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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mar 21 Avr 2020 - 14:32
Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis.Putain mais qu'elle idée d'avoir été faire tes courses... Déjà que tu trouvais rien à cause de ces dingues qui croyais que la fin du monde allait arrivée à cause d'une petite épidémie...
Si t'avais su t'aurais demander à Martin que vous vous installiez en Angleterre la ou ce foutu virus ne serais pas un problème en soit.

Ton cœur se serra en y repensant, et tes mains se serrèrent sur le volant. Martin. Tu regarda à ton doigt son alliance en argent. Tu ravalas tes larmes et souffla légèrement. Le temps n'étais plus au Deuil Evie. Ça faisait 6 mois. Six mois que tu étais veuve, six mois que tu étais seule, six mois... Six mois que Martin était mort, mort dans l'initiation des Scorpions. Au début tu avais rigoler, tu pensais que ton Bad Guy rouquin ne voulait que se faire mousser devant toi... Mais non. Tu l'avais compris quand plus tard dans la soirée un flic était venu te chercher pour identifier le corps de Martin.

Ton monde c'était écrouler.

Tu serra les dents, maintenant le temps était à la vengeance. Et ton plan était déjà dans ta tête. Il s'était bien orchestré. Mais il te faisait encore mal d'avouer que tu avais perdu ton grand-frère ce soir la. Amadeus. Quand tu étais arrivée chez les Forains, tu l'avais aider à recoudre ses costumes, il t'avais aider à devenir la première Prestidigitatrice au sein des Forains que tu accompagnais...

Tu avais profité de la mort de Martin pour le faire culpabilisé, ayant reprit des études à domicile tu n'avais pas d'argent, il t'en fallait pour payer le loyer.
Alors tu avais demander à ton meilleur ami, doué en chimie de te créer une Drogue. Tu la voulais bleue comme tes yeux. Bien que depuis quelque temps, ils viraient au noir.
Quand Amadeus en un soupir finis par accepter, il n'allait pas laisser sa meilleure amie et veuve de son meilleur ami dans la merde. Il t'avait créer le "Blueberry", une drogue terriblement addictive, au effet aussi positif que négatif, à la couleur bleue, qui s’ingérait comme un rond bonbon. Evidemment, ça ressemblait à une Myrtille.

Quand tu avais écouler un certains stock, tu reviens vers Amadeus et tu lui demanda cette fois la recette, tu t’inquiétais de savoir se qu'il y avait dedans et au début il n'avait pas voulus, tu avais du le menacer de goûter toi même jusqu’à trouver et il avait à nouveau capituler.

Tu avais la recette dans une main, ton téléphone de l'autre, tu étais assise sur le pont de New-York... Puis tu regardais le ciel en fumant ton joint. T'étais déjà aller trop loin. Autant aller jusqu'au bout maintenant. Tu jeta ton téléphone à la flotte, tu rentra chez toi... Tu pris quelque affaires... Puis tu quitta les lieux après avoir foutu un bordel monstre et casser tout se que tu pouvais cassé, laissant la porte de l'appartement qui fut ton havre de paix ouverte.

Tu avais abandonner Ama, ton dernier ancrage à contre-cœur. Tu pouvais pas le mêler à ça, t'avais peur qui lui arrive un truc. Aussi, disparaître c'était se que tu pouvais faire de mieux pour lui, le monde était petit certes. Mais avec chance tu aurais le temps de te venger avant qu'il ne te retrouve.

On ne t'appelais plus par ton Nom complet, ton nom de Dealeuse était devenu ton nom tout court. Evie Blue, il était sur de bien nombreuses lèvres alors  que tes stocks s'écoulaient de plus en plus, tu devrais bientôt faire appel à un chimiste de plus. Mais. Ce que tu cherchais fut la. Tu réussis à avoir l'attention que tu voulais.

Les Scorpions allaient t'accueillir chez eux.

Tu avais attirer leur attention avec ton empire de la drogue. Et tu avais passer l'initiation. Putain c'était dur. Et c'était pas parce que t'était une fille qu'on t'avais rendu les choses plus simples... A ça non. Et c'était tant mieux, t'en avait besoin.

Maintenant que tu étais au cœur du problème il fallait en trouver la source et l'éliminer. Tu savais aussi que tu avais le soutient de ton Ex-Belle-Sœur, même si vous ne vous parliez pas vous aviez le même but, tu lui avait fait promettre de ne rien dire à personne. Elle avait acquiescer.

Et la... Alors que tu rentrais de tes courses, un bouchon, tiens. C'était tellement surprenant dans les rues de New-York.
Tu soufflas et tenta de te faufiler sur la droite, y avait personne, t'étais dans ton droit, où du moins tu pensais que les autres l'avais compris avant qu'un tarés ne te fauche sur la droite.

"Putain c'est pas vrai..."

Tu étais sortie de ta voiture, hurlant des insultes au conducteur de l'autre véhicule, t'approchant prête à en découdre un peu plus... Avant de fermer ta gueule d'un coup.

Sur toutes les personnes que tu ne devais pas rencontrer... Enfin une seule en vrai, tu tombais sur cette personne. Et tu pouvais pas vraiment faire comme si de rien, il t'avait vue.
Tu savais qu'il t'avait reconnu malgré que tes cheveux avaient été colorer.

Tu recula et tu te barra rapidement dans ta voiture, prête à fuir une fois de plus. Tu avais fermer tes portes, tes vitres et tu démarrais...

Kof kof kof

"QUOI ?! Putain tu te moque de moi la?!"

Mais le ciel s'acharnait sur toi ou quoi? T'es vraiment poissarde ma grande. Ta voiture refusait de démarrer, et tu sursauta un grand coup alors que tu en entendis un contre ta vitre.

... Les confrontations avaient sonnées Evangeline, tu ne pourrais pas fuir toute ta vie.

@"A. Wolfgang Rosenwald"
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Dernière édition par Evangeline A. Harper le Mar 21 Avr 2020 - 15:30, édité 1 fois
Angèle Nightingal
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mar 21 Avr 2020 - 15:30
ENVANGELINE&
AMADEUS

Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis
Quelques jours étaient passés depuis la disparition d’Aloïs et les retrouvailles avec certains membres de ta fratrie, une redécouverte qui n’avait pas étaient unanime pour tous puisque le dernier homme de cette famille décidé qu’aujourd’hui il n’en faisait plus partie. Rancune tenace pour quelqu’un qui ne connaissait qu’une version de l’histoire. Tu avais tant à lui dire mais, Anselme ne cesser de te repousser sans cesse et avec la dernière découverte que tu avais fait, il était clair que tu étais loin de vouloir le confronter de nouveau. Tu n’avais pas vu le temps passé puisque tu en avais perdu la notion ses derniers temps, tu voulais tellement oublier les événements qui semblaient s’enchaîner constamment et comme à ton habitude tu n’en parlais pas te réfugiant dans ce qu’il est de plus sûr pour toi : Tes propres démons. Ils avaient différents visages, différents contrôles hors, une seule les réunissais : Le vice. Encore quelques semaines les choses auraient été cruellement différente s’il ne manquait pas une pièce majeur dans ton échiquier de vie, Evangeline. Ta meilleure amie ou l’ombre d’une amie, elle avait disparu du jour au lendemain, chaque jours passant sa disparition un poids se rajouter sur tes épaules : Celui de la culpabilité. Tu savais que son soudain intérêt pour dealer n’était pas bon, dangereux, très si on sait que ses derniers temps les meurtres étaient en hausse. Pourtant tu ne pouvais rien refuser à Evie, elle avait ses mots, ce regard, cette tristesse. Evangeline était morte en même temps que son défunt mari. Tu le savais et pourtant tu avais accepté. Il t’avait fallu une semaine entière pour rassembler tout ce qu’il fallait pour créer cette myrtille qu’elle voulait tant, ça allait l’aider à remontrer la porte financièrement, Martin n’avait pas d’assurance. Disait-elle, toi tu refusais d’accepter que ton frère de coeur qu’il avait pu être sois jeter aussi salement dans une fosse, si ça pouvait l’aider alors tu allais le faire. Cependant, à présent tu te retrouvais parfois tard la nuit à faire le tour de la ville, menant seul ton enquête et ça avait payer. Tu te rongeais l’espoir à la possible mort d’Evangeline et pourtant les scorpions n’avait qu’une phrase à la bouche lorsque tu leur proposer ta came, «Et Evie Blue tu en as ?». Cling. Le coup de massue en toi, non mais franchement être mis de côté par sa propre création c’était vraiment le comble pour un chimiste.

