♕ Méphisto ❅ Tom Ellis (Cambiòn - Balaam)

Sam 4 Jan 2020 - 20:26

Méphisto Anubis Khelifa

ft. Tom Ellis

Surnom : Méph ou bien ce que tu veux, tant que j'ai ton attention. ▲ âge, date et lieux de naissance : D’apparence tu as une quarantaine d'années bien entretenues mais, en réalité tu as soixante-deux ans. Tu es né le 22 mars 1960 à Le Caire en Egypte. ▲ Race : Cambiòn, ton père est Balâam même s'il dit le contraire. ▲ métier, études : Psychothérapeute à l'hôpital de Philadelphie et présentateur télévisé de l'émission de chasseur de fantômes "The terror is reality". ▲ orientation sexuelle : Pansexuel, les limites c'est pour les faibles. ▲ statut civil : Célibataire, amoureux de la chair et de la décadence. Pourtant, tu es obsédé par deux reines. ▲ traits de caractère : Excentrique ☥ Manipulateur ☥ Égocentrique ☥ Mégalomane ☥ Compréhensif ☥ Joueur ☥ Gourmand ☥ Stratégique ☥ Dépressif ☥ ▲ groupe : Coum odio. ▲ crédits : icons_uwu_ et uc bazzart

Lost myself and I am nowhere to be found

I : Quand et comment avez-vous découvert que vous êtes un cambion ?[Je l'ai toujours su dans le fond mais, réellement à l'âge de 12 ans et je l'ai su lorsque mes dons se sont réveillés.
II : Qui est votre parent infernal ? (toutes mythologies acceptées.)Balâam malgré qu'il ne l'assume pas.
III : Quel est votre attribue démoniaque ?Ma colonne vertébrale n'est qu'une ligne d'écailles de serpent de couleur vert et noir.
IV : Contrôlez-vous vos dons ?Oui, plutôt bien et c'est culotté de dire ça sachant que c'est à cause de moi que les cambions ont été découverts. Mon contrôle est à 8/10.
V : Acceptez-vous votre condition ?Totalement, je l'adore même.
VI : A qui avez-vous poster allégeance ?À ma Reine Lilith et peut-être bien serais-je assis à ses côtés un jour.
VII : Si on vous donnez la possibilité d'être un.e humain.e Acceptez-vous ?Plutôt mourir déchiqueté par les chiens de l'enfer.
VIII : Quel est votre but dans la vie ? Le pouvoir, la renommée ou bien le chaos ?Le pouvoir et le chaos.
IX : Quel poste occupez-vous dans votre race ?Aucun, actuellement c'est une chasse au demi-démon dont je suis la cible à cause de cet accident.
X : Promettez-vous de respecter et d'appliquer les règles imposées par le cercle constituant une trêve entre les créatures surnaturelles en venant ici ? Non, je n'obéis qu'à ma reine mais, je ferais des efforts pour pouvoir vivre tranquille sans parasite.

22 mars 1960, Le Caire, en Égypte.

Il est minuit pile lorsque le premier cri du nourrisson retentit dans la pièce sombre de cette église délabrée où la pauvre femme poussée de toutes ses forces, exactement 59 secondes après un deuxième cri retenti se joignant aux pleure de l’aîné. Ce sont des jumeaux, des faux, qui viennent d’arriver dans une vie qu’ils n’ont pas voulu et par une mère qui n’en voulait pas non plus enfin du moins pas ainsi. Personne ne savait exactement comment celle-ci avait eu ses deux enfants, elle était une femme pieuse récemment piéger dans un mariage arrangé qu’elle avait encore une fois pas désirée. Son mari violent, imbu de sa personne et dont les abus ne semblaient pas faire pâlir son visage, la poussa à faire un choix, elle avait eu déjà ses « bâtards» comme ils le disaient hors mariage, il n’allait pas en élever deux. Mais, la sélection était impossible à faire pour elle, lorsqu’elle regardait le visage masculin du premier enfant elle pouvait déjà lire que son fils serait assez courageux pour affronter la vie qui l’attendait et quant au deuxième nourrisson dont les traits doux de son visage presque fragile témoigner de son sexe féminin, sans aucune raison vraiment parlante Winnie sentit un effroi douloureux lui transpercer son coeur. Sa petite fille allait atrocement souffrir, bien trop pour n’importe quel être humain ou enfin, cambion et alors que son épouvantable mari la pressa elle finit par se décider. Elle garda la petite fille, convaincu que seule une mère pourrait la protéger face à l’avenir bien ombreux qui l’attendait, elle laissa le garçon dont la seule sage-femme au courant de son accouchement clandestin s’occupa de le laisser devant un orphelinat. Elle ne put s’empêcher de prier pour le garçon, elle l’avait bel et bien remarqué que ses deux enfants n’étaient pas des êtres humains, comme en témoigner la ligne d’écaille de serpent couvrant la colonne vertébrale du nourrisson. Ils étaient des demi-démons. Quelle horreur.

