Protect Me From What I Want * Martin & Evangeline

Protect me from what i want.
La panique faisait souvent partie de toi depuis que vous aviez quitter les Forains. Il t'arrivait encore de voir cette soirée désastreuse en rêve...

Vous aviez voulu sauver Wolfgang, votre meilleur ami, retenu prisonnier dans son bassin exigus d'eau de mer, et tu avais faillit mourir sous le coup de fusil de l'un d'eux... TU sens encore la balle te frôler, alors que Martin t'avait déjà mit hors de la trajectoire de la balle qui allait signer ton arrêt de mort. Tu te revois encore ballotant dans les bras de ton maris, sonnée...

Tu avais souvent cauchemarder au sujet de cette scène, te refaisant le scénario, scénario ou rien n'allait, ou la balle t'avait exploser la tête comme ça aurait du...

Et quand tu en parlais à Martin, il te réconfortait, mais la ton rouquin n'était pas la... Et tu avait encore rêver de cette scène, puisse que cette faucheuse t'avait alpaguée... Enfin, non, elle était carrément venue chez vous, et tu avait dis à Martin de ne pas rentrer...

Il était tard, tu ignorais si Martin avait éteint son téléphone, mais... Tu avais besoin d'entendre sa voix.
Et tu laissa sonner, avant de parler quand tu entendis décrocher.

"Coucou ma petite loutre... Je suis désolée, si je t'ai réveiller... J'avais besoin de t'entendre... De te parler..."

L'homme te connaissait, ta voix tremblait, tu avais cauchemarder... Mais tu regardais devant toi, tenant ton téléphone contre ton oreille, assise sur votre lit, serrant la couette sur toi.

"... Une faucheuse est venue... La blonde... Eleven je crois.... Elle est venue à la maison Martin... Je... Tu crois qu'on va devoir déménager?... Et... J'ai un mauvais pressentiment... Quelqu'un va mourir... Je le sens... J'ai peur de me réveiller à coter d'une maison entrain de pleurer... "

Tu te confiais à ton maris, n'était-ce pas normal après tout? Après cette histoire qui avait faillit mal finir, au sujet de ton asexualité, tu ne lui cachait plus rien...

Quand tu avais vaguement, entre deux verre de Vodka confier à Wolfgang, que tu n'étais pas normale et que tu t'étais déjà forcée à coucher avec Martin, le triton avait vu rouge et avait voulu casser la gueule au roux, tu avais eu droit à une Scène qui t'avait marquer et vous aviez été voir un Sexologue qui vous avait expliquer se que tu étais.

Heureusement que Martin était compréhensif... Tu savais à quel point si le roux t'avais demander en mariage c'était à cause de l'amour qu'il avait pour toi, il t'avait sauvé la vie quand même...

Et maintenant c'était à toi de le protéger, ou du moins il le faisait aussi quand Sixteen revenait pour te supprimer de l'équation... Pour "l'équilibre". Mais toi tu le protégeait aussi à ta manière, en interagissant avec les autres faucheurs qui voulaient sa peau...

Et ainsi vous vous protégiez mutuellement, c'était comme ça... Et ça vous plaisait... Votre lien était indéscritible, et pourtant si fort, que ça en devenait très puissant. Autant par amour que par devoir.

La Banshee et son Faucheur, dans la mort, dans la vie, dans l'amour.

@Martin Harper

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Évangeline & Martin

Tout était sombre autour de lui, aucuns sons ne venaient perturber la quiétude du lieu ou se trouvait le faucheur déchu mais quelque chose n'allait pas, il pouvait le sentir. Martin avait dû quitter leur appartement, enfin, pendant qu'il donnait ses cours d'histoires, le roux avait reçu un message d'Evie qui le prévenait de ne pas rentrer à leur appartement étant donné qu'une faucheuse le traquait. Tel était la règle une fois que l'on devenait déchu, vos anciens collègues partaient à votre recherche pour ensuite vous éliminer et Martin n'échappait pas la règle. Il aurait aimé offrir une vie plus calme à sa femme mais malheureusement les choses ne se passaient pas comme on le voulait.