Alors tu y avais longuement réfléchi qui t’ouvrais les portes des mille et unes possibilités, peut-être qu’on la retenait quelque part, on lui avait peut-être volé sa drogue ou bien pire encore. Et les jours à venir tu compris que non, probablement qu’elle t’avait trahit pour une obscure raison puisque ce que tu lui avais déjà donné devrait être à l’heure d’aujourd’hui en rupture de stock et pourtant elle continuait de faire ses ravages. Cette liste d’ingrédients qu’elle t’avait demandée.. Non. Tu te refusais de croire à cette possibilité, elle était forcément dans une posture bien trop délicate, Evangeline ne t’aurais jamais fais ça. Vous vous étiez fait une promesse, jamais de mensonge. Et au fil des années la jeune fille t’avais bien montrée qu’elle était digne de cette confiance aveugle que tu pouvais avoir pour elle. Mein gott, si tu avais su petit triton. Aujourd’hui encore tu t’étais enfermé dans ta caravane qui était devenue au fil du temps ton labo artisanal avec juste un lit camp dans un coin, le succès de ton «Ambrosia» était mérité, tu étais l’un des meilleures chimistes du pays ce n’était pas pour rien si tu étais persuadé qu’on n'allait pas tarder à être surveiller. Ou du moins, essayé de te retrouver. Néanmoins, pas de chance, il te manque un ingrédient crucial qui te pousse à prendre le volant de ton vieux 4X4 à sillonner les rues de la grande pomme. Peut-être que tu n’aurais pas dû prendre le volant au vu de ton état, tu n’avais presque pas encore dormis cette nuit comme pouvait témoigner les profonde cernes sur ton visage. Puis brusquement la collision avec une autre voiture, tu vocifères contre le conducteur dans ta langue maternelle. L’autre portière s’ouvre, tu fais de même, sortant avec fureur en avançant droit vers l’autre idiot ayant eu son permis dans une boite de céréales, tu étais bien décidé à en découvre. Que le karma pouvait être si délicieux parfois, ça te rassurer il y avait en fin une once de justice dans ce bas monde. Car devant toi il y avait la personne dont tu avais le plus besoin au monde et celle qui t’avais abandonné. Elle repart dans sa voiture, tes sourcils se froncent, sa voiture ne démarre pas. Oh, Gott sei Dank. Une profonde tristesse t’emporte ou tu restes au milieu de cette rue bercée par quelques klaxons puis finalement tu décides d’aller la retrouver jusqu’à sa voiture. Que pense-t-elle à ce moment-là ? Vas-tu enfin avoir les réponses à tes questions ? Nous verrons. En attendant tu tapes de la phalange sur la vitre côté conducteur lui assignant un grand sourire éclatant, qu’elle savait décryptée par signe qu’elle était dans le pétrin, finalement ne voyant qu’elle ne réagit pas tu ouvres sa portière. Posant l’un de tes avant-bras sur la voiture pour prendre appui tu la regardes longuement avant de t’exclamer.


« - Navré Mademoiselle mais, on n'échappe pas à un magicien. Et encore moins aux assurances, donc tu es bien gentille, tu vas sortir de ta voiture et faire un constat. En plus, t’es en tort donc tu ne devrais pas trop la ramener avec en plus un délit de fuite ratée. »

Évidemment que tu l’avais reconnu, lorsqu’on savait que tu avais identifié le corps de ton frère si amoché était-il alors ce n’était pas une teinture qui allait te leurrer. Evangeline t’avais beaucoup déçus, tu n’allais pas exploser comme à ton habitude non, bien sûr que non. Elle voulait être morte à tes yeux ? Très bien, malgré qu’elle soit en vie elle serait comme tel à tes yeux. Finalement tu repars à ta voiture pour prendre les papiers nécessaires avant de revenir, t’appuyant sur le toit de son taco tu commences à remplir le papier avant de reprendre la parole.

« - Nom et Prénom ? C’est quoi ton assurance ? Questionnes-tu d’un air totalement détaché et indifférent avant de finir, T’habites où ?»

@Evangeline A. Harper
Pando
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mar 21 Avr 2020 - 15:31
Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis.Et oui Evie, l'heure avait sonnée hein... Tu entend le coup de phalange et tu ne réagis pas, puis tu entend la portière s'ouvrir et tu lève tes yeux bleus sur Amadeus. De toute façon t'étais déjà dans le pétrin, tu le connaissait par cœur, oh tu savais qu'il ne lèverais pas la main sur toi. Non tu le connaissais, mais tu savait qu'il pouvait te faire du mal autrement.

Et ta bagnole, cette vielle voiture qui n'avait de voiture que le nom, qui était totalement morte, t'aurais du prendre ta moto, mais tu pensais que tu ferais de plus grandes courses que ça.

Tu lâche un soupire de Capitulation, tu savait qu'il l'avait comprit, durant vos nombreuses disputes à parler chiffons tu lui avait tellement de fois lâcher ce soupir d'un air de dire: "tu veux pas de mon aide?! bah démerde toi!" Bien que c'était plus dans le sens boudeur ou tu te souvenais qu'il te considérais comme sa petite sœur, il te revenais toujours avec la tenue que tu avait au final choisis.

Bon sang, il te manquait, ton meilleur ami et grand frère te manquait terriblement... T'en avait presque les larmes aux yeux mais tu le retenait, tu savais qu'il détestait voir une femme pleurer.

"... Pas besoin de faire des manières, tu fais plus peur quand t'es calmes que quand t'es énervé. Et j'aime pas ta tenue. Tu t'es habiller dans le noir?"

Tu avais lâcher ça machinalement, puis tu avais attraper le constat avant de remplir les informations, avant de dessiner toi même le tout. Remplissant les champs que tu avais à remplir.

"... Tiens... Ama... Je... Ecoute... J'habite pas très loin.... Et ... J'me doute que t'as besoin de réponse... Je t'en donnerais."

Tu soupire tu t'entasse avant de regarder autours de toi comme si on avait mi un viseur de sniper sur ta tête. Tu referme un peu plus ta veste sur toi t'es pas rassurée.

"Mais on peu pas en parler ici. C'est... Un peu trop... Visible."

Tu t'arrangeais toujours pour que tes cheveux forment une barrière protectrice... Tu avais essayer de les couper, au moins quand tu avais ramener Percy chez toi, qu'il avait râler quand tu l'avais ramener en moto en lui mettant tes cheveux dans la tronche... Puis tu t'étais dis que sans tes cheveux t'aurais plus de barrière pour te protéger du regard des gens.

"Viens chez moi, j'ai du cappuccino c'est mieux que dans une rue ou... Enfin... Ou on peu entendre."

Tu souffles et tu lève un peu ton maillot attirant son regard sur le tatouage de Scorpion qui cachait la blessure récente faite durant ton initiation au sein des Scorpions, l'initiation? Tu devais te faire piquer par un scorpion et tu avais jusqu'à la mort pour trouver l'antidote. Contrairement à Martin tu avais réussi cette épreuve. Et tu cherchais à les faire couler de l'intérieur... Même si t'étais toute seule...

