♕ Sixteen ❅ Keanu Reeves (Faucheur)

Mar 12 Nov 2019 - 16:20

Sixteen ~~Abel McKibben~~ Doe

ft. Keanu Revees

Surnom : N'essayez pas, pour vous c'est Mr Doe pour les plus proches Six et grâce à ta réputation "l'homme de fer".▲ âge, date et lieux de naissance : Sur les papiers c'est inscrit le 15 février 1969 mais, en réalité tu es né le 28 octobre en 1492 dans les Highlands écossaise. ▲ Race : Faucheur depuis bien trop longtemps ▲ métier, études : Détective indépendant et investigateur de l'équipe de faucheurs de la ville. ▲ orientation sexuelle : Inconnu, probablement pan. ▲ statut civil : C'est compliquée, hanté par une femme et en train de tomber amoureux d'un homme. ▲ traits de caractère : écrire ici, une dizaine. ▲ groupe : Vox mortis et aussi Ambassadeur des morts au sein du Cercle, Decem Sacris. ▲ crédits : vhcwz, dash et inconnu pour le gif.

But I'm creep, I'm weirdo

I : Depuis combien de temps êtes-vous faucheur ? Depuis 488 ans, le temps devient aussi long qu'est profonde la mélancolie qui t'habite.
II : Quel poste occupez-vous auprès de ce groupe ? Investigateur de l'équipe de Faucheur de la ville, tu as été choisi grâce à tes années d'expériences et au parcours sans faute que tu as fais. Rien ne ce fait tant que tu n'en a pas donner l'ordre.
III : Est-ce que vous arrivez à contrôler vos pouvoirs ? Une grande partie oui mais, il faut avouer que tu restes instables, certains demandant plus d'énergie que d'autres ceux-ci t'affaiblis rapidement et plus tu es faible et moins tu a le contrôle.
IV : Avez-vous déjà commis l'interdit en sauvant un défunt ? Jamais. Tu sais que trop bien que l'équilibre doit être maintenu et que si quelqu'un est destiné à mourir, la mort le reprendra d'une autre façon.
V : Ou en est votre mémoire, avez-vous des brides de votre passé ? Il n'y a que les iris d'une certaine personne, que tu ne connais pas mais, qui te hante encore et encore chaque nuit. Tu ne te souviens de rien mise à part de son visage.
VI : Est-ce que votre humanité à refait surface ? Jusqu'à maintenant tu n'étais fais que de marbre, rien ne pouvais t'atteindre mais, récemment lorsque tu as vu ses iris dans le monde réel tu as commencé à ressentir quelques sentiments. De la peine.. Beaucoup. Et c'est la cause de l'instabilité de tes pouvoirs.
VII : Quel est l'objet qui vous sert à être invisible aux yeux de tous ? Avant tu avais juste mis la pierre dans un bracelet que tu gardais à ton poignet puis, celui-ci à fini par casser à l'aube de tes 450 ans en tant que faucheur. Part dépit tu as changer pour un paire de lunette de soleil noire, là ou dans l'une des branches se cache la pierre.
VIII : Si l'on vous donnez le moyen de ne plus être faucheur accepterez-vous ? Officiellement tu dirais que non, toujours pour maintenir les apparences coûte que coûte mais la réalité en est bien loin... En vérité tu recherche un moyen de t'extraire de ta condition depuis des années mais, pour l'instant tu n'as pas encore trouvé comment.
IX : Que pensez-vous des créatures surnaturels ? Indifférent, tu n'es pas pour ni contre, toi tu fais juste ce qu'on te demande. Tu en as pourtant bien rencontrer des créatures mais, tu n'as jamais eu particulièrement de soucis avec. Toi tu as juste du mal avec les interdits c'est tout.
X : Promettez-vous d'obéir aux règles des faucheurs et d'en subir les conséquences ? Oui, comme il y a 488 ans lorsque tu as signé de ton sang le code des faucheurs.

