Forum INTERDIT aux Moins de 18 ans
Tw: Prostitutions, Meurtres, Violences, Drogues, Alcools, Manipulations.
Merci de prendre bien en compte ceci avant toute inscription.
Le Deal du moment :
Pokémon EV06 : où acheter le Bundle Lot ...
Voir le deal

Aller en bas
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Mar 5 Mai 2020 - 22:16
Quiproquo mortel Tu t'étais encore réveiller bien seul, Alexander, mais tu savais combien ton petit-ami pouvait avoir la bougeotte et surtout ... Du travail.

Oh bien-sûr tu avais essayer de faire en sorte qu'il reste un peu plus avec toi. Mais ça n'avait pas dérider ton beau brun qui t'avait embrasser sur le front avant de partir. Tu t'étais rendormis et pour un bon moment.
Ton métier te donnais du temps libre certes.

Mais quand tu avais des concerts tu finissais tard dans la soirée et tu avais ensuite eu une répète. Puis tu avais passer plusieurs heures à écrire de nouvelles chansons, ta relation t'inspirait.

Tu avais finis par te lever et tu ris un peu en voyant sur la table de cuisine un petit déjeuner fait par les soins de ton petit ami.
Tu mis le café chaud qui venait de passer dans ta tasse, puis tu te fis une clope. Depuis que Sixteen avait réussi à faire en sorte que tu devienne clean de drogue, tu avouais que tu fumais plus. Mais bon...

Oh... Il avait encore oublier son téléphone? Tu allumas ta clope et fuma doucement en déverrouillant le téléphone dans l'optique de l'appeler sur son numéro de son cabinet de détective privé.

Et tu tomba sur une conversation bien singulière. Ta clope c'était consommée toute seule alors que tes yeux bleus se durcirent en lisant la conversation. Il osait te tromper?... En tout cas c'est se que tu comprenais. Et tu avais déjà vu ce nom en allant à l'hôpital... C'était un Kiné hein?... Voyons voir se qu'il pensera du massage de tes poings.

Tu ne finis même pas ton petit déjeuner, tu alla directement dans ton mini-van, encore en pyjama, soit un pantalon de jogging et torse nu, tu mis quand même une veste en cuir et tes chaussures, débarquant dans ce cabinet de Kiné, et entrant en furie, poursuivit par la secrétaire.

Tu lui avait fermer la porte du bureau au nez et tu semblais quand même soulager qu'il n'y ai personne d'autre que toi et lui dans ce bureau.
Tu lui lança un regard hostile. Et bien. C'était lui alors?...

"Alors c'est avec toi qu'il me fait cocu ? Bah Putain et dire qu'il disait que j'étais trop jeune. Tu ressembles à un ado pré-pubère."

Tu étais froid, ça te dégouttais, tu étais furieux... Tu n'avais jamais ressentis une tel jalousie.

"Alors par tu vas lui faire boire ton sang tu veux dire quoi hein? C'est un code secret? Vous vous amusez sur ce bureau? Connard va répond moi merde!"

Tu tremblais de toute part, à dire vrai tu te retenais de lui mettre ton poing dans la gueule...

Ⓒ 2981 12289 0
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Dim 10 Mai 2020 - 15:41
Je ne m’étais pas encore couché, j’avais du travail en retard. Mais comme il était tôt, et que le soleil brillait, je ne pouvais pas sortir. Je n’attendais aucun patient, et j’avais fermé les volets. La secrétaire avait été prévenue que je n’acceptais aucun rendez-vous ce matin.
J’avais pris soin d’appeler mon compagnon pour savoir comment il allait. Tout se passait bien. Je lui dis que je ne rentrerai que ce soir. Je sentis une déception dans sa voix mais il était habitué. J’avais toujours pour ma part du mal à m’y faire, mais c’était ainsi. La journée devrait passer vite de toute façon. Il faudra juste que je pense à passer ce soir à l’hôpital prendre ma dose. Et à recontacter ce Sixteen.

Je pris la décision de m’avancer dans mes dossiers. Certains patients devront certainement recevoir un nouveau diagnostic. Je leur prescrirai peut-être une prise de sang, histoire faire connaissance avec quelques nouveaux laborantins. Les liens m’ont toujours été utiles.
La matinée commençait bien, j’étais d’humeur sereine dans mon nouveau cabinet. J’avais confiance en ma secrétaire. Je l’entendais par moment refuser des visites matinales. Tout allait bien. Je pourrai revoir mon compagnon tôt.

Un bruit me fit sursauter. La porte d’entrée sûrement. Sans doute rien de grave. Je me replongeais dans mes notes. Mais pas pour longtemps, car j’entendis une voix grave dire quelque chose à ma secrétaire. Je ne saurais dire pourquoi, mais j’ai senti un frisson me parcourir, comme si une menace se profilait. J’eus à peine le temps de me lever de mon siège que la porte s’ouvrit en grand, laissant apparaître un homme d’une beauté ténébreuse. Ce n’est pas vraiment mon genre d’homme, encore moins de par son attitude. Je fus tellement surpris que je ne fis pas immédiatement le lien avec ce qu’il disait. Ou plutôt ce qu’il vociférait.

