les effets de Centralia. Ils prient leurs  mains se concentrant jusqu’à ce que le temps s’arrête complètement, il avait encore ses pouvoirs de faucheurs et même la déchéance ne pouvait pas lui retirer ses cinq cent ans ainsi. Puis il se pencha faisant signe à son associé humain puisque l’autre faucheur savait déjà comment changer de dimension, puis il prit une grande inspiration qu’il souffla. De la fumée blanche presque scintillante sortie de sa bouche et se mêlèrent aux souffles des autres hommes jusqu’à ce que l’homme de fer prit son visage de mort. Lorsqu’ils rouvrirent les yeux la ville se Centralia se dessina devant lui. Ses compagnons avaient changer physiquement ils étaient à l’image de ce qu’ils seraient s’ils étaient habitant de cette ville comme toi. Tu ne te voyais pas mais eux si, adieu tes cheveux mi long et ta barbe tu avais les cheveux rasé à la militaire et aucun poil sur le visage. Au lieu de tes costumes habituel tu portais un uniforme de Chef d’escouade écossais, tu avais quelques médailles accrochés et à droite sur une plaque était inscrit un nom que tu ne serais lire. Abel G. McKibben. Le faucheur danois devait savoir qu’il s’agissait de ce qu’était son vieil ami avant de se conduire à la mort tout comme lui. Tu les observa longtemps surpris de voir ce qu’ils auraient pu être avant de vous reconcentrez sur la mission.

« - comment faisons nous ? On se sépares ou on restes ensembles ? »

( Pando )

Théodore écouta son interlocuteur avec la plus grande attention, ses doigts se resseraient dans ses mains moites de colère. Celui-là il commençait vraiment à lui courir sur le harricot, c'était ton procès ou quoi ? Tu fronça les sourcils avant de lui répondre.

"- Prenez donc ma place Mr Doe si vous pensez faire bien mieux que moi. Je viens d'être promus maire il y a deux jours. Connaissez vous quelque chose en administration ou bien en politique ? Pensez vous vraiment qu'on peut rebâtir les fondements de la société en deux jours ? C'est vous qui êtes bien naïf, vous réclamez votre liberté mais vous dites qu'une entente n'est pas possible. Alors comment voyez vous l'avenir dans ce cas ? Un côté les humains et d'un autre côté les créatures ? Ne soyez pas ridicule. J'essaye tant bien que mal de faire changer les choses mais comme on dit Rome ne s'est pas construit en un jour. Et je me répète mais si vous pensez faire mieux que moi prenez donc ma place, je vous l'offre volontiers."

Des nuits blanches passés à refonder Philadelphie, des cernes comme des valises à te casser la tête pour appliquer de nouvelles lois en faveur des créatures, tu avais saisie le sénat et le prédisent non de Dieu. Et ce faucheur te tourner en ridicule ? Non mais sérieusement... N'y avait-il pas quelqu'un de censé dans cette auditoire pour comprendre que la justice et les lois se font dans le temps et non immédiatement ? Sinon ça se saurait... Le monde serait déjà idyllique depuis bien longtemps. La suite n'augmenta qu'un peu plus la colère en toi mais, tu restas le visage impassible.

"- Mr Doe je vous prie de rester formel avec moi, ce n'est pas parce que vous enquêtez sur ma vie privé que vous pouvez m'appeler par mon prénom. Une procédure judiciaire est d'ailleurs en cours vis-à-vis de ça, intrusion dans la vie privée d'autrui. Nous proposerons à Monsieur Black un suivi psychologique, une thérapie ou qu'importe autre qui pourrait l'aider mentalement à nos frais. Néanmoins c'est un sujet que je verrais avec lui, juste avant mon discours le directeur de la prison a reçus une lettre faisant sortir cet innocent.  Mes erreurs ? Je suis désolé mais je ne suis pas Madame Nightingal, si vous voulez vous en prendre à quelqu'un c'est vers elle qui faut se tourner vue que s'est elle qui a emprisonner votre ami. Comme je le répète, puisque je ne fais que ça avec vous, mes hommes sont ceux que je suis en train de changer non ceux qui date d'il y a encore trois jours. Le Shérif Powell qui se tient à mes côtés vient d'être lui aussi être embaucher, nous lui avons fait passer un test qui se révèle favorable à nos nouvelles instruction. Avec votre comportement à chacun j'ai bien peur que ça soit vous même qui causez votre perte et je refuse d'être le bouc émissaire de ce fiascos."