« Ces serments, ces parfums, ces baisers infinis, renaîtront-ils d’un gouffre interdit nos sondes, comme mentent au ciel les soleils rajeunis. Après s’être lavés au fond des mers profondes ? Ô serments ! Ô parfums ! Ô baisers infinis !»

Si je dois conter ton histoire mon ange je dois alors remonter dans le temps ou celui-ci n’avais pas encore de limite, là ou l’univers aller se voir naître, lorsque le créateur habile de ses mains confectionna alors ce monde que nous connaissons. Mais avant nous il y eu les légions angéliques, ses êtres rayonnant qui loué ses louanges jusqu’au jour ou l’un deux se rebella. Hors, c’est une autre histoire et heureusement pas la tienne. Les légions démoniaques prient vies à cet instant alors guidé par l’ange déchu devenant seigneur des Enfers, par la même occasion certains se mêlèrent aux humains créant alors des êtres mi-démoniaque mi-humain, voyant le monde qu’il avait créer brûler à cause des vestiges de l’un de ses fils, le Créateur ordonna à ses anges de se laisser aller au plaisir de la chaire qui pourtant leur avaient interdit. Mais, ils n’avaient plus le choix, sinon l’humanité serait perdu entre les mains de ses créatures qui plus tard prient le nom de Cambion. Beaucoup d’anges se mêla aux humains pour créer alors ce qu’on appelle la légion angélique terrienne, ils étaient là pour combattre les rejetons diaboliques qui sévissait sur terre, une longue guerre démarra entre ses deux races et au jour d’aujourd’hui celle-ci n’as toujours pas prit fin. Permis les pères et mères angéliques certains préfèrent s’abstenir, créer une descendance tel quel ça demander de l’énergie et surtout du pouvoir. Car en créant un enfant ainsi le parent angélique se voit alors aspirer une partie de ses pouvoirs par l’enfant. Il n’était donc pas rare de voir certains soldat du créateur passer leur tour et secrètement dénigrer ceux qui l’ont fait. Permis eux, il y avait alors Azraël surnommé la faucheuse, elle était celle chargé de récupérer les âmes des créatures vivantes et de les transférer là ou ils le méritaient. Elle n’avait pas le temps d’avoir un enfant et encore moins l’envie. Puis les temps devenaient plus sombre, la guerre entre le bien et le mal continuer à faire couler du sang, tant les pertes étaient nombreuses. Puis un beau jour vient une prophétie, dans celle-ci une partie marqua la faucheuse. Celle qui lui informer que malgré tout attente elle aurait un fils.

«- ... Et le fils chevauchant son destrier à la robe couleur pâle fondit le ciel, derrière lui les Enfers le suivaient, dans sa main l’épée de son père brillante sous les reflets des soleils devenue rouge.... Il terrassa de sa puissance angélique l’ennemi apportant la paix sur la terre. La mère et le fils ne firent plus qu’un, la mort prit un nouveau visage, celui de l’ange s’étant sacrifier par amour. »

Et c’est là qu’on vas laisser ce pré-quel de côté pour alors s’intéresser à toi mon petit, on ignore pourquoi Azraël a changer d’avis et encore moins ce qu’il l’a pousser à croire cette prophétie mais en tout cas, elle s’unit avec un homme écossais, en plein deuil, un marin qui n’avait pas vraiment de grandeur, pas d’héritage à transmettre et qui était assez simple. Le pêcheur ne se souvient pas vraiment de cette nuit, ayant abusé du vin ce soir là, sa seule consolation pour un homme que la solitude hantée depuis la mort de sa femme touché par une maladie étrange. Quelques mois plus tard lors de l’une de ses pêches Gordon fut attiré par les pleures d’un jeune nourrisson il se laissa guidé par cet appel à l’aide orientant alors son bateau jusqu’à une grotte marine, au fin fond de celle-ci il trouva ce qui sembla être un trésor de pirate mais, la plus belle des richesses reposaient là emmitouflé dans une couverture chaude ou le seul détail était la bordure d'un prénom : Abel. Gordon vida de fond en comble la grotte prenant en premier l’enfant dont les pleures s’étaient calmés aux creux de ses bras, il le ramena chez lui avec la forte conviction que sa vie aller à présent changer. Car oui Abel, tu as bouleversé la vie de ton père.