C’est clair qu’en face de moi j’avais quelqu’un de furieux, et très grossier. Non pas que cela me dérange, surtout quand c’est justifié, mais cela me paraissait disproportionné.
Je compris rapidement tout de même qu’il s’agissait de quelqu’un de proche de Sixteen, car je n’ai pas utilisé le terme « boire mon sang » depuis longtemps.
Sa vulgarité, je ne l’appréciais pas. J’aime les dialogues constructifs. Visiblement je ne pense pas que je vais me délecter de cette conversation. Soit. Je pris sur moi le temps de le laisser déballer son sac, bien que je ne sache pas de quoi il parlait. Quand il eut fini, j’enchaînais sur un ton calme. En général ça énerve encore plus l’interlocuteur. Je n’aime pas provoquer, mais la nuisance gratuite m’exaspère.

« Bonjour monsieur. Oui, j’aime ce bureau, j’y passe le plus clair de mon temps, du bon temps même parfois. »

A voir son regard, il était dénué de toute réflexion logique, je ne pus qu’enchérir.

« Il m’arrive en effet d’utiliser des codes secrets. Mais comme leur dénomination l’indique, ils restent secrets. Donc, à moins que vous ne souhaitiez prendre rendez-vous, je vous demanderais de bien vouloir quitter mon bureau. »

Tout en parlant, je m’approchais de lui. Je pouvais sentir l’odeur de cigarette. Nous n’étions qu’à quelques dizaines de centimètre l’un de l’autre. J’ai pensé user de ma persuasion pour le faire quitter les lieux, mais j’ai préféré glisser dans ma poche arrière le coupe-papier du bureau. Car depuis son entrée j’ai perçu quelque chose d’inhabituel…
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Dim 10 Mai 2020 - 17:37
Quiproquo mortelTu n'avais jamais été aussi possessif avec Juliet... Sans doute parce que au fond quand tu t'éloigner d'elle tu était sûr de ne recevoir aucun coup...

Mais avec Sixteen c'était différent. Lui n'avait jamais essayer de lever la main sur ton corps sous alimenté. Bon en revanche tu te faisait bien engueuler à ce propos. Ton mètre quatre-vingt treize pour tes petits cinquante-huit kilos tout mouillé...

Cet homme prenait soin de toi et toi tu lui apprenais à vivre libre. Tu lui avais appris à laisser sortir ses émotion, à lâcher prise... Et lui il t'avait appris que l'Amour ce n'était pas avoir peur de la colère de son conjoint, ou bien de s'en prendre plein la gueule parce qu'on était stérile...

Juliet te l'avait tellement reprocher...
Que tu entendait encore ses reproches alors qu’elle était 6 pieds sous terre désormais.

Et tu n'étais plus célibataire depuis peu. T'avais du faire des pieds et des mains quand tu as commencer à ressentir des choses pour Sixteen... Ton homme de fer avait pourtant céder sa dernière barrière durant votre premier baiser...

Et... Et pourquoi tu pensais à ça maintenant?!

Tu étais face à la personne que tu pensais être l'amant de celui que tu aimais...
Et ce morveux qui avait une odeur familière s'amusait à t'énerver encore plus...  Tu bouillonnait et tes yeux avaient pris une teinte légèrement fluo.

Tu grognes alors que tu sers les poings.

"J'vais retirer ton petit air suffisant du visage... Franchement tu as rien d'autre à faire que piquer les copains des autres?... Tu m'dégoute."

Tu tremblais, tu n'avais plus autant de fureur en toi depuis que tu ne te droguais plus... Au contraire. Tu semblais même te calmer... C'était la tristesse à dire vrai qui prenait le dessus... Si Sixteen te trompait c'était peut-être que tu n'étais pas celui qu'il voulait?... Il s'était lassé?...

"Je compte pas prendre rendez-vous, je compte dire se que j'ai à dire maintenant tu sembles pas très occuper pour l'instant."

Ton ton reste pourtant froid et tu pose tes mains sur le dossier d'une chaise devant le bureau pour les empecher de trembler.

".... Je veux simplement savoir pourquoi et quand? A quel moment tu as réussi à le détourner de moi? Tu l'as hypnotiser? TU lui as jeter un sort?... Même si au vu de ton odeur je dirais plus hypnotiser. Tu pus le sang et la chair décomposé... Typique d'un vampire... "

Tu pensais à ta mère, l'adoptive, Adélaïde Ashford avait eu pitié du petit Être noir que tu étais et t'avais pris sous son aile, histoire que tu ai la figure maternelle que tu n'avais jamais connu. Tes mains se serrent sur le dossier, tes yeux bleus étaient froids, tu ne savais plus trop quoi dire, tu avais les lèvres sèches.