Évidement, le faucheur déchu s’inquiétait pour sa femme, voulant retourner auprès d'elle mais la situation ne s'y prêtait pas alors Martin était partit rapidement dans un hôtel non loin de l'université ou il enseignait, ne mettant personne au courant à part Evie. C'était son tour de protéger le faucheur de la mort qu il'attendait s'il se faisait retrouver. Et le roux fut tiré de ses pensées quand son téléphone se mit à sonner. Naturellement, il attrapa le téléphone ne prenant pas la peine de regarder qui l'appelait, car il savait qui était la personne.

" Bonsoir à toi ma petite loutre. Je ne dormais pas bien au contraire, je pensais à toi comme toujours."

Au son de la voix de sa femme, Martin avait déjà deviné que quelque chose n'allait pas, voilà d'ou venait ce mauvais pressentiment qui ne le quittait pas. D'habitude Martin était aux côtés d'Evangeline ce qui lui permettait de la rassurer, de la prendre dans ses bras et lui murmurer que tout allait bien, mais pas cette fois-ci et le roux se sentait coupable, sa déchéance n'attirait que les ennuis et les craintes de sa femme. Ces cauchemars avaient dû l'a réveillé et elle avait immédiatement appelé Martin. En écoutant sa femme, les inquiétudes mises de côté lui revenaient en pleine figure, pinçant ses lèvres d'un air coupable.

" Calme toi Évangeline et inspire un grand coup."

Martin se voulait rassurant, cachant ses craintes pour rassuré sa femme de l'autre côté de la ligne, l'effrayer un peu plus ne servirait pas à grand chose.

" Elle est peut être passé à la maison mais tu ne lui as rien dit, donc pour le moment, nous pouvons avoir un peu de répit. , elle ne sait pas ou je suis, ou je travaille, je pense qu'il y a peu de chance qu'elle me retrouve pour le moment. Pour ce qui est de déménager.. Je ne suis sûr de rien pour le moment petite loutre. Cela va dépendre de certaines choses."

Martin venait de se taire, ne sachant pas comment la rassurer en étant aussi loin, le contact physique aidait le jeune homme mais là, en plus d'être séparé d'Evie.

" Je vais essayer de revenir cette nuit, ou du moins le plus vite possible Evie. Je te le promets ce n'est que temporaire.. Je n'aime pas me savoir loin de toi surtout avec tes cauchemars et ces mauvais pressentiments."

Martin soupira longuement, se passant une main sur le visage après s'être levé du lit sur lequel il se trouvait pour s'approcher de la fenêtre pour regarder par celle-ci.

" Je t'aime Évangeline. Je ne laisserais rien t'arriver tu le sais."

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Tu avais demander à Martin de ne pas te dire ou il était, rien que par peur, si jamais Eleven venait à te torturer pour savoir ou étais ton maris... Mais. Tu savais aussi que normalement la Faucheuse n'en avait pas le droit, tu préférais quand même prendre tes précautions, précaution que désormais tu bafouais en appelant ton maris alors que la faucheuse était sans doute encore dans les parages...

Tu jouais avec les draps de coton bleu en semblant déjà rassurée, rien que d'entendre la voix calme de Martin...

"A force tu vas user mon image a force de penser à moi tu sais. Mais c'est adorable, comme toujours... Rien qu'entendre ça me laisse tant d'amour dans le cœur que sais que j'ai fait le bon choix en acceptant de devenir ton épouse..."

Ta voix est un peu faible, tu bailles, évidemment que tu es fatiguée, mais tu semble un peu plus réveillée en entendant la réponse du détenteur de l'anneau jumeau qui est à ton annulaire.
Et tu obéis, inspirant pour souffler doucement, fermant les yeux.

Bien entendu ce sentiment, celui de la mort, tu le ressentais parce que tu étais une Banshee, mais c'était plus compliqué car tu étais aussi la Banshee d'un faucheur déchu, il ne pouvais plus faucher les âmes pour lesquelles tu pleurais, ce qui impliquait que tu pleurais bien plus longtemps cette âme qui restera perdue dans les limbes, en attente d'un jugement qui ne viendras jamais...

