Doggy Bag * Méphisto & Crystal

A ce même moment Mephisto lui aussi se regardait dans la glace de sa salle de bain, sa relation avec Lilith qui avait finit par d’officialiser lui avait fait remonter la dangereuse pente sur laquelle il avait glisser depuis son accident télévisé. Il n’y avait que la présence de la reine qui faisait taire cette voix qui te disais que tu n’étais qu’un moins que rien. Un démon raté. Aujourd’hui tu avais peu de rendez vous alors tu t’étais permis de te prélasser dans le bain avec la démone sous sa forme masculine qui était tout aussi appréciable que sa féminine. Mais le devoir t’appelas et c’est à cet instant que tu étais face au miroir que tu avais acheter à ton père il y a des années. Tu te demandais parfois si cet affreux chat savait pourquoi Balaam n’avait jamais voulut vendre la deuxième partie, poussant à te demander à quoi il pouvait bien servir. Tu l’ignorais mais c’était un portail il y étais déjà arrivé à des moments de tristesse intense de voir la boutique refléter soudainement. Parfois il y avait sa familière, puis lui même puis parfois personne. Tu pensais que c’était des visions liés à ton prisonnier vampire. En ce moment tu ne voyais plus rien mais tu ressentais encore ce vide qui t’a accompagné pendant une majeure partie de ta vie. Durant tes études tu avais appris que c’était lié à un traumatisme, un abandon d’une personne fusionnel dont tu ne te souviens pas. Rapidement tu avais fais le lien avec tes géniteurs du rejet de la paternité de Balaam à l’inconnue qu’est ta génitrice. Tu souffrais d’une famille que tu n’avais pas connue et à force des années qui passait la douleur s’était complètement atténuer. Mais la cicatrice persister. A maintes reprises tu avais demander son nom à ce père qui se murer dans un déni palpable, il ne voulait rien te dire. Absolument rien. Tout ce qu’il te restait était de prier les entités démoniaques de t’aider à apercevoir la vérité sur tes origines, mais jusqu’ici tu étais bien plus prit par le cas de Koen. Ainsi une fois prêt tu t’étais rendu à l’hôpital pour accueillir tes patients, la dernière patiente fut bien étrange une femme égyptienne qui te donnait l’impression de sortir d’une autre époque. Tu l’avais trouver face à ton bureau entrain de fixer la plaque accrochée dessus, étrangement ta secrétaire rester fixer sur son ordinateur comme si la présence de cette femme ne lui semblait absolument pas étrange. Tu t’étais juste absenté récupérer des dossiers concernant un de tes patients et elle était soudainement apparue. Ouais bon, tu savais que Anubis Khelifa ce n’était pas commun mais quand même cette insistance sur ton nom... tu l’avais tout de même saluer et tu t’étais présenter lui demandant si elle cherchait quelque chose. Surprise elle avait rendez vous avec toi mais aussi elle ne parlait que en arabe. Comme pour te tester ? En tout cas tu avais fais ta consultation en arabe et en notant que la femme aussi magnifique était elle devait sûrement souffrir de démence. Comme ses habits pouvaient le témoigner et pourtant elle te semblait si familière. En tout cas tu ne rumines pas plus longtemps que ça, Lilith avait un problème, c’est qu’une fois en fin de journée que tu ressors de ton bureau la blouse sur le corps. Tu es si distrait par les messages de ta reine que tu l’oublie même de la retirer récupérant ta voiture dans la plus grande des précipitations. Directement tu t’allume une clope et tu mets du ACDC à fond dans ton 4x4 dont tu fais crier les pneu. Il faut que tu ailles à la boutique de ton père, il n’y a que lui qui doit avoir ce que tu cherches. Des chaînes maudites.

Sillonnant dans les rues avec ton bolide tu finis par trouver la boutique de ton père, une dizaine de minutes après fidèle à lui même il aimait te mettre des bâtons dans les roues et avait fait exprès que pour toi la boutique soit taquine à t’apparaître. Tu finis par te garer devant puis sortir en entrant dans le Pandémonium ta mine se déconfit automatiquement à la vue de cette horrible chose à quatre patte. Si au début tu avais tenter de lui faire des papouilles, à présent tu restais bien loin de cette hérésie. Ses grands yeux bleus te donner l’impression qu’ils étaient avide de sang. Brrr. Ce chat t’horripiller vraiment. Astucieux tu avais pourtant amener une arme redoutable que tu utiliserais sûrement plus tard. Pour l’instant tu tentais la carte du client fidèle.