Tu passa ta langue sur tes lèvres pour les humidifier avant de lâcher doucement.

"Je compte pas sortir d'Ici sans réponse... Et j'sais pas d'où tu sors... Mais je ne t'ai vu à aucune réunion des créatures obscures..."

Ta voix tremble un peu, t'as peut-être été loin, tu avais peut être mal interpréter le tout? C'était une erreur... Une malheureuse erreur...

Ⓒ 2981 12289 0
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Mar 9 Juin 2020 - 23:14
L’être en face de moi faisait ce qu’il pouvait pour se maîtriser. Je sentais en lui une fureur que j’ai rarement ressentie en quelqu’un. Ce niveau de perte de contrôle j’ai du l’éprouver quand j’ai senti que mon compagnon n’était pas à l’abri où nous étions. C’était il y a longtemps maintenant, mais cette sensation est bien ancrée dans ma mémoire.
Et si cet homme éprouvait ce genre de sentiment ? Si lui aussi était, en ce moment, emprunt de haine, au point de tout annihiler parce qu’il sent qu’il est sur le point de perdre ce qui lui est le plus cher ? Ce n’est pas impossible.
Il va maintenant falloir que je fasse le lien, et rapidement, avec ce qu’il m’a craché à la figure en entrant dans mon cabinet. Non pas que j’ai peur de ce qu’il puisse m’arriver, mais plutôt que j’aime savoir à qui j’ai à faire. Son regard en dit long également, et les yeux ne mentent pas…

Il sait que je suis un vampire, il le sent. Ce n’est donc pas un simple humain. Mais qu’est-il donc ?
J’ai pu apercevoir la teinte de son regard un bref instant. On ne peut pas dire que ce soit commun. Mais rien de ce que je puisse connaître jusqu’à présent.

Son identité, je verrai cela plus tard. Le plus important est de faire la connexion avec Sixteen. En tous cas, ils sont proches. Je dirais même très proches. Une telle fureur ne peut que traduire des sentiments intenses. C’est clair que ces deux là couchent ensemble.
Et bien, on ne peut pas dire que je me sois mis dans la situation la plus stable qui soit. Moi qui voulais continuer de passer inaperçu…

Tout en m’éloignant un peu de lui, je tâtais ma poche à la recherche du coupe-papier. Lui pris une chaise pour s’appuyer sur le dossier, il cherchait à se contrôler mais il luttait difficilement.
Je pris le parti d’exploiter cette faiblesse. J’ai souvent procédé ainsi dans les rencontres néfastes à ma tranquillité. Les mots peuvent être plus acérés qu’une lame…

« Monsieur, ce n’est pas un ring ici. Et je ne parle que si l’on m’adresse la parole correctement. Mais je vais faire une exception ici et tenter une explication. »

L’ayant deviné, il sentira si je mens. Je vais donc aller à l’essentiel des choses.

« Je pense que vous parlez de Sixteen. Vous auriez pu commencer par cela. La chaise aurait pu avoir une espérance de vie meilleure. »

J’étais sûr que ce petit trait d’humour allait le faire sortir de ses gonds. Mais il continuait à résister à son envie de tout démolir. J’aurais peut-être un dialogue serein avec lui après tout.

« Je suis un vampire en effet. De la dire que je pus, je trouve cela déplacé de votre part. Votre odeur de cigarette mélangée à celle de l’alcool à peine digérée me laisse sceptique. »

Je dois aussi ma survie à mes sens que j’ai appris à maîtriser. Le sang d’une personne ne trompe pas à son sujet. Avec les années, je n’ai même pas besoin de le goûter pour en deviner, avec une bonne estimation, le contenu.

« Et de la drogue, on en parle ? »

J’ai presque regretté cette dernière phrase. Je dis bien « presque ». Car toute stratégie a ses revers, je le sais.
Ce qui m’inquiète le plus, c’est que je n’arrive pas à déceler ce qu’il est réellement, ce qu’il sait de moi. Et s’il était au courant de l’existence de mon compagnon ? Jamais je ne me le pardonnerai…
Il a tout de même parlé des réunions auxquelles il ne m’a jamais vu. S’il en parle à Adélaïde, la situation va se compliquer sérieusement.