Gordon déclara l’enfant comme le sien, il n’était pas vraiment dans le mensonge au fond, il lui donna même son nom et vient alors ton identité : Abel Gordon McKibben. Le fils du marin, le pauvre garçon n’ayant jamais pu connaître sa mère et celui que son père chérissait l’avenir. Tu n’as pas eu à te plaindre, ton père t’a tout appris de comment être indépendant à comment exprimer son amour envers les autres. Il était un homme strict avec toi parce qu’il avait la frayeur que tu deviennes aussi misérable que lui avant de t’avoir. Les Highlands t’offrit une vie paisible dans ce petit village ou vous aviez élus domicile bien que tu n’as pas de fratrie proprement parler tu grandis avec les enfants de ton père et de ta belle-mère qui deux années après ton arrivé s’étaient rencontrés et la douce écossaise avaient alors décidé de t’élever comme son fils. Tu grandis avec quatre autres enfants et encore une fois tu n’a pas eu de problèmes. Les premières années de ta vie étaient douce et instructive, tu eu la même éducation que ton père qui à l’époque était un des seuls hommes à refuser à corriger physiquement ses enfants, il préféré te punir en te faisans monter dans ta chambre et en attendant que tu réalises ta bêtise, à côté il t’a appris la pêche, la chasse, lire, écrire, les bonnes manières et tout un tas d’autre chose. C’est vers l’aube de tes douze ans que tu commença à prendre part aux entraînements pour rentrer dans l’armée écossaise, vous aviez un voisin à l’époque qui était lui-même engagée et il te conter tout ce qu’il pouvait, à chaque fois tu avais toujours ce même regard ébahis. Tu n’avais jamais voulu suivre la voie de ton père la pêche était intéressante mais, étrangement tu ne t’y retrouver pas, toi ce que tu voulais c’était être utile aux autres.

Pendant la même période tes pouvoirs angéliques se déclara ta famille prit peur au début mais fier croyant il préféra alors se tourner vers le pasteur de l’église locale. Par chance, l’homme connaissait plus que bien la situation du garçon, lui-même il avait un enfant ainsi. C’est à ce moment-là que ta famille et toi-même appris la vérité sur ce que tu étais c’est-à-dire un nephilim. Un véritable don du créateur. Tu n’as jamais su qui étais ta « mère » et ce même après ta mort. Les choses se déroula assez vite, ta famille déménagèrent finalement pour rejoindre le village d’à côté, celui que les gens appeler l’Eden. Il était très étrange comme village, tous le connaissez et pourtant personne ni aller même si c’était uniquement pour le commerce. Des rumeurs sombre entouré la contré que tu compris suite à ta situation, en réalité les habitants de ce village n’était en réalité rien que des humains basique avec leurs progénitures qui étaient tous comme toi. Des nephilims. Par la suite tu apprendras qu’en réalité c’était une base de cette fameuse race, le créateur avaient donné des ordres et avaient bien préparer les choses, dans celui-ci les enfants étaient formés pour être des soldats de dieu à leurs tours. Couvert par le nom de l’écosse, officiellement vous n’étiez qu’un clan reculé alors que officiellement de mèche avec l’état vous étiez une extension de l’armée envoyé pour repousser les envahisseurs pas que humains. Il n’y avait pas que toi qui été engagé, tout les enfants y habitant avait dû de force ou non rejoindre les rangs. Si on devraient leurs donnés un nom sûrement l’un que l’ont connaît aujourd’hui : Les chasseurs d’ombres.