Tu rabaisse ton maillot, t'es pas à l'aise, depuis que t'avais traîner avec Percy ton boss te faisait plus trop confiance. Il avait raison en un sens. T'était pas la pour arranger ses affaires, mais bon... T'y pouvais rien, tu l'avais ramener chez toi alors que t'était bourrée... Si Amadeus savait ça tu te serais encore prise un savon parce que sortir toute seule c'était jamais une bonne idée si tu devais boire. Comme il te disait toujours: 'Si tu sors pour boire sans garde du corps il t'arrivera des bricoles.' Mais tu avais eu de la chance de tomber sur Percy, tout comme toi Percy était Asexué, aussi il avait juste passer la soirée avec un café et vous aviez parler. Et... Fin un peu comme Martin t'avait ressentit ce petit truc... Même si tu te sentait terriblement mal. Ton maris était mort depuis moins d'un an et toi tu t'imaginais déjà avec un autre homme... Quelle pute.

Tu écoutais Amadeus d'une oreille avant d'écarquiller les yeux... Et que... Comment ça elle était pas son style... Mais... Il faisait l'idiot en plus.

"Si par pas ton style tu veux dire qui t’éclatera pas une pierre à la gueule alors ouais je serais pas ton style en effet."

Ton ton était froid et tu le fixait, même si tu étais pas très impressionnante avec tes 30 centimètres en moins tu ne te démontait jamais face à Amadeus.

"Si on me vois discuter avec toi je risque vraiment de crever alors viens chez moi ou je te tire par la peau du cul. Dépêche. Je te donnerais l'argent pour les réparations."

Cette fois tu le tire et tu envoie rapidement un message à l'endroit ou tu fait réparer ton vieux tacos habituel lui disant qu'il y avait deux véhicules à envoyer au garage et tu précise que tu viendra payer toi même.

Tu tire le brun avec toi et tu grimpes tes étages. Puis tu ouvre la porte de ton petit studio, pas grand chose dans ce studio de vingt-cinq mètre carré, un lit double, une armoire, un meuble télé avec des photos de ton passé, une télé, ton ordi potable ta tablette graphique, une table deux chaises, une kitchenette et ta salle d'eau.... Les photos... Ils y en avaient trois, une première ou vous aviez fait une soirée pour tes 17 ans, Martin, Amadeus et toi, puis à ton mariage Martin et toi. Puis les deux autres étaient des photos de touristes ou tu avait forcer les deux hommes à t'accompagnée. Et tu les avait plutôt tirer avec toi.

Tu lui fit son Cappuccino, bon un instantané tu n'avais pas le doigté de Sallie pour la cuisine, aussi tu versa l'eau chaude sur la poudre alors que tu te servait un café tout en sortant de quoi grignoter.

"... Déjà... J'suis désolé Amadeus. Je sais que j'ai merdé. Donc je te laisse me pourrir jusqu’à se que tu sois satisfait et... Ensuite je te donne les réponses que tu attendais ok?..."

Tu avais souffler ça sincèrement, en mettant tes 5 sucres dans ton café avant de mettre du lait. Avant de t’asseoir face à lui. Ouais tu pouvais bien encaisser, tu l'avais mériter. Derrière Amadeus un sifflement arriva proche de son oreille et sur son épaule... Se posa un corps mou, écailleux et blanc. Salazar était le "Frère" d'Amory. Tu avais adopter Salazar en même temps que Amadeus avait adopter Amory, et tu avais garder Salazar. Qui se déplaçait sur la table avant de venir monter sur toi pour s'enrouler autours de ton cou et se poser sur tes épaules.


@"A. Wolfgang Rosenwald"
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mar 21 Avr 2020 - 15:34
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AMADEUS

Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis
Au fils de tes expériences tu avais appris à faire confiance à personne, tu n’avais déjà pas foi en tes parents à cause de leur comportement défaillant et le temps qui avait passé t’avais confirmé que la seule personne en qui tu pouvais avoir confiance c’était toi-même. Et encore. Cependant, tu avais pris ce risque à quelques rares occasions mettant de côté cette petite voix pessimiste qui te souffler sans cesse que les gens allait te mettre un couteau dans le dos et elle avait eu tort, notamment avec les forains qui depuis ce jour ou ils avaient accepté que tu sois dans la bande, était devenue ta nouvelle famille. La vraie, celle que tu espérais tant avoir depuis des années et celle qui t’accepter entièrement, qu’importe tes qualités ou tes défauts. Les forains étaient toujours derrière toi pour t’épauler et te sortir la tête de l’eau lorsque tu te noyais dans la mer de tes névroses. Comme lorsque déboussolé après la tentative de meurtre de Salierye tu t’étais rendu au camp, encore à cet instant tu ne t’inquiéte même pas de ce qu’iel avait tenté de faire mais, tu voulais lea retrouver. Parce que c’était peut-être une erreur, encore l’une de ses crises de démence. Ce sont cette famille de coeur qui t’avais fait comprendre la gravité de la situation, la peur qui se lisait dans leurs regards avait été comme une alarme. Ils y avaient des personnes qui tenaient à toi, ça te fis chaud au coeur. Cependant, à cette table généralement bien rempli, ils manquaient deux personnes. Martin et Evangeline. Deux plaies dans ton coeur saignant déjà d’une peur de l’abandon constant mêlé à une résignation. Pourtant le destin semble être clément avec toi aujourd’hui puisque malgré ton entêtement à faire comme si tu ne la connaissais pas, la jeune femme aux cheveux bleu pétant n’était pas dupe et elle se permet de te tacler au passage. Ça, c’était bien ta meilleure amie. Ou enfin, ton ex-amie. Tu fronces les sourcils baissant la tête pour regarder ta tenue, bon il est vrai que tu n’étais au pas top de ta forme. Toi, qui d’habitude était si apprêté en ce moment tu pouvais vraiment être une loque. Comme en témoigné apparemment ce vieux sweatshirt jaune décoré du nom de ton ancienne université et d’une tache de sauce tomate venant de la pizza qui avait été ton seul repas de la journée, ton jogging noir n’était pas en meilleur état non plus et tes baskets étaient sûrement le seul détail de décent sur toi.

« - Alors déjà j’t’emmerde pétasse ! Cingles-tu d’un air un peu dramatique avant de reprendre après avoir soufflé longuement, Le bleu comme c’est original. C’est marrant tu me rappelle une ancienne amie... Sauf qu’elle avait les cheveux violet et qu’elle est morte aujourd’hui. »

Longuement tu la fixes de tes iris émeraudes un sourire sarcastique aux lèvres, bien que tu sois plus du genre à exploser que te contenir, tu aimais aussi pouvoir semer la terreur sans avoir à hurler comme à ton habitude. Puis la jeune femme attrape le constat pour le remplir, nonchalamment tu te poses contre la carrosserie de sa voiture ou tellement de souvenirs de vos délires étaient encore présent dans le tissu des sièges. Rien que sur ses sièges arrières ou tu avais passé plusieurs fins de soirées sois à vomir sois à lancer des œufs sur les passants. Tu fouilles dans ta poche pour attraper ton paquet de cigarette, tu en prends une que tu allumes et commence à fumer tranquillement jusqu’à ce qu’elle fasse sa proposition.