Il était temps d’agir. Je me mis à le fixer dans les yeux, comme je le fais pour chaque proie qu’ensuite j’étreins. Mais, lui, je ne compte pas m’en nourrir.
Je fis trois pas en arrière pour me retrouver derrière le bureau. Je mis la main à ma poche arrière. Je sentis le froid du métal. Je n’ai jamais aimé cette sensation glacée. Elle ne dura pas car, mu par mes sens, je pris le coupe-papier par la lame et le lançais en direction de mon invité…
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Mer 10 Juin 2020 - 20:09
Quiproquo mortel
C'est vrai... Pour une fois Alexander tu faisais de ton mieux pour ne pas t’énerver et ... Littéralement laisser éclater ta colère... Tu avais le sang chaud, c'était évident... Tu étais la descendance de la mère des démons et de Laughing jack, tu ne pouvais que tenir de ces deux la... Ton sang noir bouillonnait, alors que apparemment l'autre enfoiré en face de toi ne semblait qu'a peine atteint parce que tu disais.

Il semblait comme entrain de réfléchir et tu cherchais à calmer cette colère qui prenait puissance en toi, en effet, tu avais peur... Tu avais mis du temps à ressentir un amour aussi tendre. Sixteen t'avait apporter un cocon de confort que tu avais peur de perdre...

Ton être immortel n'avait qu'une peur... Se retrouver seul.

Tu ne peux t’empêcher de sourire légèrement, ouais, l'odeur omni présente sur adélaïde malgré ton parfum t'avais marquer...

Mais sourire que tu perd rapidement pour souffler de ton nez percé alors que tes mains se crispent.

"Par contre tu vas arrêter de me prendre de haut parce que je vais te casser la gueule. Je te demande de t'éloigner de lui sinon cette chaise elle va finir par t'arriver dessus tu vas la voir passer son espérance de vie."

Tes yeux ont garder cette teinte fluo, peu de gens connaissaient ta race... Et pour cause Alec, tu en étais le seul représentant. Mais plus encore, tu commence à trembler de rage, comme si le vampire en face de toi voulais obligatoirement te mettre volontairement en rage... Mais c'est que ça semblait l'amuser en plus?!

Puis tes yeux s'écarquillent, pendant un moment tu ... Bug. Comment pouvait-il savoir pour la drogue? Autant c'est vrai que la cigarette... Enfin tu sentais la clope à plein nez, l'alcool... Tu en avait but avant de venir en lisant les messages tu téléphone de Sixteen...

Mais la drogue...

TU plisse les yeux et tu grognes.

"Non on en parle pas. je sais pas comment tu sais ça mais si tu en parles ça va mal se passer."

Tu te demandais vraiment comment ça avait pu arriver jusqu'à ses oreilles... Sixteen t'avais vendu? Non... Le brun essayait vraiment de te sevrer au mieux.
Tu secoue la tête. Puis tu as à peine le temps de voir que le brun cherche quelque chose dans sa poche, depuis un moment déjà... Et il avait enfin finis par le retirer. Avant de te le lancer à la tronche.

Un coupe papier?... Sérieusement il te prenais vraiment pour un bleu. Tu regardes la lame se rapprocher avant que tes cheveux ne poussent d'un coup et que sur tes joues n'apparaissent des larmes noires comme des tatouages ou un maquillage... Et qu'une sorte d'ombre noire, bien plus opaque ne devie la lame, ta matière noire avait réagis avant toi... Tu  n'avais pas pu garder ton calme cette fois  non... Et  malgré que la lame avait été dévier, tu avais eu une légère entaille sur la joue, ou du sang noir commençait à couler.

"Ça va? T'as finis de jouer?..."

Ta vois à un peu changer... C'est vrai, plus... Calme, plus pesante... Et ta matière noire immobilise le kinésithérapeute.

"... Tu as cru faire quoi la au juste?... Explique moi...Tu ricanes. Maintenant... Je vais me montrer plus clair. Je suis le petit-ami de Sixteen Doe, si tu l'approche encore... Je te tue. Ce n'étais qu'un avertissement parce que je n'ai pas de preuve concrète c'est vrai. Mais ... Si je finis par en trouver... Je vais te torturer avant de te tuer."

Tu souris d'un air amuser. Tu pouvais vraiment être terrifiant, tu savais que en revanche si Ada savait que tu t'en prenais a un des sien tu prendrais cher... tu n'étais pas au courant qu'il ne lui prêtait pas allégeance après tout... Sinon tu aurais peut-être un peu plus réfléchis au pourquoi il connaissait Sixteen... Mais bon... Tu réfléchissait sois trop... Sois pas assez Alec...
En revanche, la que tu étais un peu plus calme... C'était sans doute l'unique chance qu'avait le vampire de s'expliquer.

Ⓒ 2981 12289 0
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Lun 20 Juil 2020 - 23:58
Je ne m’attendais pas à ça …
De ma courte existence j’ai vécu, et survécu, à beaucoup de choses. Je pensais que la pire était Adélaïde. J’étais loin de me douter que les choses prendraient une telle ampleur.