22 mars 1968, Le Caire, En Égypte.

C’est ici que commence ton histoire bien que ce ne soit pas le début, c’est pile à ce moment là que les souvenirs se forment dans ta petite tête, c’est ton anniversaire aujourd’hui. Tu as huit ans, tout le monde est réuni à l’orphelinat pour fêter avec toi ce qui semble être le jour le plus important de ta vie, enfin tout le monde non.. En réalité il y a six personnes si on compte les deux femmes s’occupant de cet établissement, le reste est dehors ou bien dans leur chambre à voguer à leur occupation, pourquoi ils ne sont pas là ? Tu le sais déjà Anubis, ils ont peur de toi, ils disent que tu es un monstre, ils se moquent de ton prénom, de ton nom, tu n’attises que la pitié et le dégoût. Tu le sais c'est vrai, tu l’as déjà remarqué et ce n’est pas pour rien qu’en plus de ton jour de naissance on fête ton arrivée ici. Personne n’a jamais voulu t’adopter, parce qu’à chaque fois qu’ils remarquaient ta particularité c’était toujours la même épouvante dans ses yeux globuleux d’humains. La peur les dominer et à cause d’elle tu avais fait que des séjours courts dans ses prétendus foyers. À cause de ça, une haine naquit dans ton corps et dans ton esprit, tu deviens un gamin plein d’amertume, ils te traitaient comme un monstre alors que tu faisais tout ton possible pour être aimé alors, s’ils voulaient vraiment un scélérat tu allais le devenir.Et c’est ce que tu fis, ce fût la mauvaise chose puisque ça repoussa encore plus ceux qui pouvaient s’intéresser à toi. Tu étais intelligent, vif d’esprit, curieux envers le monde qui t’entourait et lorsqu'on te connaissait on savait que tu pouvais tout donner pour le peu de personnes qui t’entouraient. Tu dus attendre encore une année avant que finalement un couple t’adopte malgré les pires facettes que tu montrasses ils ne lâchaient pas l’affaire et tu dus te rendre compte à l’évidence. Ça te procurait de la joie dans ton petit corps, tu avais enfin trouvé une famille. Des parents qui allaient t’aimer démesurément, toi qui l’espérais en n'en ayant pas connu cette mère qui n’avait pas voulu de toi ni que tu ne la retrouves. Tu allais enfin être heureux.

22 mars 1972, Alexandrie, En Égypte.