Comme toi ses gens grandirent en jonglant avec les deux facettes de leurs personnes, leurs vies humaines et leurs vies de demi-anges. Tu étais un élève exemplaire tu voulais toujours en savoir plus et bien même si au début tu contrôler moyennement tes dons, tu fis dans l’avenir preuve d’un self contrôle honorable. Si bien que lorsque tu reviens victorieux de ta quatrième bataille au nom de l’Ecosse dans ton village ce fût un véritable événement, parce que dans les troupes anglaises que tu devais combattre se trouver des cambions qui terroriser les habitants de leurs noirceurs. Tu en tua cinq. Assez pour te promouvoir nouveau général de cette légion, l’ancien préférant partir profiter de ses beaux jours en laissant la nouvelle génération prendre le dessus. Tu hésitas longuement avant d’accepter le poste, tu étais promis à une autre nephilim depuis ton arrivé à l’Eden et comme beaucoup tu rêvais de fondé ta propre famille avec une femme aimante. Heureusement vous aviez toujours été assez proches, sachant tout les deux l’avenir qui vous était réservé, Shioban t’encouragea à accepter cette promotion. Après tout c’était ton rêve et elle ne voulait pas que tu le brises pour elle... Oh mon ange si tu savais ce que cette femme allait déclenché peut-être que tu ne serais jamais revenu.

Seize jours. Seize hommes. C’est ce qui tourner en boucle dans ta tête lorsque tu pris les navires à ta disposition pour aller droit pour la première fois vers le nouveau monde, officiellement vous y aller pour une expédition, officieusement la première guerre de la magie faisait rage au sein de ce qu’il se nommera aujourd’hui Philadelphie. On avaient appelés l’aide de tout les nephilims de ce monde pour combattre le mal et comme toi beaucoup tenta de porter secours pour ce qu’ils estimaient la bonne cause. Pour ta part seulement une poignée d’hommes de ton estragon te suivi, les autres jugeant la situation bien trop dangereuse préféra rester avec leurs familles. Ce que tu pouvais comprendre mais, toi tu n’avais pas le choix, tu étais leur guide. Vous êtes arrivés quelques jours avant la grande bataille, assez pour repérer les lieux et peaufiner votre stratégie. Tout iras très bien tu le savais, tes hommes t’avaient rassuré, dans seize jour tu pourrais enfin devenir un homme marié et avoir un tas de angelots. Lorsque le grand jour arriva vous étiez poster dans la lisière de la forêt bordant le terrain vague ou la rencontre eu lieu. Toi et tes hommes attendiez le moment idéal que vous aviez estimé pour se joindre à la bataille. Tu eu une prière intérieur pour la femme qui t’attendais en écosse car oui même chez les nephilim à l’époque la misogynie était présente, si les femmes étaient-elles aussi formé à devenir des soldats jamais elles en portaient l’uniforme. Comme beaucoup d’humains elles étaient réduite leurs maris et leurs enfants, juste en plus le pouvoir de riposter si elles viendraient à être en danger. Ce fût lorsque le premier général nephilim de l’Angleterre tomba que vous vous ferez prendre dans un assaut des cambions dans votre dos, ils vous attaqua par surprise et la bataille commença alors que vous étiez rejoint par les survivants anglais. Ce fût un massacre aussi bien du côté des cambions mais aussi de votre côté. Notamment lorsqu’un de ses rejetons mauvais t’enfonça sa lame aussi profondément qu’il pouvait pour ensuite t’attaquer à plusieurs en profitant de cet instant de faiblesse. Tout se passa énormément vite, tu encaissas les coups de tes ennemis jusqu’à ce que tu perte connaissance terrassé par la douleur. Tu repris fugacement les esprits lorsqu’on sembla traîner ton corps dans un brancard d’infortune qui te donna l’impression d’être sur une barque, ta gorge se noua à ce moment-là encore plus lorsque tu entendis dans tes oreilles le son d’une cornemuse jouant un air triste, tu savais ce que ça représenter. Tu allais mourir. C’était la procédure lorsqu’un de vos hommes étaient tombé aux combats, ses frères d’armes le ramener alors eux-même tout en jouant de cet instrument par respect et surtout pour avertir le monde de la triste nouvelle. Tu te laissas bercer par le son de instrument te replongeant dans un sommeil dont tu ne pouvais pas luter.