Les pouvoirs de cet être étaient incroyables. La vitesse à laquelle je me déplaçais ne semblait pas l’inquiéter. Ce qui émanait de lui était tellement puissant… Il faut se rendre à l’évidence, il peut me détruire en un claquement de doigts. Mais comme pour toute stratégie, un pouvoir a une faille, aussi infime soit-elle. Et c’est souvent dans l’origine de ce pouvoir, ou dans la raison de la colère, que l’on trouve une porte d’entrée vers une faiblesse. Faiblesse qui peut se transformer en véritable talon d’Achille. Et dans ce cas tout le corps cède, peu importe la force de l’adversaire.
Mais tout cela semblait tellement loin d’atteinte, tant sa réaction fut effroyable et rapide. Ce qui l’habitait, cette « matière » sombre, formait comme un second être en lui, avec sa propre conscience du danger.

« Ne vous inquiétez pas, je ne fais que commencer à jouer. »
A peine prononcée, je regrettais presque ma réponse. Car je fus paralysé presque en un instant. Je sentais une étreinte puissante qui me liait les membres. Cependant je pouvais toujours parler, et heureusement penser.

La situation méritait d’être analysée. Rapidement.
Tout d’abord j’ai vu juste chez cet être. Sa colère je la comprenais. Vraiment. Mais il n’avait pas toutes les clés. Je ne sais pas si c’est une bonne chose de les lui révéler. J’hésite. Je suis en fait tiraillé entre trahir quelqu’un, et remettre en cause mon indépendance par la même occasion, et continuer à vivre pour mon homme.
Ensuite il est surpuissant mais il ne semble pas réussir à se contrôler totalement. Ses secrets, il n’aime pas qu’on les connaisse. La drogue surtout.
Aussi son attachement à Sixteen crevait les yeux. Sa perte de contrôle venait en grande partie de là.
Et pour finir, l’odeur de son sang sortant de sa coupure à la joue … avait quelque chose qui m’était familier. Je ne crois pas au hasard. Notre rencontre n’est pas fortuite.
Il va falloir que je réfléchisse vite… Détourner l’attention peut-être ?

« J’ai juste voulu me défendre de votre agression. Cela ne serait pas arrivé si vous aviez demandé poliment à ce que nous parlions. Je ne suis pas en position de force, vous le constatez. Mes propos ne peuvent donc qu’être tout à fait sincères. »

Parler de Sixteen me paraissait être la meilleure des solutions pour le moment.

« Je connais en effet Sixteen. Je n’ai pas cherché à arriver à une telle situation, autant désagréable pour vous que pour moi. Votre colère je la comprends, elle est légitime. Mais elle n’est pas justifiée car ce sont vos émotions qui prennent le dessus. Et vous êtes loin de la vérité. »

Son autre addiction devait être évoquée. Souvent, avec une oreille bienveillante, il est possible de faire entendre raison au plus camé des junkies.

« Sixteen est au courant pour la drogue, n’est-ce pas ? Et il vous aide, je me trompe ? Je comprends que vous soyez attaché à lui … »

Je sentais qu’il commençait à se calmer. Mais son étreinte était encore importante. Je savais que je pouvais y laisser la vie. Je tentais alors ma dernière carte, car les fragrances de son sang laissaient maintenant apparaître les notes de fond. Et cette musique je la connaissais.

« Vous êtes venu aussi me donner des nouvelles d’Adélaïde ? »
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Ven 24 Juil 2020 - 23:55
Quiproquo mortel
Tu avais entraperçu la peur dans ses yeux, et... Bizarrement, ça ne te fit pas plaisir. Tu te demandais si tu allais le tuer? C'était comme si tu ne contrôlais plus ton corps, tes réactions.
Tu n'étais qu'entrain de laisser parler ta haine. Haine noire qui coulait de ta joue comme le sang de la même couleur de cette plaie qui était ouverte à cause du kiné qui pensait qu'un simple coupe papier t'arrêterais...

Puis tu fronça les sourcils avec agacement, il se permettait des plaisanteries?... Est-ce qu'il se rendait vraiment compte que si tu étais capable de tuer ton ex femme sous le coup de la colère, aussi violente soit-elle, tu n'aurais rien à faire de tuer ce petit vampire ?...

"Mon père m'a toujours dis de tourner sept fois ma langue dans ma bouche avant de parler. Se que tu devrais faire si tu ne veux pas que je finisse par ne pas te laisser en vie."

Tu grogne terriblement à bout, déjà qu'il connaissait un de tes plus sombre secret... Enfin... Beaucoup le savaient mais tu le cachait quand même plutôt bien ...  
Ta matière noire c'était resserrée sur le corps du vampire et tu pensa à ta mère adoptive.... Qu'elle serait ta punition pour tuer l'un des siens?...

Et pourtant il ne manquait que peu de chose pour que tu te calme, des explications. Tu pourrais devenir rationnel.
Et apparemment il commence à t'en donner... Et toi... Tu l'écoutes.

"Te défendre?... Tout les vampires sont aussi faibles que toi?... Enfin... Je te laisse parler... Je t'écoutes."