Tu cours à en perdre haleine dans les rues bondées de la ville portuaire de l'Égypte, tu es couvert se suit noire qui obstrue quelque peu tes narines et tu sembles sous le choc. Tu ne t’attendais pas à tout ça en croyant enfin que la vie te donnait ce que tu méritais, tu avais vu le déclin du père de famille, se noyant dans l’alcool suite à ton adoption il avait perdu son travail, ils étaient endettés jusqu’au cou et les frais engendrés par ton existence n’aidaient pas. Il ne t’aimait plus comme avant, tu étais un problème pour lui à présent, tu l’entendais souvent le soir lorsqu’il croyait que tu dormais, il disait à ta «mère» que tu ne valais peut-être pas le coup. Qu’après tout il était vrai que tu étais étrange, la déformation dans ton dos, il avait consulté l’iman de la mosquée non loin de chez vous et le verdict était sans appel. Tu étais démoniaque. Un fils de Satan. Et cette nuit de ton douzième anniversaire il voulait se débarrasser de toi, te libérer de l’emprise du malin, il allait peut-être te tuer tu ne sais pas trop. Mais, en tout cas tu te remémorer bien ce moment ou ses mains se trouver à serrer ton cou fragile, tu manquais d’air et pour la première fois tu avais vu ta vie défilée devant tes yeux, ta courte et misérable vie. Puis, un cri, celle de ta « mère » qui sauta sur son mari pour te libérer de son emprise. Et la haine revient dans ton corps faisant battre ton coeur de façon démesurée tu la sentais remplir tes veines, cette puissance nouvelle qui était en réalité tes dons qui se réveillaient. A peine tu avais repris ton souffles que tu tournas vers le couple qui se bagarrer, la femme te hurler de partir mais, tu ne le fis pas. Au contraire tu relevas les iris devenus entièrement noirs vers eux et sans prévenir d’une raison étrange les rideaux à ta fenêtre prient feu. Très vite l’étincelle se propagea une ligne formée invisiblement se dirigea vers l’homme qui avait tenté de te tuer, rapidement il prit feu à son tour, sous le regard effrayer de sa femme qui ne réfléchit pas et sortit de la maison juste à temps. Tu étais toujours à l’intérieur, consumé par la souffrance que tu provoquais et te ravissais. Les flammes ne te firent rien, un bouclier invisible s’étant formé autour de toi mais, pas de ton chef, tu le compris lorsqu'un homme barbu et aux cheveux mi-longs blancs apparut soudainement face à toi. Il te tendit une main que tu pris, il te guida hors de la bâtisse qui tombait à cause du feu, une fois dans le jardin il te donna de l’argent et une adresse. Il ne pouvait pas rester avec toi mais, il te promit que si tu suivais cette voie tu trouverais quelqu’un qui s’occuperait de toi. Elle lui en devait une qu’il disait. Avant de disparaître il te dit pour dernière parole : « bien que je ne sois pas physiquement près de toi, une part de moi vie en toi et grâce à elle je sais quand tu ris, quand tu pleures, quand tu souffres. Je te protégerai toujours Anubis, j’en ai fait la promesse.»

22 mars 1973, Alexandrie, En Égypte.

Qui aurait cru que ta treizième année serait la plus belle ? Depuis ce jour tragique lorsque tu as fait le choix de suivre les conseils d’un inconnu en se rendant à ladite adresse, tu trouvas en arrivant à celle-ci une maisonnette ne payant pas de mine mais qui dégageait une étrange sensation chaleureuse. À son perron il y avait déjà une femme d’un air angoissé qui t’attendait déjà une clope à la bouche, elle écarquilla les yeux en te voyant avant de te prendre dans ses bras. Elle savait déjà tout, l’homme qu'apprendra bien plus tard se nommé Balaâm lui avait déjà tout raconté et il avait même trafiqué tes papiers, elle était à présent ta représentante légale. Tu vis confortablement à ses côtés, elle t’appris la vérité sur ta nature dont elle partageait la même que toi, elle te rassura sur tes dons et t’enseigna même à les contrôler. Elle t’offrit tout ce que tu pouvais souhaiter mais surtout de l’amour, à contrario de ce que pensent certains sur les cambion, vous étiez aussi capable d’éprouver ce genre de sentiment. Et ta relation maternelle avec Bathsheba en était la preuve, c’est grâce à elle que tu pus avoir à partir de tes treize ans une enfance normale. Et l’entrée au collège se passa étonnamment bien à présent tu pouvais camoufler ta particularité et les autres arrivaient à te voir comme un «humain» plutôt qu’un monstre. Enfin, tu pouvais être véritablement toi.

22 mars 1981, Aéroport de Hurghada, En Égypte.