« - J’suis pas un homme facile mademoiselle, j’vais pas venir chez toi alors qu’on se connaît depuis à peine dix minutes. En plus tu es même pas mon style.. Réponds-tu en levant les yeux au ciel faisant mine de réfléchir, tu n’allais pas capituler aussi facilement toi comme elle tu le savais, J’ai pas b’soin de réponses mais d’un constat. Merci ! »


Finis-tu en récupérant le constat fait tendit que tes mouvements se figent lorsqu’elle remonte son tee-shirt et que le tatouage des scorpions et une blessure surplombe la blancheur de sa peau, tes lucarnes passent du tatouage à son visage gêné plusieurs fois avant qu’elle ne le rabaisse. Tu te frottes les tempes d’un air désespéré, pourquoi fallait-il que a vie déraille autant ? Après t’avoir ghoster du jour au lendemain voilà que madame est en plus membre d’un gang, tu levas une nouvelle fois les yeux au ciel, tu avais une pensée pour Martin. Un souvenir qui revient, celui ou étrange quelques jours avant sa mort il t’avait demandé de lui promettre de toujours veiller sur Evie. Tu comprenais pas trop, c’était évident pour toi hors, Martin avait été si sérieux ce soir-là, il avait voulu faire un pacte de sang, typique des forains. Et tu l’avais fait lui jurant que malgré tout ce qu’il pourrait se passer tu feras en sorte qu’Evie sois en sécurité. Tu secouas la tête perdue alors que tu finis ta clope en quelques longues inspirations avant de la jeter par terre, tu étais perdu entre ta colère et ton devoir. Tu étais un homme de parole comme tu aimais tant le répété et encore plus avec ce genre de promesses.

« - Moi par contre j’vais t’en éclater une de pierre sur la tête, tu riras moins. Et au moins là tu auras plus à faire semblant d’être morte malgré que ça soit ta spécialité.»

Tu répondis sur le même ton, la même froideur, vos iris se battant dans un jeu de regard, entre rancoeur et fatigue. Puis finalement tu détournes le regard pour observer autour de vous, la rue est déserte à présent mais, il est vrai qu’il fallait se méfier. Autant elle que toi. Tu capitules, peut-être guidé uniquement par ta curiosité mais, tu verrouilles ta voiture avant de la suivre, effectivement elle n’habite pas loin de là et ironiquement, le destin avait voulu que vous viviez tout les deux dans le même quartier. Enfin, quand tu n’étais pas dans ta caravane. Tu grimpes avec elle les escaliers menant à son studio que tu pénètres après elle, comme à ton habitude tu inspecte les lieux, restant un peu trop longtemps sur les photos décorant son meuble, ton coeur se serre lorsque tu vois le roux encore avec l’un de ses sourires éclatant. Evangeline reprends et tu l’écoute d’une oreille attentive tandis que tu t’es assis finalement sur l’une des deux chaises, tu prends la cuillère pour mélanger le sucre et le cappucino. Même si tu étais en colère contre elle, tu savais qu’elle ne te ferais pas de mal. Il y avait ce truc avec Evie, cette chose qui te pousser à croire en elle et à ne pas être trop paranoïaque avec elle. Enfin, tu prends une gorgée appréciant le chaud coulant dans ta gorge, tu adorais tant les cappuccinos même si tu n’en avais jamais chez toi. Tu oubliais tout le temps de faire des courses.

« - Pour toi, c’est Rosenwald, Harper enfin.. Evie Blue ou la Myrtille c’est ça ? Questionnes-tu le ton clairement amer avant de te pincer les lèvres réfléchissant quelques instants finalement tu reprends la parole, J’vais pas te pourrir parce que tu le mérite même pas, j’ai pas que ça à faire désolé. En faite j’suis juste déçus de moi-même, j’sais déjà qu’il faut faire confiance en personne. Mais toi.. J’pensais vraiment que c’était sincère entre nous. Tu m’as menti Evangeline, tu as jouer avec mes sentiments, tu m’as volé et tu as rejoint les Scorpions alors qu’ils ont tués Martin ! J’te comprends plus... J’te reconnais pas.»

Un sifflement retentit, un que tu connais que trop bien puisque ton adorable Amory posséder presque le même, le corps écailleux du serpent se pose sur ton épaule, ta mine change complètement pour faire place à l’euphorie. Tu adorés les serpents, tu te penches un peu vers lui frottant ton nez contre sa petite tête. Salazar, comme il t’avait manqué et comme il manqué à Amory. Sa soeur dont leur seule différence était les rayures noirs sur le corps blanc aussi de la femelle avec Evie vous aviez pris l’habitude de les amener quand l’un venait chez l’autre. Vos serpents avaient un fort lien entre eux et vous.. Vous ne pouviez pas les séparer. Ainsi Salazar et Amory avait prit l’habitude de se voir régulièrement depuis le sauvetage que vous aviez fait. Hors de questions pour vous que les animaux servent de divertissement et les forains avaient été d’accords. Enfin, ils n’avaient pas eu le choix de toute manière c’était sois ça, sois tu partais.

« - Ah. Un rescapé de ton ancienne vie que tu veux oublier peut-être ? Demandes-tu le regard encore plein de reproche mais qui semble adoucis, tu caresses de ton doigt la tête du serpent avant de tourner la tête en sa direction, ça va mon pote ? J’en connais une à qui tu manques beaucoup, madame a dû mal à finir ses souris, j’crois qu’elle boude..»
 
Salazar émet un nouveau sifflement, peut-être pas content avant de rejoindre sa maîtresse, il est fortement attaché à elle, n’hésitant pas à la protéger au cas ou. Tu en avais eu l’expérience ou avant la «disparition» d’Evie tu t’étais chamailler avec elle pour rire et le petit Salazar ayant cru que tu lui faisais du mal à cause des cris de la jeune fille avait fondu sur toi pour te mordre. Tu avais encore cette belle cicatrice au coin de ton oeil gauche ou deux petits crochets s’étaient plantés.

@Evangeline A. Harper
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mar 21 Avr 2020 - 15:35
Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis.Ton pied tape nerveusement sur le macadam, tu stresse, tu ronge tes ongles ou tu grimace un peu avant de cracher au sol, t'avais du vernis dans la bouche.
Mais tu souris en entendant Amadeus pester contre toi, évidement, mais, ça sonnais terriblement familier, oui comme toujours, ce pétasse quand tu n’approuvais pas sa tenue. Mais tu savais que quand il te lâchait cette insulte c'est qu'il allait écouter tes conseils.

Enfin, ça c'était avant.

Tu avais un léger sourire de l'entendre faire sa pseudo drama. Mais tu perdis rapidement ton sourire qui termina en une grimace quand il te tacla à son tour.

"Ouais bon ça va... Le bleu c'est se qui me va le mieux c'est tout, mais toi le jaune cocu c'est pas mal tu l'as été un bon moment."

Ok, il avait voulu être blessant, tu étais méchante quand tu le voulais mais, tu le regarda un moment avant de soupirer. TU savais qu'il avait vraiment souffert de la trahison de Salierye, ce batard de non-binaire avait briser ton meilleur ami et toi tu en rajoutais une couche.

"Désolée, j'voulais pas dire ça comme ça..."

Tu l'écoutes vaguement déblatérer ses conneries, ça t'arrivais souvent de l'écouter que d'une oreille quand tu faisais un autre truc, et l'homme qui te faisais face, te lâchait toujours au nez que: "Putain mais y à pas de doute je parle à une Gémeaux merde! T'as écouter se que j'ai dis?" Et tu lâchais toujours ta meilleure tête innocente en mode: "Mais... Je voulais juste finir se que j'étais entrain de faire..." . Mais du coup le poisson devant toi était très rancunier, normal. Et tu lui tendit le constant en fronçant les sourcils. Puis tu te mordit la lèvre en le regardant dans les yeux.

"Euh... T'as dis quoi?..."

Tu avais finis par lui montrer et lui dévoiler du coup ton plus noir secret petite Evie, et sa phrase pleine de froideur te fait frissonner, ouais, quand tu voulais tu étais douée, mais maintenant que tu y pensais... Tu ne pouvais pas échapper à l'illusionniste qui t'avais appris tant de chose, tu étais des fois son assistante, tu connaissais la plupart de ses tours, tu le regardait pourtant toujours avec autant d'admiration car tu n'arrivais toujours pas à reproduire ses gestes, et tu te souviens de son rire quand au lieux de faire des formes avec tes cartes, tu avais juste provoquer une pluie de cartes.
Tu l'avais bouder, et cet idiot t'avais chatouiller comme jamais, tu t'étais mise à hurler, en riant pourtant, et alors que tu allais lui dire que c'est bon tu arrêtais de bouder, ton serpent, Salazar, avait déjà fondu sur Amadeus.