Tu le fixe, et tu sembles sincèrement te calmer quand il parle de Sixteen...  Ce nom sonnant comme une douce mélodie à tes oreilles.

"Tu la comprend mais je n'ai toujours pas mes réponses. Imagine toi à ma place. Perdre la première personne pour qui tu serais capable de mourir, qui à vu de toi les pires côtés et qui reste pour t'aider alors que c'est loin d'être facile... J'ai comme l'impression que tu ne comprend pas en faite."

Tu secoues la tête, et tu finis par le lâcher, ta tête tourne... Tu as beau avoir des pouvoirs puissants tu ne peut pas les utiliser indéfiniment, et le sang ébène qui te coule du nez te le fait comprendre alors que ta matière noire disparait, tes cheveux redevenant courts, et tes yeux reprenant leur teinte bleue habituelle, tu chancelle, te tenant à cette chaise en tenant ton nez d'une main. Grognant d'inconfort.

Puis tu regarde Jonathan en haussant un sourcil.

"... Ada?... Qu'est-ce qu'elle à a voir la dedans?... Si tu veux des nouvelles va la voir directement, je ne fais pas partit des vampires... C'est pas à moi de jouer l'entremetteur... Surtout qu'elle vient de sortir d'un mariage désastreux, elle ne sera pas très encline à sortir avec un Kiné."

Tu grognes, tu as de grosse courbatures, du à ton srumenage de pouvoir, tu fais crauqer ta nuque en grimaçant. Ça te fait vraiment mal tout ça, mais tu voulais repartir.

Ⓒ 2981 12289 0
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Mer 9 Sep 2020 - 16:34
Il la prénommait « Ada ». Ils se connaissaient donc bien. J’avais donc touché la deuxième corde sensible de cet être surpuissant. Les failles se faisaient sentir.

« Ne partez pas, je crois que nous avons beaucoup de choses à nous dire. Il serait dommage d’être passé par ces étapes douloureuses pour se quitter comme si de rien n’était. »

Il ne pouvait pas refuser ma proposition malgré son état de colère encore présent. Bien qu’il n’en parle pas ou même qu’il le nie, il était attaché à certaines personnes. Sixteen en premier lieu.

« Je peux très bien imaginer ce que vous pouvez ressentir. J’ai les mêmes sentiments en ce qui concerne une personne. Mais ce n’est pas Sixteen. Le lien que nous avons est purement amical si je puis dire. Bien que ne soyons même pas amis. Je dirais plutôt collaborateurs. »

Evoquer Sixteen produisait chez cet être un relâchement de ses tensions. Le lien qui les unit est très fort, c’est certain.

« Et c’est Sixteen qui est venu à moi. »

J’ai presque regretté ma phrase. Il se crispait à nouveau et me lançait un regard noir.

« Mais pour des raisons de sang uniquement. »

Je le voyais se détendre à nouveau, mais je n’ai pas pu m’empêcher d’ajouter.

« Et ce n’est pas pour me le pomper. »

Je risque gros en faisant encore une figure de style, mais je savais désormais désamorcer la bombe sombre qui était personnifiée en face de moi. Et après une tension, revenir sur la raison du conflit, permet de mettre en lumière les causes de l’apaisement, et de reprendre le dessus sur son adversaire.
Les mots ont été pour moi une des armes de ma survie dans ce monde parfois glauque. Je tenais à ce qu’ils soient effilés jusqu’à mon dernier souffle.

J’avais vu juste. Mon interlocuteur eut une brume de haine dans le regard, mais il sut se contrôler.

« Les raisons de notre rencontre ne vous plairont peut-être pas. Car elles font l’objet d’une autre personne que vous respectez. Mais que vous ne connaissez certainement pas aussi bien que Sixteen.
Je ne compte pas y aller par quatre chemins désormais. Je comprends ce que vous traversez. »

Il s’apaisait doucement car il comprenait que je ne voulais aucun mal – ni aucune faveur – de Sixteen.

« Sixteen est venu me voir car il pense avoir un lien avec Adélaïde. En ayant un moi-même, avéré celui-là, j’ai accepté de l’aider. Et c’est bien Sixteen qui a cherché à me rencontrer. »

Je voyais qu’il était encore sceptique. Je choisis donc de me tenir en face de lui, les bras tendu à l’horizontale, pour former une croix.

« Ce que je vous propose est de se poser tranquillement pour que nous puissions nous expliquer. Si cela ne vous plaît pas de savoir, ou si vous refuser de voir la vérité en face, finissez le travail de tout à l’heure et tuez-moi. Vous allez certainement tomber de haut en ce qui concerne Adélaïde, euh pardon, Ada, mais vous allez admirer la démarche de Sixteen. »

Cette proposition, il ne pouvait pas la refuser. Je sentais l’adversaire se ranger à ma cause. J’espère ne pas faire fausse route.