En sécurité dans cette salle suite à la dégénération qui s'est produit de l'autre côté, tu te frotte les tempes qui te font un mal de chien, si avec tout ça le président ne lâche pas une bombe sur la ville vous avez franchement de la chance. Tu as envie de te mettre dans un coin et de pleurer à chaude larmes, tu avais tellement d'espoir en eux... Tu pensais qu'ils allaient comprendre mais non ses furies n'ont fait que se tirer une balle dans le pied. Tous tes efforts... Réduit en cendre en même pas trente minutes. Samgry... Oh super. Comme si tu n'avais pas assez de problèmes à présent ton ancien plan cul refaisait son apparition devant celui actuel.

"- Toi tu fermes ta gueule c'est pas le moment Zahir. Alors, je t'en supplie me chauffe pas j'ai toujours de l'eau bénite sur moi. Oh pas grand chose, juste une putain d'apocalypse télévisé et une évasion en direct et devine quoi ? JE SUIS LE DERNIER A L'APPRENDRE ! Ma parole il est aussi con que sa vieille peau de grand mère ! J'avais réussi à obtenir sa libération et il se barre ?! Bordel de merde.... "

De nouveau tu envoie un message à Blanche un simple : SOS ramène l'alcool. Forcément que tu es exécrable, c'est dans ta nature, dès que tu es énervé tout le monde prends. C'est ta manière d'extérioriser.

"- On s'en fout de ma crise d'angoisse, une nouvelle si importante tu aurais dû me le dire ! J'aurais pu essayer de faire quelque chose ! Ton équipe que toute la ville considère de bras cassés ? SU-PER. J'ai envie de mourir... Laissez moi..."

Soupires-tu longuement avant de poser ta tête sur la table en bois, Ian s'en vas et tu vois ce satané costumier mater son cul ?! Tu attrapes l'agrafeuse à côté de toi et la lance en pleine tête de ce satané cambion avant de lui lancer un regard noir. Zahir semble bien s'entendre avec le paternel Wahsem et temps mieux, ça lui fait un peu oublié ce beau désastre... Et bah non.. Puisqu'il revient vers toi.

"- Michael.. Restez assis et ne buvez pas le temps que je vous explique... Je vous ai fait venir ici car Philadelphie rentre dans l'histoire.. Les légendes de nos mythes, de nos contes pour enfant.. Elles existent. Philadelphie est la première ville a reconnaître et a appliquer des lois en faveur des créatures surnaturelles. Loup, vampire, demi-démon, succube/incube, demi-ange etc... Ils vivent parmi nous et je voulais vous montrez que ses gens sont comme nous, des gens normaux qui veulent juste leur liberté. Mais c'est raté, ils vous ont montré tout le contraire et surtout.. Qu'ils sont bien comme les humains, avide de sang et ingérable. Je suis désolé... Oh hum... Oui... Vos fils sont ici Michael. Enfin, votre fils et votre ainé.e. Alice et Salierye.. C'est une longue histoire mais digérer déjà la première partie."

Le grand écran accroché au mur se met alors à sonner soudainement informant un appel visuel avec "Le Président des Etats-Unis", tu te tournes vers la sortie commençant à courir vers elle mais le sénateur Wahsem te rattrape te forçant à te rendre devant la télévision et t'encourage. Tu peux réussir. Tu vas les sauver et sauver mes enfants. Tu inspires et expires longuement, laissant Zahir rajuster ton costume et après les deux sortit du champs de vision tu décroches.