Et quand tu avais finis par le tirer dans ton appartement, tu avais eu un peu peur de cette nouvelle entrevue, heureusement pour vous, au début Salazar dormait tranquillement sur la bibliothèque.

Tu buvais ton café sans doute un peu trop sucré pour certaines personnes, alors que tu étais assise face à lui, en tailleur sur ta chaise, tu ne restais qu'en tailleur étant assise, tu préférais être comme ça même si tu étais loin d'être "conventionnelle".
Tu écouta ses reproches puis tu soupiras.

Il était temps de te lancer.

Il y a pourtant cette petite scène entre Salazar et Amadeus qui te fait sourire, non ton serpent Albinos était loin d'être rancunier, comme toi, tu caressais sa tête alors qu'il se posa pour rester sur toi, Amadeus avait raison, vous les aviez séparer trop longtemps.

Même si c'était ta faute Evie.

"Appelle moi comme tu veux, ça met égal. Et vu que tu sembles avoir dis se que tu avais à dire, sache que j'ai justement fais ça pour Martin, et pour te protéger. Plus ou moins. En premier lieu, je voulais savoir qui était responsable de la mort de mon maris, puis je me suis souvenue que Martin m'avait parler des Scorpions, quand je suis aller le voir au Salon funéraire, j'ai remarquer plusieurs choses étranges, déjà... Cette piqûre de Scorpion. Je pensais vraiment qu'il déconnait avec ça, il voulait passer pour un bad boy alors qu'il n'en avait pas la carrure, on le savait bien."

Tu fais une pause, c'est dur pour toi de dire tout ça, tes mains tremblaient autours de ta tasse, alors que les larmes se bloquèrent dans ta gorge, non Evie, tu avais déjà assez pleurer.
Tu te lève et tu sors d'une petite boite un joint, que tu allume avant de tirer dessus, tu as besoin de te calmer, tu tend le joint à Amadeus avant de continuer.

"Il a échouer à cette initiation, mais, c'est parce que quelqu'un n'avait pas placer l'antidote dans la pièce, c'étais un meurtre. Et le seul moyen pour moi de trouver cette personne. C'est d'être à l'intérieur.... Me regarde pas comme ça Ama, tu sais que j'ai raison, on ne tue une colonie de fournis qu'en s'attaquant à son nid et sa reine. C'est toi qui me l'as déjà dis. J'l'ai pris au pieds de la lettre, malheureusement quelqu'un à apparemment était plus rapide que moi pour Bear... "

Tu marque une nouvelle pause et retire sur ton joint, avant de te rasoir, ramenant une jambe contre ta poitrine, soufflant la fumée et levant les yeux vers Amadeus avant de continuer. Il avait le droit de connaitre toute l'histoire, en détail, vu qu'il faisait partit de ton plan.

"Enfin, ça venait de ce passer quelque temps après mon initiation. Initiation que je n'aurais jamais pu faire sans toi. Je savais déjà par Martin que les scorpions étaient ceux qui avaient le monopole de la drogue, soit. Je savais que tu étais doué en chimie, alors... Je t'ai utiliser c'est vrai, et j'ai jamais eu autant honte de moi Ama. Mais en te volant cette recette, j'avais aussi passer le point de non retour. Du coup, j'ai préférer te retirer de l'équation, j'aurais pas pu supporter que tu meurt aussi, sachant en plus que tu appartient aussi à un gang, tu aurais été parfait pour leurs petites affaires. Donc. Je ne pouvais pas te garder près de moi. J'ai tout fais pour disparaître. Et j'ai déménager. Comme tu le vois, c'est... vraiment un plan de secours cet appartement..."

Tu soupire et tu lui laisse la fin de ton joint en venant finir ton café, tu as des cernes, tu n'as pas dormis depuis longtemps correctement.

"... Puis, Bear m'avait enfin remarquer, enfin, avait remarquer que je commençais à me faire remarquer trop pour ne pas lui appartenir. Il m'a fait passer l'initiation, et putain j'ai faillis la louper, je sens encore le venin me faire vaciller, avant que je ne le trouve et que je ne l'avale... Puis, on m'as enfin reconnue, et j'ai eu droit à mon rendez vous chez le tatoueur... "

Tu grimace en caressant doucement ce tatouage que tu avais choisis de faire au dessus de la plaie, le tatoueur attitré du gang ne t'avais pas opposer plus de résistance, si ça faisait mal ou que c'était dangereux c'était pas ton problème.

"J'ai jamais autant souffert pour pour un tatouage je crois... Mais au moins, tout étais finis, je pouvais rester la... Et alors que j'allais cueillir des informations sur le meurtrier de Martin, Bear est mort, et j'ai du me cacher pour éviter de crever et qu'on m'accuse du meurtre. On m'avais carrément devancer sur ce coup la. Et j'ignore qui ce serait. Même si pour moi c'est forcement un Sweet Poison... Enfin. Du coup, pour le moment, je suis en attente et j'essaie de sauver une de leur prisonnière... Quand à notre nouveau boss... Il me donne carrément la chair de poule... Je comprend pas comment c'est possible pour moi de ne pas me vendre quand j'suis devant lui..."

Tu frissonne et tu caresse Salazar. Tu as finis, tu reste silencieuse, tu ne sais plus quoi dire, tu as dis tout se qu'il y avait a dire. Et tu serres ta jambe contre ta poitrine, malgré vos différents, tu avais une confiance aveugle en Amadeus, et même si lui n'avait plus de confiance en toi, tu aurais toujours cette confiance indéfinissable envers ton grand-frère.

Tu étais fille unique, mais tu avais toujours rêver d'un grand frère, et Amadeus l'avais jouer à la perfection, il t'avait des fois longuement rassurer à rester avec toi dans ton lit, parce que tu n'arrivais plus à dormir seule et que tu étais blottie contre lu, toi le petite frileuse qui hurlais des qu'elle voyait une araignée, que ce soit Amadeus, Martin ou ton père, ces trois hommes étaient ceux de ta vie, et pour le moment, vu que Amadeus était le seul à connaitre la situation, à connaitre tout se qui se passait, tu ne pouvais compter que sur lui alors que ton père vivait dans l'ignorance encore en France à recevoir chaque semaine un appel ou tu faisais semblant que tout allais bien.

Quand à Martin... Les visites chaque semaine au Cimetière à lui parlaient ne faisait plus vraiment de lui un homme à proprement parler.


@"A. Wolfgang Rosenwald"
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Angèle Nightingal
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mar 21 Avr 2020 - 15:36
ENVANGELINE&
AMADEUS

Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis
Les retrouvailles n’étaient pas aussi cinglantes que tu l’aurais voulu, elle avait plutôt le goût de nostalgie, malgré la rancune que tu pouvais avoir pour elle on t’avait fait bien pire. C’était presque gentillet à côté mais, il fallait avouer que ton ego en avait pris un sacré coup qui te pousse à te comporter comme un con avec elle. Toute façon pour l’instant tu étais bien loin de vouloir lui pardonner. Encore moins lorsqu’elle te tacler ainsi en utilisant des confidences que tu lui avais fait pour te faire du mal, tu la regardes d’un oeil noir alors que tu la coupes tandis qu’elle se morfond en excuses bateaux.