Bathsheba pleure à chaudes larmes alors que tu essayes tant bien que mal de la rassurer, tu reviendras la voir pendant les vacances tu le promets et de toute façon tu ne peux pas vivre sans elle. Mais, elle est inconsolable c’est la première fois que tu pars aussi loin d’elle mais, à présent tu as vingt et un ans tu n’es plus un petit garçon et les événements de ta vie t’ont apporté assez de plombs dans la cervelle pour que tout se passe bien. À partir de ses treize ans tu pensais avoir une vie tranquille mais, pas du tout. À tes quinze ans, ta mère de coeur t’apprit que tu étais le dernier descendant de Koen Ashford le vampire originel le même qui fût tué pendant la première guerre de la magie mais, étant maudit son âme restée sur terre. Ils trouvèrent comme seule solution de l’enfermer dans des prisons de chaire, des hôtes qui seraient capables de garder en sommeil le vampire originel. Or, l’impitoyable Koen ne se laissait pas abattre aussi facilement et tous ses hôtes voyaient leur corps dépéri trop rapidement, Bathseba faisait partie de ses ordres assignés à garder l’originel bien loin de ce monde. Elle en avait déjà parlé à Balaâm de sa théorie qu’elle t’avait partagé à cet âge, l’ordre avait comme dernier espoir : toi. Le dernier héritier et qui dans l’ironie du sort était le portrait craché physiquement de l’homme. Tu avais toutes tes chances de ton côté pour faire de ton corps une prison qui pourrait durer des années et maintenir alors le monde de cette menace. Balaâm était bel et bien contre, hors de question pour lui déjà de te reconnaître alors avoir un vampire en toi... Cependant, tu devais tout à cette femme et pour lui offrir rien qu’une fois le pareil tu acceptes. Elle et ses sbires t’entraînèrent pendant trois longues années que ça soit par des tortures psychologiques ou bien physiquement pour mettre toutes les chances de ton côté de résister face à Koen et lors de tes dix-huit ans le transfèrent fussent faits. Le précédent hôte mourra sur le coup tandis que toi tu restas plongé dans un sommeil d’un mois avant de rouvrir les yeux, bel et bien en forme et le vampire originel enfermé en toi. Ça ne t'a pas empêché de mener à bien la fin de tes études au contraire, tu étais déjà un élève excellent qui brille de ses notes sans pour autant avoir besoin de réviser encore et encore. Ainsi le diplôme en poche en étant majeure de ta promotion, l’université de Philadelphie t’avait acceptée avec plaisir au sein de leur cursus psychologique dont un master avec la spécialité psychanalyse. Le plus fou c’est qu’ils te promettaient un poste au sein de l’hôpital de la ville si tu réussissais à avoir ton diplôme. Tu étais fou de joie mais, ta douce mère de coeur elle, s’inquiétait trop de te laisser seul avec le pourri en toi mais, tu ne lui laissas pas le choix. L’embrassant chaleureusement avant de rejoindre ton avion qui n’allait pas tarder à partir.

22 mars 1987, Philadelphie, États-Unis.

Quelle existence mènes-tu quand même mon petit démon, à peine un an après ton arrivée en Amérique que tu avais vu ton corps dépérir, tu mourrais à petit feu à cause du vampire en toi. L’ordre s’est trompé tu ne pouvais pas être un hôte éternel si ceux avant toi arrivaient à supporter l'originel trois ans, de ce que tu vivais tu pouvais en conclure que pour toi c’était six ans. Encore une fois c’est Balaâm qui vient vers toi, n’hésitant pas à te traiter d’idiot et toutes autres dérivées de ce joyeux vocabulaire, il s’entête à dire qu’il n’est pas ton père, que ta mère lui devait une dette et que tu allais la rembourser d’une manière ou d’une autre. Tu n’as jamais su quelle était cette dette mais en tout cas ce fût lui qui te donna la solution à ton problème, une nouvelle fois. Il te donna alors les instructions pour aller de ton chef en enfer, il te vendit trois pièces antiques servant à payer le passeur et c’est ce que tu fis. Tu pénétras dans l’un des musées les plus sécurisé d’Amérique ou permis l’une des peintures sous verre se trouver un passage droit vers l’enfer. Tu l’empruntas et comme convenu le passeur te laissa passer, Balaâm avait encore une fois déjà averti le roi et la reine de ta situation et donc de ton pèlerinage fût pris en charge par eux. Plus particulièrement par Lilith, la douce et sauvage reine des damnées qui avait fait de toi son jouet, elle t’avait si bien torturé que tu en réclamais encore, déjà bien masochiste avant de la rencontrer avec elle tu pouvais assouvir tous les sombres désirs et traversants. Elle voulait te briser et tu l’as suppliée pour ça. Koen détesté ça pour la bonne raison que la Reine arrivait à défaire son emprise sur toi, à l’affaiblir et requinquer ton corps. Pendant quatre longues années de vie terrestre donc quarante années infernales tu vis là-bas, tu ne devais pas rester autant de temps de base mais, la reine ne voulait plus te lâcher. Elle n’arrivait pas avaler que tu puisses lui résister ainsi toi qui ne serais qu’un demi-homme ayant eu une obsession pour elle avant de venir ici. C’était une partie de ta faute la première année tu avais fait un marché avec elle, elle t’autorise à sortir des enfers uniquement pour passer tes examens les plus importants mais, en échange elle te retiendrait autant de temps qu’elle veut. Au final ce fût Bathsheba qui négocia avec elle contre ta liberté, tu n’as jamais su ce qu’elle avait bien pu lui donner pour qu’elle te laisse partir mais, en tout cas à présent tu étais libre. Pile à temps pour la remise des diplômes, une nouvelle vie t’attendait avec le vampire bien au fond de toi.