« Mais surtout, quel que soit votre choix, ne salissez pas davantage le tapis. »
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Dim 13 Sep 2020 - 16:20
Quiproquo mortel
Adélaïde Ashford était ta mère, celle qui avait fait fis de tes erreurs passées, de se que tu faisait, de qui tu étais... De se que tu pourrais faire... Enfin... Elle n'apprenait pas à te laisser parler avant de faire des conclusions, elle t'avait gifler pas moins que le week-end dernier à cause ça, parce qu'elle pensait que tu trompais Sixteen...
Et toi tu venais de faire la même chose, se qui t'avait fait ensuite fait réfléchir... Tu venais de faire la même chose, aussi tu allais l'écouter ce Vampire, en plus il semblait connaitre Ada... Ou en tout cas, tu allais voir que le kinésithérapeute allait sans doute être pour toi une aubaine pour rendre à Sixteen l'aide qu'il t'avait offert ... A ton tour de l'aider... Tu n'avait attendu que ça de pouvoir aider ton homme de fer.

Et tu finis par t’asseoir en croisant les bras, restant silencieux un moment le regard dans le vide, avant de sortir son paquet de clope pour sortir ton bâton  d’addiction, glissant ce dernier entre tes lèvres, tu l'allume et aspire la nicotine pour en souffler sa fumée blanche avant de regarder Jonathan.

"Très bien parlons, mais je prendrais un café, noir, sans lait, sans sucre."

Tu écoutes ensuite le brun, tu passes de la détente à la crispation, apparemment le regard noir que lui lance semble délier un peu plus sa langue, alors que tu commence à boire ton café sans une grimace.

"... Par contre je crois qu'on à pas la même définition de pomper alors tu utilise un autre mot ça m'arrangerais parce que j'ai vraiment juste envie de te démonter rien que d'imaginer autre chose... J'ai besoin de bien plus d'explication la, par histoire de sang c'est à dire?..."

Pour le moment tu t'apaise en effet et tu hoche la tête, tu es attentif, tu as bien compris maintenant que tu avait sur-réagis, et tu regardes Jonathan avec de grand yeux surpris.

"Un lien avec Ada?... Et bien ça fait longtemps qu'ils se connaissent donc ils ont sans doute déjà eu un ... enfin un passer commun. nan, si jamais je te tue j'aurais jamais mes réponses, et de toute façon.. Je me suis un peu fait mal au dos en me faisant craquer les articulations alors pour le moment j'ai pas envie de le faire... et j'ai rien salis du tout moi... C'est toi qui m'a couper donc s'il y à du sang par terre c'est ta faute."


Tu souffles une nouvelle bouffée de ce cancer tabagisme et tu bois une nouvelle gorgée de ton café, tu as envie de savoir maintenant, pourquoi il semblait si sérieux? Apparemment, ça ne semblait pas facile de te le dire, mais le kinésithérapeute semblait te faire confiance, il est vrai que tu étais arriver à Philadelphie, directement à ta sortie de prison, il y à six mois,  et tu avais été accueillis par Sixteen et Adélaïde, tu les mettait tout les deux sur un piédestal.

Est-ce que les aveux de Jonathan allaient te faire changer d'avis sur ta mère adoptive et ton petit-ami?..

Ⓒ 2981 12289 0
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Dim 11 Oct 2020 - 17:22
Cet Alexander s’apaisait. Et j’ai bien fait aussi de baisser ma garde. Nous allons pouvoir discuter. Enfin.

Je lui servis son café. Je l’ai volontairement fait serré. Je sais qu’il ne montrera aucune faille mais je tiens à ce qu’il ne prenne pas trop le dessus et ne sente pas en terrain conquis.

« Voilà votre café, noir et sans sucre. Ne prenez pas un air sombre et amer comme ce café, cela ne vous va pas au teint. »

J’enchaînais par un début d’explication.

« Comme je vous l’ai dit, ce n’est pas moi qui ai cherché à voir Sixteen. Mais bel et bien le contraire. Comme vous venez de me le dire, Adélaïde et Sixteen se connaissent depuis longtemps. Et Adélaïde et moi depuis un certain temps dirons-nous. »

L’être noir ne savait pas cacher ses émotions. Je voyais qu’il était impatient d’en savoir plus.

« Nous nous sommes en effet rencontrés il n’y a pas longtemps avec Sixteen. Notre premier échange fut quelques peu houleux, ce qui n’est pas sans me rappeler ce j’ai vécu il y a quelques minutes … Et oui, c’est Sixteen qui m’a recherché. Et, qui plus est, à la demande d’Adélaïde. »

Je sentais que j’avais piqué sa curiosité. Il semblait à la fois étonné et résigné. Je percevais aussi un soupçon de soulagement.