« - Si si, t’inquiète pas, c’est exactement comme ça que tu voulais le dire. J’aimerais bien te tacler aussi mais, malheureusement j’ai bien trop de respect pour Martin. »

Okay bon, tu avais un peu perdu ton sang-froid dans ta mascarade, en même temps elle était l’incarnation même parfois de ce que tu pouvais détester, ses gémeaux de malheur... Ils avaient de nombreux défauts comme se servir des confidences pour blesser les autres ou bien n’en faire dangereusement qu’à leur tête. Ils étaient si versatiles qu’on ne savait jamais comment les prendre, les comprendre ou bien même parfois les supporter. Evie devait être l’une des seules gémeaux que tu pouvais supporter enfin quand elle t’écoute. Pas comme maintenant ou tu tapes ton front avec ta main clairement dépité. Tu ne répéteras pas c’est mort. Comme elle, enfin non du coup. Tu la suis jusqu’à chez elle ou tout semble différent et à la fois familier, comme son serpent qu’elle a conservée et qui te rappelais sans cesse votre passé. Au milieu, des forains ou ta vie a pris un renouveau et ou la sienne venait de commencer. Elle avait été pendant de longues années ton assistante en parallèle de ce métier ou elle devenait la première femme à être prestidigitatrice, le monde des forains est si misogyne que lorsqu’elle t’en avait parlé, tu n’avais pu faire qu’une chose : L’encourager et l’aider. Tant de souvenirs remonté en ce moment présent, tu es un homme de base déjà nostalgique, toujours hanté par ses actions passées parfois avec remords et parfois avec rancune. Comme toujours. Tu commences à boire ton cappuccino pendant qu’elle commence à se justifier, à te raconter son histoire. Pour te protéger. Tu tiques un peu lorsque tu entends cette phrase, ça devait se voir sur ton visage, mais bordel qu’est-ce qu’ils avaient tous à vouloir autant te protéger pour au final finir eux-mêmes dans la merde. Aloïs, Evie.. Ils avaient voulu te protéger au prix de leur propre protection, tu es touché et à la fois agacé. Tu n’as besoin de personne, tu as déjà conclu un pacte avec le diable qui avait prit l’apparence de ta boss.

Tu ne la coupes à aucun moment, la laissant prendre son temps et choisir les bons mots pour te raconter une histoire dont elle avait dû se faire passer pour morte pour mener à bien sa vendetta. Tu ne refusas pas le joint qu’elle te tend, bien au contraire, tu la remercie d’un sourire et tu tires longuement dessus, ça t’aide à encaisser certains trucs, à être plus calme malgré que tu ne sois pas vraiment d’accord avec tout ce qu’elle dit, elle le sait et essaye de te prouver que tu as tord. Et elle avait suivi tes conseils à la lettre, une chose que tu avais oubliée d’elle c’est qu’elle avait une mémoire exceptionnelle, dès qu’elle entendait ou voyait quelques choses elle s’en souvenait. Très bien. Et ça t’aider beaucoup lors de tes soirées qui finissaient en trou noir. Tu la regardes surprise lorsqu’elle parle de ton implication dans un gang.. Comment le savait-elle ? Tu lui disais tout avant qu’elle disparaisse mais, comme elle tu avais voulu la maintenir safe en dehors de tes histoires. Tu ne lui avais jamais dit. Ta jambe commence à trembler et tu croises les bras sur son torse tandis que tu t’appuies contre le dossier de la chaise en soupirant. Alors, elle l’avait su. Comment ? Tu demanderas après. Tu écoutes avec attention la fin de son histoire alors qu’elle te refait tourner une nouvelle fois son joint, tu le finis en même temps qu’elle arrête de parler, tu écrases le cul du joint dans le cendrier en face de toi avant de finalement ouvrir enfin la bouche.

« - Ton plan est foireux Evie. Clairement. SI j’peux me permettre tu ne penses pas qu’ils se renseignent sur les gens avant de les faire rentrer dans le gang ? Et que du coup ils savent très bien que tu es la veuve de Martin ? Questionnes-tu alors qu’au fond ce n’est pas une question, c’est une évidence pour toi puis tu reprends plongeant tes pupilles dilatées dans les siennes, S’il y a bien une chose que j’ai appris c’est de me méfier de mes ennemies mais, encore plus de mes amis. Sans vouloir te viser. Méfie-toi Evangeline, vraiment, tu es encore plus à leur porté prête à être cueillis... Si Bear est mort, ce n’est pas une veuve qui va les arrêter, dealeuse ou pas.»

Tu fis une pause pour finir ton cappuccino alors que tu observes un peu pensif le serpent coulant sur ses épaules, le joint ta rendu un peu stone, tu cherches tes mots quelques minutes avant de finalement te lever de la chaise pour t’approcher de la fenêtre à laquelle tu tires un peu le rideau cachant la lumière pour jeter un coup d’oeil dehors. On ne sait jamais. Puis tu reprends la parole alors que tu regardes la dépanneuse venir chercher vos voitures.

« - C’est vrai, il faut s’attaquer à la reine pour faire chuter une fourmilière mais, tu as oublié une partie importante Evie, si ce nid de scorpions tombe, tu tombes avec. Parce que tu seras mis dans le même sac que tous ses trous du cul.. Ce tatouage, c’est une très mauvaise idée. Si un flic vient à le voir tu vas lui dire quoi ? Demandes-tu cette fois-ci sincèrement la dépanneuse est partie alors tu retournes vers elle t’appuyant sur la chaise tu termines, Tu as merdé Evie sur ce coup. Parce que si tu m’en avais parlé, je t’aurais aidé. Pour Martin. Et là, j’vois même pas comment je vais pouvoir te sortir de cette merde.. Je n'ai pas envie d’assister à encore un enterrement..»

Tu secoues la tête des jours ou tout est noir tu en vis bien trop depuis que tu es à New-York, ça avait commencé avec Martin puis le reste n’avait été qu’un enchaînement insupportable. Ta colère envers elle a diminuée même si tu n’es pas d’accord avec sa version de faire les choses, tu comprenais parce que pour ton frère et sa mémoire, tu avais accepté de rester avec les Skulls et tu compter te rapprocher de Sallie pour avoir des informations sur les SP, tu avais entendu des rumeurs, Aloïs fricoter avec un(e) sweet poison, assez pour que ça le mène à la mort. Et ce nouveau roi des scorpions te faisait ressentir un bien mauvais présage.

« - Ce nouveau boss... Tu connais son nom ?»

@Evangeline A. Harper
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mar 21 Avr 2020 - 15:38
Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis.T'es gênée. Encore une fois tu disais se qu'il ne fallait pas. Tu étais vraiment le genre de fille à mettre les pieds dans le plat.
Même si tu savais que ça blessais les gens, des fois les mots dépassaient ta pensée, soit tu réfléchissais trop avant de parler... Autant des fois... C'était le contraire. Tu parlais sans penser aux conséquences. Et c'était le cas à l'instant.

Tu ne sais pas quoi répondre à ça.

Amadeus connait cette manière que tu as d'être. Et tu te doute bien que dans sa tête il est entrain de t'insulter de Gémeaux stupide ou une connerie du genre. Des fois ta nonchalance le faisais sortir de ses gonds, et alors qu'il s'énervait, toi tu le regardais, totalement perdue, n'ayant rien compris à pourquoi il s'énervait... Et il s’énervait encore plus quand tu lui demandais pourquoi il s’énervait.
Et du coup tu boudais de te faire crier dessus.

Comme l'enfant que tu étais.

Et alors qu'il boit son cappuccino dans cet appartement trop petit pour ne pas être qualifier de cage à lapin, tu lui raconte ton histoire, tout, les détails, ton état d'esprit. Il reste silencieux, il t'écoute, accepte même de partager le joint que tu allumes avec un sourire.

Tu ne l'as peut-être pas autant perdu que se que tu imagines.

Et tu remarques bien cette tête qu'il fait quand tu parles de le protéger. Bien évidemment tu connaissais sa fierté alors que tu lui en parle... Même si, tu étais loin d'être douée pour tout ça. Protéger.