"Bien-sûr que non je n'ai rien dis. C'est aussi à moi de te protéger Martin... Un peu de répit, est-ce qu'on connait encore le vrai sens de ce mot?... Sincèrement, même moi j'en doute. Elle ne sait pas non plus que tu as changer de nom, elle t'appelle toujours Twelve. En un sens c'est plutôt rassurant, ça veux dire qu'elle n'en sait pas plus, ça me rassure un peu."

Tu te mord la lèvre quand il te fait part qu'il n'est pas sûr pour le déménagement, tu sais qu'il à raison. Fuis n'évite rien, il ne fait que repousser le moment fatidique, tout comme Martin le faisait avec toi. Il repoussait le moment fatidique ou il devrait faucher ton âme. Il aurait déjà du la faucher, mais il t'aimait trop pour ça...

C'est vrai que le fait qu'il ne soit pas la te manque, mais en même temps... Tu n'es pas sûre quand il te dis qu'il veux revenir.

"C'est peut-être un peu trop tôt pour que tu revienne non?... Imagine qu'elle soit encore dans les parages?... Je t'avoue que je préfèrerais que tu reviennes demain matin, laisse la nuit mourir, ça devrait le faire. Fais-moi confiance, je ferais le tour du quartier à l'Aube, si elle est la je sentirais sa présence... Et je te dirais de ne pas rentrer..."

Puis ton sourire se fait plus tendre alors que ton maris te fait une énième déclaration.

"Je t’aime aussi Martin. Et je ne laisserais rien t'arriver non plus. Jamais."

Tu le promet, il faudra te passer sur le corps pour ça.

@Martin Harper

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Évangeline & Martin

Martin laissait échapper un petit rire en entendant sa femme lui rétorquer cette phrase culte qu'elle aimait lui répondre à chaque fois. Il tombait amoureux encore et encore de sa femme chaque jour qui passait.

" User ton image ? Tu sais bien que c'est impossible, je te vois toujours aussi souriante, magnifique et rayonnante. Elle est toujours intact dans un coin de ma tête et des que tu me manques, je n'ai qu'à fermer les yeux pour te voir. J'ai fait le meilleur des choix en t'ayant choisi comme épouse, Évangeline."

En l'écoutant un peu, le faucheur pouvait entendre au son de sa voix que sa femme devait être fatigué entre ses cours et la visite surprise de la faucheuse plus tôt dans la journée, il ne pouvait pas lui en vouloir. Dû à sa déchéance, Martin ne pouvait plus faucher les âmes comme auparavant, il ne pouvait plus aider Evie dans ces moments ou elle pleurait pour annoncer la mort. Il savait qu'en étant déchu, Martin ne lui apporterai rien de bon et pourtant, Evangeline l'avait choisi pour qui il était avec ses bagages, ses problèmes, son passé bien que flou. Après un long soupire, Martin semblait un peu plus serein, il savait que sa femme ne dirait rien.

" Loin de moi cette idée de penser que tu avais parlé petite loutre. Tu as toute ma confiance, jamais je ne douterai de toi Évie."

Il ne pouvait s'empêcher de rire doucement, secouant doucement la tête, elle était beaucoup trop mignonne quand elle passait en mode défense.

" Je suis honoré d'être protégé par ma merveilleuse femme, je suis sûr que rien ne m'arrivera grâce à toi. Je sais Évie, nous n'avons plus de répit depuis des années maintenant, nous n'en aurons peut être plus jamais mais nous sommes ensembles jusqu'à la fin, c'est ce qui me rassure. Hm. Nous avons déjà une longueur d'avance sur elle ce qui est déjà un bon point en soit."

Martin retournait sur son lit s'allonger, fermant les yeux pour essayer de se détendre mais sans Evie, c'était vraiment étrange, elle lui manquait énormément.

" Tu as raison, je reviendrais demain matin à la maison, je ne vais pas risquer de me faire avoir maintenant. Je te fais toujours confiance petite loutre, tu n'as pas à t'en faire pour ça. Haha. Tu es vraiment adorable, j'aimerais tant t'avoir aurpès de moi."