Honnêtement tu restas peut-être six longues heures endormis cause de la douleur atroce que tu ressentais, les traitements de l’époque n’étant pas comme ceux d’aujourd’hui il n’y avait rien pour la soulager et au fond c’était déjà un miracle que tu étais encore vivant. Lorsque tu te réveilla la première chose que tu vis est les iris océaniques de cette femme que tu aimais déjà tant, elle posa une main sur ta joue t’annonçant que les cambions t’avaient empoisonné de leur sang, la seule solution était qu’ils purgent ton sang mais, les régentes présentes étaient contre tu avais déjà perdu bien trop de sang. Ton avenir était incertain. Encore plus aux côtés de cette femme qui te mentais sans que tu le sache, en réalité les sorcières avaient trouver une solution il suffisait juste de te faire un don de sang en même temps que la purge. C’était risqué mais, jouable. Hors, ça ne rentrait pas dans les plans de la nephilim que tu devais épouser, elle qui avait toujours souhaiter être libre et se libérer de l’emprise des hommes, elle te haïssait pour cette captivité que tu incarnais à ses yeux. Tu ne le seras jamais mais, c’est Shioban qui vendis ta stratégie aux ennemis, elle leur révéla tout et surtout votre position. Naïf que tu étais, tu t’étais confié dans ses lettres que tu lui envoyer perdu entre deux lignes ou tu lui déclarer ton amour. Mais pour l’heure, tu lui réclama juste un baiser, c’était tout ce que tu voulais. Tu étais terrifier et tu voulais juste être rassurer. Elle fit bien plus que de te donner un baiser, qui fut le premier, elle te donna aussi sa chaire que techniquement tu ne dû avoir qu’après le mariage, peut-être avait-elle pitié de ton état tu pensais. Mais, non. C’est lorsque tu approchas de la petite mort qu’elle planta son pique à cheveux à la pointe de fer dans ta jugulaire que tu compris, cette offrande n’était qu’une diversion ou peut-être un pardon d’avance, le regard de la nephilim changea pourtant lorsqu’elle réalisa ce qu’elle venait de faire, elle prit peur et prit la fuite en remettant ses robes. Te laissant là à agoniser, tu n’avais jamais ressentie une tel douleur et tu ne savais pas si celle qui dominer était ta veine percé ou bien ton coeur brisé. Et c’est là que tu vis la mort, littéralement, droit devant toi tu ne pouvais à peine définir son visage tant celui-ci était brumeux mais elle posa une main sur la tienne qui tenait le pique tu ne savais que faire. Et la mort t’aida alors à prendre une décision. Tandis que sa main squelettique poussa la tienne légèrement, d’un coup sec tu trancha la gorge et la dernière chose que tu vis ce jour-là c’est la mort te donner son baiser.

En mémoire de Abel Gordon McKibben,
général de guerre Écossais, fils de marin et homme d’honneur.
Que ton âme repose en paix.
1492 - 1540

« - Sixteen ? »