A l’évocation du fait que tu connais son implication au sein d'un gang et tu souris. Tu as réussi à avoir une réaction. Tu faisais comme toujours appel à se que tu disais s’appeler: Prêcher le faux pour savoir le vrai. Mais tu t'étais bien doutée que si ton meilleur ami faisais de la drogue, même avant de t'aider à créer Blueberry, c'était pas pour son plaisir personnel. Enfin tu n’espérais pas, tu avais déjà vu deux trois personnes crever avec l'Ambrosia. Et comment tu l'avais su? Quand une membre des Scorpions, médecin dans l’hôpital du coin t'avais fait venir pour te montrer le premier mort que ta drogue avait causé.

Un gamin de 17 ans.

Elle t'avait alors parler des cas d'Ambrosia, que les Skulls en avaient le monopole, car personne ne le connaissait au sein des Scorpions. Et tu avais déjà vu ce nom traîner pendant une de tes visites dans le labo d'Amadeus, pour lui réclamer la recette. Tes yeux trainaient partout.

Tu baisses le regard alors que le brun commence à parler. Tu savais que ton plan était foireux. Enfin pour être honnête, tu n'y avait pas réfléchis avant aujourd'hui, t'étais pas du genre réfléchis quand tu étais énervée, tu fonçais dans le tas, sans te soucier des conséquences.

Puis tu relèves la tête et soutien son regard aux pupilles dilatées. Maintenant était venu le temps des questions.

"Bear savait que j'étais la veuve de Martin, parce qu'il se trouve que le directeur des pompes funèbres qui s'est chargé d'enterrer Martin... Est un membre des scorpions. Mais ce n'est pas se qui les intéresse le plus, a partir du moment ou une fille arrive à se faire autant remarquer dans ce gang terriblement misogyne... On se fiche de son passé. Ils ont juste cru que je m'étais ... Libérée de ... Mon mari."

Ton cœur se sers et tu portes la main à ton alliance qui est toujours à ton doigt, tu trembles, tu caresses le métal argent réchauffer par ta peau. T'as de plus en plus peur de rejoindre Martin au final. Maintenant que tu entends les paroles de ton ami.

Ça pourrais peut-être arriver.

Tu caresses doucement la peau écailleuse de ton compagnon de désespoir et Salazar siffle légèrement dans son sommeil. Tu vois Amadeus se lever pour vérifier à la fenêtre, puis tu en profite pour aller chercher dans une cage une souris blanche que tu lâches au sol. Salazar ne détache pas ses yeux fendus de la petite bestiole qui se met à courir, il finit par quitter tes épaules pour venir s'approcher doucement de la pauvre bestiole apeurée et sans défense.

Tu retournes t'assoir alors que tu ignores le dernier couinement de la souris prise au piège par ton reptile albinos.
Tu regardes Amadeus, il a le regard vers la route, il vérifie que les voitures soient prises en charge?... Tu lui donnerais le numéro du Garage après, qu'il aille voir sa voiture après tout.

Puis il continue sa tirade. Et toi tu écoutes, cette fois-ci vraiment en finissant ton café.

"Je sais bien. Enfin... Que si le gang tombe je tombe. Mais à ce niveau... La chimiste que j'ai engagée. Travaille pour le FBI. Elle cache les preuves, et si ça ne suffit pas fera de moi une indic ou tout autre chose possible de me protéger... Et si je dois faire de la prison alors tant pis... En un sens je l'aurais pas volé... Et ça pour ce qui est du tatouage je ne pouvais pas vraiment passer à coter. Si un flic vient me voir... J'y ai pas réfléchi. J'ai jamais été... Dans l'optique que... Qu'on vienne me voir."

Tu passe un main dans tes cheveux,et tu grimaces. Et tu te renfrogne. Tu te remet en tailleur pour éviter que ta jambe ne fasse des castagnettes sous la pression. Tu détestais ce genre d'ambiance ou tu sentais que encore une fois t'avais merdé quelque part.

"Si je ne t'ai pas demander d'aide c'est parce que de base je voulais pas t'impliquer dedans. C'est ma vengeance, pas la tienne."

Puis tu sors un clope... Tu te calme rapidement. Tu devais trouver une solution de toute façon, t'énerver ne servirais à rien, tu ne trouverais aucune réponse dans un esprit embrouiller de colère, tu étais déjà incapable de faire tes lacets si t'avais la haine contre quelqu'un ou quelque chose.

"Je sais que je peu pas faire ça seule. J'ai déjà essayer d'alpaguer un Skull dans un bar... Alors que j'avais bu... Qui etait très bizarre, plutôt mignon, et qui à terminer ici avec un café et des gâteaux avant de fuir comme si j'étais le diable en personne. Et j'ai même pas son nom. "

Tu souffle la fumée du bâton de nicotine que tu viens d'allumer, laissant le paquet sur la table, en invitation d'en prendre une si le brun en voulais. Ouais, tu lui avais parler de ça, il allait surement encore te faire la morale, encore, mais bon à force tu commençais à avoir l'habitude qu'Amadeus ne te fâche ainsi. Il s’inquiétait juste, tu savais qu'il avait trop fait de promesses à ton égard pour risquer qu'il t'arrive quelque chose.

"... J'ai pas envie que tu t'en mêle... Tu parles du faite que t'as pas envie d'assister à un autre enterrement et bien moi non plus figure toi. Je te connais, tu es une tête brûlée. Tu vas foncer sans réfléchir et tu finiras par te prendre un coups de couteau bien placer à force de jouer les héros... Enfin les anti-héro."

Tu le regarde un peu surprise qu'il te demande l'identité de ton nouveau boss. Mais tu sais qu'il ne te lâchera pas sinon. Ce bougre était doué pour te sortir les vers du nez, comme durant votre vie sur l'oreiller avec Martin, alors que tu n'avais rien dis à ton mari pour ton cas d'être asexuelle, Amadeus avait réussi à te faire parler. Il avait alors compris qu'avec Martin tu te forçais pas mal et Martin alors qu'il n'était même pas que courant c'était fait embrouiller par ta faute. Mais après ça tu avais eu une discussion avec lui et tout allais mieux, mais sur ce coup tu avais pris la réflexion comme quoi ce genre de choses était une chose de couple, et que vous deviez en parler en couple... De la tu ne lui avais plus rien cacher.

"... Je connais son nom oui... Mais j'sais pas si c'est une bonne idée que je te le dise... "

Tu soupire, fumant doucement un moment avant de regarder Amadeus dans les yeux. Tes pupilles n'étaient pas aussi dilatées que les siennes, aussi tu te doutais clairement que le brun continuait de prendre bien d'autre merde encore. Mais  tu te retient de faire une remarque, il t'enverrai sur les roses en te disant qu'il connait ses limites.

"C'est le directeur des Pompes Funèbres qui à enterrer Martin. Il s'appelle Johrane. J'ai pas retenu son Nom de famille, il me fout déjà assez la chair de poule quand je vais le voir pour mes rapports de vente..."

Tu te tasse sur ta chaise, la bombe était lâchée. Tu pouvais pas vraiment faire marche arrière, tu lui avais déjà révéler toute l'histoire tu n'allais pas occulter un détail aussi important. Enfin, tu te sentais plus légère tu avais tout déballer.



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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

Mer 20 Jan 2021 - 23:33
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis
Évangéline tu la connaissais depuis de longues années mais aujourd’hui tu avais l’impression d’être devant une autre femme. C’est vrai que vous avez changer depuis le temps, toi le premier depuis la mort de ton petit frère tu n’étais plus le même. Cependant, avec Elle vous aviez fait une promesse, toujours rester ensembles parce que vous étiez amis et l’un comme l’autre vous n’en aviez pas beaucoup. Vous vouliez chérir ce que vous avez enfin du moi tu croyais qu’elle aussi pensait ainsi.