22 mars 2020, Philadelphie, États-Unis.

Soixante-deux ans aujourd'hui depuis ce chemin de vie désastreux que fussent tes premières années, pour toi ce jour est plus que symbolique bien plus qu'une naissance c'est enfin le jour où tu as enfin à ta possession tout ce que tu as toujours voulu. Tu es psychothérapeute à l'hôpital de Philadelphie depuis ta remise officielle des diplômes, encore une fois tu as fini en haut du classement et ça t'a attiré bien nombreux de clients névrosés qui après avoir suivi une thérapie avec toi s'en sortaient bien ou mal. Tu l'avouais, tu appréciais parfois te servir de tes séances avec certains clients pour se servir de leur mental pour les détruire. Peut-être un reste de ton passé, tu aimais te venger sur certains humains ainsi, ils ne méritaient pas tous la rédemption. Mais, qu'importe. Ta vie est à présent bien plus belle, tu vis confortablement avec une petite fortune que tu as accumulée car en plus de ton statut de médecin tu es en plus présentateur de l'émission " The Terror is reality" que tu as monté de toutes pièces avec des confrères à toi qui se réjouissent à l'avance de faire passer un séjour terrifiant à ses gens qui payent pour venir dans ton émission. Ça te laisse part à ta créativité et tu dois l'avouer tu adores par-dessus tout d'être devant la caméra. De base tu te sentais plus heureux que jamais, la Reine étant en plus sur terre tu te disais que c'était le bon moment de ta vie. Et non. Car, l'univers est une petite pute. En plus d'une jumelle perdue, il y a eu ce scandale a eu lieu comme aux quatre coins de la ville alors que les humains découvraient certaines créatures surnaturels en plein massacre devant eux, à ce moment-là tu étais non loin de Philadelphie dans une maison abandonnée à investiguer avec ton équipe. Puis c'est arrivé alors que tu étais en plein live on a versé de la drogue dans ton verre et en pleine émission que soudainement tu as perdu le contrôle. Reprenant ta forme démoniaque tu as fait un véritable bain de sang, seul ton cameraman s'en ai sortit et il a gardé le silence. Tu l'as durement payé pour ça. Depuis, ton existence est en chute libre clairement. Tu sombres dans une profonde dépression, tu t'isoles du monde qui te rejette encore une fois par peur. On attend tes excuses publiques, la vérité, Lilith elle t'ordonnes de cacher tout ça, de ne rien dire si tu ne veux pas mourir, car la seule chose qui retient les démons de l'enfer à te mettre en pièces c'est elle. Mais, tu ne veux pas mentir, tu détestes passer pour un menteur. Alors, tu ne dis rien, tu ignores tout. Tu te caches dans ta prison dorée pour oublier, tu laisses tasser les choses espérant que demain tout irait mieux. Parce que oui, tu en es convaincu demain, tout ira bien. Ou après demain ou après-après-demain..

pseudo : Bean Si. ▲ âge, pays : 24 ans, France. ▲ pré-lien, scénario ? : Non, inventé. ▲ mot de la fin : Toujours la même passionnée de rp, possédant déjà Sixteen, Razièl et Méphisto.