"- Monsieur le Président ! Quel surprise que vous m'appelez, tout se passe bien ?
- Théodore McSinclair.. cesse donc tes minauderies, je sais ce qu'il se passe. Le monde entier le sait et l'a vu.
- Je vous présente mes plus sincères excuses monsieur le Président, ça a dégénéré et ça ne se reproduira plus. Ils sont bouleversé par l'emprisonnement à tord de leurs amis..
- Mon garçon... Cesse donc. Je t'avais prévenu avant de soutenir ta promotion, cette ville de créatures est fichue. Tu ne pouvais pas les sauver, je te l'avais dit, c'est déjà une cause perdu. L'opinion publique n'est même pas favorable en leur existence et ce qu'ils ont fait aujourd'hui à aggraver les choses. Beaucoup de nos citoyens se ruent aux aéroports pour partir de nos nations, ils ont peur. Effectivement ça ne se reproduira plus, je vous laisse du temps aux sénateurs et à toi de partir de Philadelphie et une fois faite, j'ordonnerai sa suppression entière, l'armée est déjà entrain d'arrivés, tout va revenir dans l'ordre.
- Monsieur le Président ! Attendez ! Vous ne pouvez pas faire ça, ça ne changera rien à leur existence les créatures surnaturelles ne sont pas qu'à Philadelphie mais partout dans le monde... Si vous faites ça se sont des légions de ses races qui vont se soulever pour venger leur confrère.
- Et alors ? Nous les extermineront aussi, nous sommes peut-être plus faible mais nous sommes plus nombreux, des humains commencent déjà la chasse. Il suffit que je l'autorise pour que la population s'en donnent à coeur joie pour les exterminer. Nous existons depuis des siècles et la plupart d'entre eux sont déjà en déclin. Fiston. j'admire ta détermination et je t'apprécie beaucoup mais tu y perdra le mental à te démener pour une cause perdue.
- Monsieur le président.. Je vous en prie. Ils ont fait des erreurs mais j'ai foi en eux... Je sais que je peux créer une entente entre ses deux parties, ils arriveront à vivre ensembles je vous le promet !
- Théodore.. Je ne sais pas... C'est un trop gros rique...
- Je suis un sorcier monsieur le Président. Je suis un sorcier. D'un ancêtre très lointain et je l'ai su très tard. Mais, suis-je comme eux ? Tout ce temps ou vous m'avez cotoyer ai-je étais une menace ? Monsieur.. Je vous en conjure, laissez-moi essayer, donnez moi du temps pour vous montrez que j'ai raison et vous deviendrez le premier président en faveur de ce monde nouveau. Et si c'est un échec... Vous pourrez tout bombardé et moi avec.
- Très bien. Je te laisse six mois pour essayer fiston mais, j'impose que la ville soit emmuré et condamné pour l'instant. Aucunes sorties, aucunes entrées. L'armée seras dans les rues et aux alentours. Je dois protéger les co-citoyens à l'extérieur qui pensent que ses créatures ne vivent que dans cette ville. Et si tu échoues alors il n'y aura plus de porte de secours pour eux. Bonne chance Monsieur le Maire de Philadelphie, j'espère sincèrement que tu auras raison."

L'appel se termina, tu te permis enfin de hurler le plus fort possible avant de renverser la table devant toi, le temps était à présent compter. Tu avais six mois pour tout changer ou bien la mort vous feras son baiser à tous.
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Méphisto lui n'avait rien comprit à se soudain changement de situation il avait suffit qu'il évoque Lucifer et que des balles soient tirer pour que ses humains se retournent contre vous. La preuve ils s'attaquaient à ta Reine, alors là... Ca allait chauffer, hors de question que ton amour ne leurs donnes ce qu'ils veulent, ils veulent la pousser à bout et lui offrir le rôle de dangereuse créature. Tu ne laissera pas passer ça.

"- Hors de question ma reine que vous vous salissiez les mains avec ses chiens ! Ils seraient bien trop heureux de voir l'affreuse démone que vous êtes ! Ils ne vous méritent pas !"

LE cambion se concentra intensément avant de lever les mains et de parler latin à l'envers face à lui ses agresseurs humains se mirent à hurler de frayeur, Méphisto venait de matérialiser leur pire phobie dans leur petite cervelle d'humains, ça les occupera assez le temps qu'il s'occupe d'un autre groupe d'humains qui s'en prenait à d'autre créatures, à présent il allait simplement les manipuler pour qu'ils s'attaquent entre eux et ça marcha. Pour les prochaines fois il préféra s'occupait manuellement de ses poings les autres fou dans cette pièce. Il adorait ça, le chaos, la violence, il se sentait dans son élément et il s'en délecta comme le pire des demi-démon. Son vieux père aigri devait être si fier de lui. Il perdit cependant son extase lorsqu'on lui frappa le dos avec une chaise en métal plusieurs fois tombant au sol sous le coup, il fût rapidement la cible de plusieurs humains en colère, roué de coup à même le sol, grognant de colère il se releva emportant plusieurs corps sur son dos et se balança en arrière pour les cogner contre le mur.

Wolfgang lui pendant ce temps là lui ignora royalement la question de saon amant sur son titre, il ne pouvait pas lui dire maintenant, s'iel savait la vérité iel deviendrait qu'encore plus fou. En plus, il avait d'autres poissons chat à fouetter à cet instant. Cependant, la rage passa directement en voyant cette mocheté de Chad, il ne l'avait pas revu depuis sa relation avec Salierye et franchement il aurait dû rester terrer comme le rat avide de ses miettes qu'il était et en plus il l'insulter d'anguille ? Son poing pertit directement dans le nez du sorcier face à lui. En voyant le sang y couler il espérer sincèrement qu'il lui avait cassé. L'ignorant de plus belle il se tourna vers Salierye.

"- Mon coeur, tu pourras me crier autant que tu voudras après mais ce n'est pas le moment... Je t'expliquerai tout après mais, je t'en prie reste en sécurité. Je vais juste récupérer Méphisto et mon garde, je reviens de suite.. Et si ce fils de carpe te fais quoi que ce soit je te jure que je chante pour lui et je le regarderai lentement sombrer dans la folie. Je t'aime."