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Le rire de ton maris te fait sourire et emplis ton cœur de bonheur, tu aime ça, l'entendre rire, au moins tu sais que quoi qu'il arrive, aucun son ne sera aussi bénéfique sur ton mental...

"Tu es tellement le meilleur des époux ma petite loutre... j'aimerais te dire que c'est pareil, mais moi quand je ferme les yeux, c'est ton rire que j’entends, il sonne comme une tendre musique à mon oreille, quand je l'entend, j'ai l'impression que rien ne peu plus nous arriver... Un jour ça arrivera, j'en suis certaine..."

Tu n'accablais pas ton maris avec ça, tu savais qu'il s'en voulait déjà assez de ne pas pouvoir t'aider avec tout ça... Mais tu étais toujours sincère avec lui en ce qui concernait tes pleurs. Après tout dans ces cas la tu allait pleurer devant la maison des gens, tu pleurais autours de l'habitation... Et du coup, tu disparaissais...
Mais bon, Martin savait, tu n'étais pas se première banshee, mais... la première qui avait ... autant d'affinité avec lui...

"Je te protégerais à la la mort Martin. Tout comme tu as confiance en moi j'ai confiance en toi. Et j'aime bien quand tu me fait confiance pour te protéger, ça me donne envie de t'appeler ma petite loutre en détresse."

Tu plaisantes, tu as besoin de détendre l’atmosphère. Mais tu sens que Martin se recouche et son soupir te laisse penser qu'il n'arrivera pas à s'endormir, tu te mord la lèvre alors qu'il confirme qu'il reviendra demain matin.

"Tu sais, vu que je t'ai appeler en pleine nuit.. L'aube se lève dans deux heures... je peu rester au téléphone avec toi... tu rentre... et on va dormir à deux?... J'ai du mal à dormir vraiment sans toi."

Tu proposes, après tout c'est plutôt pas mal comme proposition, vous alliez bientôt vous voir, mais c'était dure de faire ça, tu espérais vraiment qu'un jour vous n'en n'aurez plus besoin.

@Martin Harper

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Évangeline & Martin

" Oh ? Et que devrais-je dire de toi petite loutre ? Tu es la meilleure des épouses qui me comble de bonheur chaque jour. Ta présence à mes côtés illumine ma vie un petit peu plus chaque journée qui passe. Je dois t'avouer quelque chose Evie. Je crois que je commence à retomber amoureux de toi encore une fois, comme à chaque fois que je te vois, que je t'entends. Tu es la meilleure chose qui me soit arrivé dans la vie. Je veux y croire, j'aimerai aussi que nous puissions vivre sans nous inquiéter des conséquences de ma déchéance."

Martin pouvait lui faire des déclarations d'amour tous les jours tant il était follement amoureux de sa Banshee, son trésor, sa femme, sa petite loutre. Envers Evie, le rouquin était des plus démonstratif là dessus. Il n'y avait pas un jour sans qu'il ne lui adresse un ' je t'aime ' ou un ' tu es la plus merveilleuse des femmes'. Il se sentait vraiment vivant dans ces moments là, vivant depuis sa rencontre avec Evie, reconnaissant de pouvoir aimer, vivre, être heureux. Lui qui s'était attendu à vivre une vie monotone et froide aux côtés de la Mort, il avait maintenant une vie, un métier, des amis, une femme. Martin ne pouvait s'empêcher de rire, lui ? Une petite loutre en détresse ? Impossible.. Quoi que pour le moment, il était bel et bien la petite loutre en détresse.

" Je te l'accorde, pour le moment je suis la petite loutre en détresse. Je t'imagine bien avec deux pistolets dans les mains, un air menaçant sur le visage prête à descendre tous ceux qui me voudraient du mal. Comme dans ce film que j'avais regardé.. Hm.. Comment il s'appelait ? "

Il eu un court silence avant qu'il ne se remette à parler.

" Termintator ! Je suis sûr que tu pourrais devenir un terminator ! "

Martin riait à nouveau, se passant une main sur le visage, secouant doucement la tête en s'imaginant la scène avant de se reprendre, gardant son grand sourire collé sur le visage. Il ne dormirait plus pour le reste de la nuit, autant rester avec sa femme pour continuer de parler et de se détendre comme elle en avait besoin aussi.