Demanda-tu à l’homme cintré dans un costume noire devant toi, tu ne comprenais rien, tu n’avais aucun souvenirs ni même aucunes pensées, le vide régner dans ta tête. Tous ce que tu te souvenait c’est de t’être «réveillé» en sursaut dans un champs de chardon proche de toi il y avait une grand plume noire et en t’aventurant permis les fleurs après une dizaine de minutes tu vis une loin une sorte d’habitation ou sur ses marches un homme en noir t’attendait. Il se nomma « Brown Doe » et ce fût lui qui te prépara à ta nouvelle vie sans que tu le sache tu étais à présent un ange de la mort, dédié à servir la mort en faisant comme les autres s’étant ôter la vie comme toi, vous deviez récupérer les âmes des défunts et garder l’équilibre intact. Après t’avoir expliqué les bases, les règles et les interdictions tu signa automatiquement les règles des faucheurs. Après tout pouvais-tu réellement refuser ? Ton apprentissage à ses côtés dura une cinquantaine d’années déjà d’une part pour contrôler ses nouveaux pouvoirs mais aussi pour maîtriser tout un tas de choses propre votre race ; vos carnets, les potions de l’oubli compliqué à réaliser, le dressage de vos faux et tant d’autre chose. Ta vie de faucheur n’avait bien de rien intéressant c’était une solitude sans fin, un poids pesé sur tes épaules celui de la mélancolie qui régner en toi depuis ta renaissance. Tu faisais des rêves étranges d’une seule même personne, d’une seule même couleur d’iris, tu pensais avoir le mal du pays ou que sais-je. C’est lorsque la bataille de Culloden eu lieu que tu eu tes premiers flash, prit de panique tu demanda à être muter dans un autre pays. Delà tu quittas l’écosse pour le nouveau monde, l’Amérique. C’est à tes 200 ans de faucheur que le conseil des haut-placés t’offre un nouveau grade, te voilà le nouveau investigateur de l’équipe de Philadelphie avec sous tes ordres l’équipe des faucheurs de la ville. Bien que tu étais heureux de faire correctement ton travail jamais cette sensation de solitude ne quitta ton esprit. Tu n’étais pas à ta place ici, tu le savais, quelque chose cloché mais tu ne savais pas quoi. Et tu avais bien trop peur d’être détruit comme ceux qui avaient enfreint les règles, détruit à jamais. Les 288 ans passa tout aussi rapidement et tu restas toujours insensible à celle-ci, tu ne quitta plus cette ville persuadé que tu trouvera une réponse ici. Mais pas que, tu fis aussi beaucoup de rencontres qui soulagea ton coeur de glace, des amis que tu ne pensais jamais te faire. Et permis eux il y avaient aussi ceux qui n’étaient plus, comme cet ange de la mort Pink, que tu pensais devenir fou et qu’à présent tu comprenais mieux les paroles. Tu l’avais rencontré cet enfant cosmique d’abords en tant qu’ennemi mais, au fils du temps ce gringalet semblé avoir le secret pour faire fondre iceberg que tu étais. Tu ne le réalise pas encore mais, cet être noir à bien fait plus que de te faire reprendre confiance en toi, il t’a appris le véritable amour mais, c’est à toi de l’accepter à présent. Hors, tu n’es pas encore prêt puisque les rêves que tu faisais s’étant intensifier, les émotions refleurissaient en toi depuis l’instant ou ton regard tomba sur celui qui hanté tes songes dans la vraie vie. Cette femme existait belle et bien, à présent tu devais la retrouver, c’est elle qui avait les réponses à tes questions. Enfin ça c’est ce que tu crois puisqu’en réalité les réponses après lesquelles tu cours se trouvent toutes devant tes yeux. Si seulement tu retirer ses œillères que tu t’imposes à toi même peut-être que ta vie serait alors bien moins grise.

« Pourtant, sous la tutelle invisible d’un Ange,
l’Enfant déshérité s’enivre de soleil,
Et dans tout ce qu’il boit et dans tout ce qu’il mange
Retrouve l’ambroisie et le nectar vermeil.»

pseudo : Bean Sí. ▲ âge, pays : 24 ans, France. ▲ pré-lien, scénario ? :Nop, perso inventé. ▲ mot de la fin : Bean Si à votre service, possédant un fort appétit et une certaine passion pour les jeux vidéos ainsi que la lecture. J'suis la plus galère de ce trio infernal mais, vous allez adorer me détester.