« - oooh bien le bonjour Crystal, moi aussi je suis ravie de te voir, c’est toujours un plaisir d’être reçus aussi grandement qu’est mon statut de client. Bref. Mon père est là s’il te plaît tendre chatte qui s’inquiète de mes finances ? À Ton avis qui paye tes croquettes hein ? »

Questionnes-tu l’air enjouée t’accoudant  avec nonchalance sur le comptoir en faisant taper tes doigts à un rythme régulier. Tu t’impatientes de nouveau, Lilith avait trop utilisé ses pouvoirs son enveloppe charnelle risquée de craquer et il n’y avait que les chaînes à ta connaissance qui pouvait l’en empêcher. Tu craignais que chaque minutes sois décisive pour sa condition et tu n’étais pas prêt à te séparer de la brune sulfureuse qui venait tout juste d’arriver sur terre. Heureusement pour elle tu étais un as dans le façonnage d’hôte et si tu arrivais à retenir une âme en toi tu pouvais bien l’aider à ce que ses pouvoirs ne tuent pas son enveloppe. Jettent un coup d’œil un peu partout tu vérifie bien que le démon amer ne soit pas là avant de soupirer bruyamment.

« - Bon. Très bien. Tu as des chaînes maudite ? Un truc dans le genre peut être ? Même un collier du diable je prends ! »

T’exclames tu en tapant joyeusement sur le comptoir avant d’éviter un coup de griffe de la familière. Tu pestes contre elle alors que tu t’éloignes pour faire un tour dans la boutique, voir si quelque chose d’autre pourrait t’être utile. Après quelques minutes tu tombes sur une vielle boîte à musique égyptienne, tu jettes un regard en arrière pour voir si cette harpie ne te vois pas puis tu l’ouvres laissant la douce et discrète musique se diffuser. Chantonnant à voix basse la berceuse égyptienne que ta mère adoptive te chanter. Enfin tu crois, en tout cas tu connaissais cette musique et tu sembla étonné de ne voir aucun prix accroché dessus, soit tu le prendra quand même tu savais que ça plairait quand même à Besthsheba ou bien même à cette étrange patiente. Pourquoi tu pensais à ça ? Tu ne la connaissais même pas mais son histoire t’avais une part touché tu n’avais eu que le début mais tout de même. Puis tu la referme avant de la reposer et de continuer ton tour. Une fois de retour vers le comptoir, tu sors de ta poche un sachet d’herbe à chat voulant voir si ça pourrait calmer la familière. Tu en prends entre tes doigts pour le cachet derrière ton dos alors que la familière revient vers toi.

« - Dis- moi la boîte à musique égyptienne près de la vitrine elle est à vendre ? Tu en veux combien ? Tu pourrais me faire une ristourne après tout.. je t’ai ramener un cadeau... »

Finis-tu l’air vicieux presque sadique sur le visage alors que tu brandis l’herbe que tu agites face à elle, tu éclates de rire en voyant sa réaction et profite même pour lui caresser le ventre.

« - Oh mais c’est un gentil matou ça ! »

Tu jubiles carrément t’amusant à faire tout ce que ce chat de malheur t’empêche d’habitude malheureusement ça ne dure pas longtemps puisque l’herbe finit bien vite dans l’estomac de la chatte et tu te mets à fuir dans toute la boutique complètement hilare. Tu lui lances quelques objets que tu trouves pour la ralentir mais la gueuse est tenace dans sa vengeance. La porte s’ouvre soudainement grave au t’instillement significatif, vous vous stoppèrent toi en pleine formule prêt à invoquer un chien de l’enfer et elle dans son bonds les griffes sorties pour balafrer ton visage. Vous êtes comme stopé par une force invisible. Et face à vous se dessine l’ombre de votre patriarche, l’air froid et le sourcil relevé il vous observe avec son mépris habituel. Balaam s’avance enfin vers vous en prenant la parole.

« - je vois qu’il suffit que je m’absente une heure pour retrouver un bazar ici. Je suis très déçus Crystal tu m’as assurer que je pouvais te confier cette responsabilité. Et quant à toi Anubis, car oui apparemment c’est la seule chose qui te fais réagir, je te prie d’abstenir de venir si c’est pour casser ma propriété et maltraité ma familière. Vous méritez une bonne punition tous les deux et il est grand temps que vous arrêtez de vous chamailler sur ma propriété. A mon retour j’exige que ça soit propre et les prix de ce que vous avez casser.. je t’enverrai une partie de la note Mephisto et je retirais l’autre moitié de ton salaire Crystal. A présent, vous avez 2h »

Balaam fit demi-tour le visage serré et sévère, lorsqu’il claqua la porte derrière lui les deux personnes reprit le contrôle de leur corps, le cambion évita de justesse la familière et reprit son souffle annulant son invocation. Se précipitant sur la porte ce n’est que quand tu l’ouvre violemment que tu remarques que face à toi ce n’est qu’un désert sans fin. Balaam vous a piéger, tu pestes, tu n’as certainement pas 2h à perdre pour cette sauvage. Et est ce que tu es homme de ménage déjà ?

« - je suppose que tu peux peut être nous tirer de la ? Je veux bien utiliser mes pouvoirs mais ton petit corps frêle ne le supportera sûrement pas. Bien joué en tout cas, si on en est là c’est de ta faute. »

Tu croises les bras sur ta poitrine d’un air vexé, tu avais l’impression d’être traité comme un enfant alors que bon sang ! Tu avais presque soixante cinq ans et un père absent qui voulait à présent jouer les figures paternel.. cette blague. Et en plus coincé avec cette fichue harpie tu ne saisissais pas le rapport.