" L'idée me semble charmante. Cela me rappelle des souvenirs quand nous étions au début de notre relation, que nous passions nos nuits au téléphone à parler de tout et de rien, ces silences confortables sans être gênant. Je te rejoindrais dans les premières heures du matin, par chance je n'ai pas de cours pour ce matin mais cet après-midi, il faudra que je retourne à l'université pour donner mes cours. J'ai aussi du mal à dormir sans toi Evie. Nous nous retrouverons vite petite loutre, ce n'est qu'une question de deux heures."

@Evangeline A. Harper

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Tu lâche a nouveau un petit rire tendre. Martin était pour toi sans doute le plus beau moment de ta vie.
Tu étais une Banshee, mais tu étais en soit une humaine malgré tout...

Tu n'étais qu'une partie de la longue vie immortelle de ton faucheur... Car après tout que les faucheurs déchu avait tout de même leur immortalité... Donc toi avec ta courte vie...

Mais le Faucheur retardait ce moment, pourtant, il savait bien qu'un jour tu devrais partir. Et tu savais que tu n'en avait aucun regret Evangeline... Tu étais comblée avec lui, les années que tu avais passé a ses côtés ainsi que le reste, avait été les plus belles années de sa vie, tu n'avais aucun regret de n'avoir connu que lui.

Et encore plus en entendant se qu'il te disait.

"Je suis ton petit rayon de lune ma petite loutre... Et se que tu me dis me donne le même sentiment... J'ai l'impression de retombée encore et encore amoureuse de toi à chaque vois que j'entend ta voix. Et même quand j'entend ton nom... Et tu n'as pas à t'inquiéter. Cette vie me plait malgré tout."

Ce genre de déclaration étaient quand même celle qui te faisait le plus fondre, mais tu éclate rapidement d'un rire franc.

"Terminator?... M'enfin... Je ne suis quand même pas aussi radicale... Enfin... Sauf quand j'utilise mon cri..."

Tu souris et tu finis par te lever.

"Attend, il faut que je m'habille, je vais eviter de sortir de la rue... Toute nue."

En effet, c'était ta particularité, tu dormais toute nue, ce qui pouvais être encore plus dur pour ton maris, puisse que contrairement à toi, le roux n'était pas asexuel...

Mais bon...

Tu te leva, et tu t'habilla ayant mis le roux en haut-parleur. Tu n'allais pas tarder à partir en ronde.

"IL faut dire que au debut, j'étais obligée de rester en France avec mes études, tu était si loin... Evidement que nous restion en contact. Tu es vraiment doué en professeur tu sais... Et puis... Tes horaires sont plutôt clemmente. Je vais partir en reconnaissance.. Je met mes écouteurs."

Tu mit tes ecouteurs et fourra ton telephone dans ta poche. Sortant en mettant ta capuche.

@Martin Harper

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Évangeline & Martin

Entendre le petit rire si caractéristique d'Evie, c'était comme si tous les problèmes venaient de disparaître d'un coup. Elle avait cet incroyable pouvoir auprès de Martin. Rien que sa présence, son sourire, son regard, son rire et tout ses problèmes s'envolaient. Comment faisait-elle ? Malgré tout, au fond de lui il s'en voulait chaque jour. Le rouquin savait qu'Evie était sincère quand elle lui disait que la cavale ne la dérangeait pas, il savait qu'Evie se fichait bien de ce qu'il se passait dans un sens tant qu'ils étaient ensembles. Mais au fond de lui, Martin s'en voulait de ne pas pouvoir lui offrir une vie normale sans que son passé ne les rattrape à chaque fois. Evie était la plus belle chose qui lui soit arrivé au cours de ces longues années de solitude et le fait qu'elle soit resté auprès de lui en disait long sur elle. Si elle n'avait pas été là, Martin aurait longtemps abandonné de vivre.

Les paroles de sa femme faisaient vraiment effet, faisant à nouveau sourire le roux à l'autre bout du fil. Les mariés étaient vraiment fait l'un pour l'autre. Martin fondait toujours sous les déclarations d'Evie tant il était fou d'elle.