« - Libérée de ton Mari... comme tu le dis c’est un gang misogyne je ne suis pas sûr qu’ils voient ça comme ça mais penses ce que tu veux. Juste fais attention à toi. Si Bear et le directeur des pompes funèbres le savent, les autres doivent le savoir aussi. En réalité, c’est très simple. Connais-tu des choses qui peuvent incriminé le gang ? De preuves un truc dans ce style ? »

Ton sourcil est levé haut de perplexité, tu sentais cette histoire bien trop louche pour qu’elle soit aussi innocente. Tu leurs fais pas confiance aux scorpions, ni à ses Sweet poison. Un des deux avaient tuer ton frère et il n’était qu’une question de temps pour que ton plan se peaufine jusqu’à ce que tu portes le coup final. Secrètement tu avais construit des bombes chimiques, oui, tu allais venger ton frère. Sa mort ne restera pas impuni même si à côté de ça tu devais faire sauter une poignée de personne. Elle fixe son alliance et tu soupires en lui tendant le joint, Martin ne mériter pas ça. Tu avais tenté de le raisonner mais le boug était têtu et tu comprenais qu’il voulait voir autre chose que la vie de forain qu’il a toujours connu. Mais voilà où ça l’avait mené. Où il avait conduit Evangeline, à subir un deuil.

« - Ah la fameuse a qui tu as vendue ma recette ? J’parie qu’elle a fait des morts hein ? Demandes-tu avec un faux air innocent, ta paranoïa t’avais poussé à faussé les doses et elle avait eu bien raison, Ouais bah demande à ta taupe de te faire devenir indic maintenant car avec ce qu’il se passe en ce moment le FBI va finir par y mêler son nez si c’est pas déjà fait avec celle-là qui les a infiltrer. Parce que ses couillons ne regarde pas les infos mais moi si. Le maire veux se débarrasser des gangs et il va tout mettre en œuvre pour réussir. C’est bien ce que je te dis ton plan est foireux. Réfléchis à tout ça et prépare déjà ce que tu pourrais dire. Ce qui marche souvent c’est de faire l’idiote genre tu aimes juste les scorpions ou tu joues la carte de la victime genre ils t’ont forcés à le faire. »

Une nouvelle fois tu portes ta tasse à tes lèvres finissant enfin le contenu alors que ton portable se met à vibrer et que le nom d’Anselme apparaît. Au diable celui-là tu avais toujours pas digérer le fait qu’il se taper cette putain de Salierye même s’il y a encore quelques jours c’est avec toi qu’iel couchait. Foutu moment de faiblesse, tu t’étais promis de plus approcher ce.tte dépravé.e meurtrier.e raté.e. Si Evie le savait.. elle te frapperait sûrement, elle qui avait tant luté pour que tu l’oublies. Elle se recroqueville sur elle même, la pression monte, tu la connais la donzelle. Puis tu la regarde avec un air indescriptible avant de lui tendre un petit doigt.

« - Ta oublié ? Entre forains on se sert les coudes. Ton problème est le nôtre. J’dis pas que tu peux pas réussir sans moi, juste que je vais avoir du mal à te faire confiance. Tu as disparue comme ça et tu vois depuis deux semaines j’avais vraiment besoin de toi. »

Elle sort une clope et du coup tu lui en piques une, tu la glisses entre tes lèvres et l’allume avant d’allumer la sienne. Tu tiques lorsqu’elle évoque l’un de tes collègues et perplexe tu es suspendu à sa bouche. Avant d’inspirer une profonde dose de nicotine.

« - Decris le moi. A quoi il ressemblait ce type ? Et qu’est ce qui t’a prit de le ramener ici sérieux ? Tu le connais même pas. Imagine il aurait vu ton tatouage... enfin non imagine pas parce que tu serais déjà morte. »

Grognant dans ta barbe tu fumes tranquillement ta clope, admirent le serpent finissant de gober sa proie, c’était vraiment un animal fascinant. Le voir ainsi te rappeler ton petit bébé en pleine déprime, tu étais pas encore prêt à pardonner à Evie mais pour le bien de ta fifille tu pouvais faire un effort. Tu lâches un éclat de rire à sa phrase avant de te lever pour lever ton sweat-shirt pour monter la blessure récente et couverte d’un bandage dans ton dos. Tu la laisses regarder quelques instants avant de le rabaisser.

« - Déjà fait schtroumpfette. Les coups de couteaux ça tue pas les anti-héros. Ta oublier la règle d’or de la fiction ? Les ennemis reviennent toujours. Et sérieusement il faut plus qu’une poignée de bouffons avec un tatouage de scorpion pour mettre un Bosch comme moi dans la tombe. Mais ok. Je m’en mêlerai pas si tu veux, j’ai ma propre vendetta à faire mais si tu as besoin... malgré que tu sois une traîtresse je souhaite pas ta mort. »

Tu écrases enfin ta clope terminé, évitant le regard de la bleutée, tu avais du mal à vraiment lui en vouloir même si pour la forme tu lui rappeler. Après avoir entendu ses explications tu comprenais mieux. Chacun avait sa façon de gérer son deuil, tu craignais juste la finalité de cette manière. Tu trouvais les scorpions ridicule c’est vrai, mais ce nouveau boss ne t’inspire pas confiance. Il était resté dans l’ombre tout ce temps et tu venais à la conclusion qu’il devait sûrement être celui qui a tuer Bear pour atteindre ce pouvoir. Tu es bien trop protecteur avec elle, beaucoup avait subit à cause de ça, Martin le premier. Mais, en travers elle tu voyait d’une manière ta mère, une pauvre femme voulait juste être heureuse et désabusée par la vie.

« - Je veux juste savoir son nom Evie, j’te demande pas sa tête. Promis je ferais rien pour l’instant. Je veux juste me renseigner sur ce type. »

La fatigue monte doucement dans ton corps, te forçant à te positionner bien sur la chaise, sûrement à cause du joint et des différentes merdes que tu prends. Faut dire que c’est ton seul moyen d’échapper au carnage de ton existence. Surpris par son nom, tu clignes plusieurs fois des paupières, ce nom ne t’ai pas inconnu car lui aussi a enterré ton frère. Forcément c’est les seuls pompes funèbres de la ville à fermer les yeux sur ses histoires de gang et tu comprenais mieux pourquoi maintenant.

« - Ce type a enterré... Aloïs...  il y a deux semaines.... lâcha-tu un peu absent avant de reprendre en fronçant les sourcils, Je vais mettre un de mes gars sur le coup, si tu promet de ne plus me trahir je te donnerai les infos que j’ai eu et je vais t’aider à faire exploser cette foutue fourmilière. Mais je te préviens Evie, une fois pas deux. Si tu recommences tu n’auras pas seulement besoin de craindre les scorpions et le FBI. Je te trouverai avant. »

Ton regard est noir, tu veux bien lui faire comprendre que tu avais très mal pris sa trahison et que tu n’étais pas un clown. Tu voulais lui redonner une chance mais elle avait pas intérêt à remerder. Tu attends sagement sa réponse soupirant longuement avant de te lever pour prendre un stylo sur sa table basse et un bout de papier. Tu griffonnes dessus quelques instants avant de lui balancer le papier devant elle.

« - tes ventes seront meilleurs si ta chimiste copieuse dose comme ça. Mais. Rien n’est gratuit dans la vie. J’ai une mission pour toi, faut que tu ailles au Guilty pour moi. Essaye de traîner ou de louer une des escortes. Enquête pour moi sur le cas de... ta compris j’ai pas envie de parler. Mais, j’ai besoin de savoir si c’est eux ou non. Tu peux faire ça pour moi ? J’peux te faire une autre version de Blueberry. Une plus addictive et moins dangereuse. »

Tu lui tendais la perche dans sa rédemption, ce n’était pas sans danger et le choix lui revenait à présent.  
Pando
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Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline Empty Re: Suis-moi je te suis. Fuis-moi je te suis. * Wolfgang & Evangeline

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