Il lui déposa un baiser sur ses lèvres avant de retourner à l'intérieur, aussitôt il se précipita sur la foule qui était sur le cambion l'aidant à s'y défaire mais à peine une minute après la porte s'explosa et la voix de Lilith retentit. Méphisto et lui ainsi que son garde, rejoint par Adélaïde se précipta vers eux, les entraînant avec eux dans leur fuite ils s'enferma plus loin dans une autre salle libre. Méphisto essuya le sang qui coula de son front avant de se tourner vers la reine des Vampires.

"- Et alors ? Que devons nous faire de cette information si crucial ? Le Maire est un sorcier ? Génial. Mais, on as une foule d'humain en colère, vous devez vous souvenir de l'inquisition et de la chasse aux sorcière non ? Nous y revoilà. Pour l'instant on est sain et sauf. Mais maintenant il nous faut un plan avant de finir sur un bûcher. Enfin, ma chère Reine et moi n'auront aucune blessure mais vous...
- Succédeur ? Interpella le garde du triton, Voulez vous que j'utilise la corne ? Je peux appeler votre peuple pour maintenir votre sécurité. Ils devront ses humains.
- Non, ils seront incontrôlable sur terre. Ils tueront tout le monde sur leur passage... Oh tu crois qu'on peut les appeler uniquement pour celui-là ? Tu sais celui avec son nez raplatit ?"
Demanda le triton en montrant Chad du doigt, l'autre triton sortit une corne fait de coquillage et s'apprêta à souffler dedans puis Wolfgang l'arrêta lui expliquant que c'était du sarcasme.
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Sixteen sourit doucement aux paroles de ses amis et posa ses mains sur chacune de leurs épaules, les remerciant chaudement. Il tiqua un peu à l'annonce du père cosmique d'Alexander, ce n'est pas uniquement à cause de vos ressentit mais aussi parce que depuis la dernière réunion de famille... Tu savais que le clown ne pouvait pas s'empêcher de rire en te voyant.

"- Mmh... Le faire évader n'est pas aussi simple. La preuve en est là, il s'est évader et c'est la folie à Philadelphie. On ne l'a pas perdu, on ne sait même pas comment il s'est retrouvé à Centralia.Il s'est juste envolé d'un seul coup. "

Une fois dans la dimension maudite, tu regardes d'un oeil ébahis tes compagnons et Jack... Tu exploses de rire en le voyant de toutes ses couleurs, attrapant rapidement ton téléphone pour prendre une photo. Alors là celle là tu allais le resortir au prochain diner de famille. Tu calma ton rire avant de nouveau regarder tes compères.

"- Je ne veux pas être désagréable mais, je vous préfère dans l'autre dimension mes amis... Vous êtes si différent... Très bien nous allons commencé.... Ah bah par là, regardez, il y a des affiches... La secte de l'être noir ? Nous savons ou allait maintenant.."

Dis-t-il en arrachant l'une des affiches ou on pouvait voir le visage de son adoré, les cheveux blond et l'air profondément.. Méchant ? Il n'y avait pas d'adresse mais ça disait que ceux qui voulait le trouver le trouveront ? Ils s'aventurèrent dans la ville maudite marchant de longue minutes encore et encore, soudainement un petit garçon en pleure s'approcha de vous. Il avait quoi ? Moins de dix ans, il s'accrocha aux jambes de Sixteen, pleurant au sujet de son père qu'il fallait qu'il sauve car celui-ci lui faisait du mal. Sixteen était saisi cet enfant ressemblait comme deux gouttes d'eau à Alec... Qu'était ton être interdit dans cette dimension ? En tout cas, étrangement tu pris la décision de le suivre avec tes compères, tu demandas à Seven de le porter, si Alec était si différent dans cette dimension tu avais besoin d'être libre de tes mouvements au cas ou et parcce que Jack louchait beaucoup trop dessus. L'enfant vous mena jusqu'à une demeure mystique, pénétrant à l'intérieur vous arrivèrent dans une grande salle ou un trône d'une matière noire, dessus avec fierté se trouvait Alec. Sixteen resta un moment stupéfait avant de s'avancer seul vers lui.

"- Alexander.... Je suis venu t'aider. Ce que je voulais dire à ma dernière visite c'est que nous avons monter un dossier secrètement pour ta libération, tu es innocent, Lucifer t'a manipulé pour atteindre Lilith. Je suis venu te ramener à la maison... Comment tu as atterri ici ?"

( Pando )