" Moi qui ne croyais pas vraiment au destin avant, je dois dire qu'en te mettant sur mon chemin, je n'ai jamais été aussi heureux. J'ai l'impression de m'entendre à travers toi, je pense vraiment que nous étions fait l"un pour l'autre. Tel des âmes soeurs."

Martin ne put s'empêcher de retenir son petit rire en l'entendant, secouant doucement la tête en se remémorant quelques souvenirs, toujours aussi frais dans sa mémoire.

" Excuse moi de te couper petite loutre mais.. Je t'assure que tu peux vraiment devenir terrifiante quand tu t'y mets et crois moi, je ne voudrais pas être sur ton chemin quand cela arrive. Une fois, si mes souvenirs sont bons, tu as littéralement botté les fesses d'un homme qui voulait s'en prendre à moi. Crois moi, tu étais à la fois terrifiante et terriblement sexy."

Il riait doucement, son regard s'illuminant quelques instants, reportant son regard par la fenêtre comme s'il s’attendait à voir Evie débarquer mais au nouvelle qu'elle venait de lui annoncer, il fallait encore qu'elle s'habille. Des rougeurs étaient apparues sur les joues de Martin, tel un adolescent prit un flagrant délit. Le roux ne pouvait pas le nier, Evangeline était magnifique, son corps et ses formes le faisait toujours autant rêver. Bien sûr, il respectait le fait que sa femme soit asexuel, ne la forçant en rien dans quelconque de sexuel ou autre. Contrairement à Evie, Martin ne dormait pas nu, il sentait vulnérable sans rien sur son corps.

" Hm, les débuts d'une relation amoureuse ou il y a toujours les doutes ou si on aime vraiment la personne. Je suis tombé fou amoureux le moment ou j'ai posé mes yeux sur toi. Je savais que nous allions réussir à passer aù-delà de la distance. Regarde nous maintenant, nous sommes mariés à présent. Ah ! Mes horaires sont plus que clément et en plus, j'ai le droit à des vacances, tout comme les élèves. Le métier parfait. Je dois dire que tu es une très bonne étudiante aussi ma douce. D'accord Evangeline, fait bien attention à toi, même si je reste avec toi. On ne sait jamais ce qu'il se cache dans les ténèbres.."

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Mar 1 Sep 2020 - 11:30

Et dire que tout se passait bien pour vous... Tout semblait aller bien. Vous n'avez riena craindre. Tu riais sincèrement. Vous étiez loin de vous imaginer que ça ne durerais pas.

Mais tu avais déjà bien trop eu de temps... Ton heure était sensée etre passée depuis tellement de temps... Normalement tu aurais du être morte le jour de cette fuite des Forains... quand tu zvais faillit te prendre une balle de fusil. Mais tu avais été sauvee... se qui t'avais sauver de la mort...

Si certaines personnes arrivaient à échapper à la mort pour tres longtemps. Toi ce ne serait pas le cas... et Votre vie allait devenir catastrophique avec cette nouvelle vie choisie par le vote...

Dire que toi tu avais été contre...

Mais pour le moment tu écoutais ton maris avec beaucoup de tendresse, vous etiez encore la ensemble et tout allait pour ke mieux.
Tu ris un peu.

"Moi je crois beaucoup au destin! Il y a plein de choses qui arrivent et qui ne sont pas des coïncidences... Je crois peut être trop a l'ésotérisme ou la voyance ou ce genre de chose, mais le destin c'est pour moi une preuve sûre. De même que les âmes sœurs!"

Puis en entendant sa seconde réponse tu pouffa.

"Je ne suis pas si terrifiante. Mais j'aime me faire comprendre."

Tu t'habilles, nullement consciente des idées lubriques de ton maris étant donné que tu n'y pensais jamais au sexe. Mais voilà que maintenant tu faisais les repérages autours et tu continuais de parler avec lui.

Ses mots te font sourire, mais tu ne sais pas quoi répondre...

"Hm... je t'aime plus que tout ma petite loutre... bon... il n'y a personne c'est calme... Tu vas pouvoir revenir..."

Tu avais hâte...

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