« Je ne vais pas vous cacher plus longtemps que j’ai, quasiment depuis ma naissance en tant que vampire, fait en sorte de ne jamais recroiser Adélaïde. Je lui dois pourtant « la vie » mais je n’aurais cesse de penser que ma mort et ma nouvelle naissance ont été des mises en scène de sa part. Je ne sais pas encore dans quel dessein elle a organisé tout ça, car je me suis plutôt fait discret ces cinquante dernières années, et je n’ai donc pas vraiment cherché à expliciter tout cela. Mais je crois que le temps fait son œuvre. Le fait qu’elle mandate Sixteen pour mettre la main sur moi n’est pas anodin. Elle a quelque chose derrière la tête. Peut-être est-ce pour protéger quelqu’un, même si c’est peu probable car elle est assez égoïste, peut-être pour se protéger elle-même d’un danger qui la menace. »

Je sentais l’intérêt grandissant d’Alexander pour mon histoire. Enfin plutôt les détails de celles de Sixteen et d’Adélaïde. Cela se sentait qu’il les vénérait.

« Je n’ai jamais voulu porter allégeance à la reine des vampires. Cela n’est pas dans mon caractère, vous l’auriez deviné. Mais c’est surtout que j’ai vite remarqué que j’étais spécial à ses yeux, et qu’elle essayait de me manipuler pour atteindre un sombre but. Et comme la vie de mon compagnon était entre mes mains, rien ne m’aurait fait changer d’avis. La seule chose depuis lors qui a changé est mon état d’esprit. Je suis passé de la haine envers cette femme suffisante à la compréhension de sa vision des choses. Elle n’en est pas pour moi moins détestable, mais si je veux connaître la vérité me concernant, il faut bien que je m’y prépare. Et quoi de mieux que de se mettre à son bas niveau ? »

Alexander se crispait à nouveau. Puis desserra les dents. L’instant d’après il se tendait encore. Ses émotions à lui aussi changeaient au fur et à mesure du récit.

« En bref, Adélaïde a besoin de moi. Ce n’est pourtant pas récent. Elle a bien essayé de me trouver à maintes reprises, sans y parvenir totalement. Il y a 20 ans elle a bien failli mettre la main sur moi. C’est au moment où mon compagnon commençait avoir quelques problèmes de santé et que notre vigilance s’est amoindrie. Elle, ou plutôt ses « protégés », ont, de peu, mis en péril la vie de mon homme. Il s’en est fallu d’un rien pour qu’il en meurt. Et c’était le moindre soucis de cette mégère. Les 30 ans qui ont suivi ont aussi eu leurs lots de moments sombres. Presque exclusivement à cause d’une reine qui se prend pour Dieu. »

Alexander était désormais très attentif. Son fond de café avait même eu le temps de refroidir.

« En ce qui concerne Sixteen, il n’a fait que obéir à Adélaïde. Je n’ai pas eu à lui dire le lien que nous avons. Il l’a senti. »

Alexander alluma une nouvelle cigarette. Il cherchait à travers ce geste à cacher son inquiétude quant à ce que j’allais lui révéler.

« Mais Sixteen a ressenti autre chose, depuis quelques temps m’a-t-il dit. Il est persuadé que Adélaïde lui cache quelque chose. Pas sur moi, mais sur lui-même. Et désormais il cherche à en savoir plus. Il sait qu’il se met en danger, ainsi que vous par la même occasion. C’est pour cela qu’il est resté discret. Il a cependant une piste : le sang qui coule dans mes veines et dans celles d’Adélaïde. Et il a le ressenti que tout cela est lié à son passé. »

Alexander avait pris un air entre la rage et le soulagement. Cet être noir n’est-il donc jamais apaisé ?

« Juste une chose pour terminer. N’allez pas voir Adélaïde pour lui parler de notre petite conversation. N’allez pas non plus accélérer les choses à votre manière pour qu’elles deviennent incontrôlables. Laissez faire les personnes moins impulsives que vous. Je pense que vous en retireriez un bénéfice non négligeable. La vérité doit bien éclater un jour de toute façon. »

L’être noir se leva subitement de sa chaise et s’approcha de moi. Il me tendit la main …
avatar
Invité
Invité

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Jeu 22 Oct 2020 - 19:48
Quiproquo mortel
Tu bois ton café avec un soupir, tu étais sombre et amer... Mais on te disais souvent que ça t'allait à merveille, tu étais un Black après tout... Tout les Black avaient un caractère de merde...

A dire vrai tout au long du récit tu étais mitiger entre colère et compréhension... Tu finis par soupirer à la fin, tu l'avais laisser parler. Tu ne l'avais couper à aucun moment. Tu finis le fond de ton café froid sans grimacer. Et tu t'étais contenter de te lever en lui tendant la main.

"Merci pour ton honnêteté... Je comprend bien mieux... Je sais à quel point ma mère peut-être... Bref... Et je comprend qu'on ne veuille pas lui porter allégeance... C'est au choix, elle ne devrais pas t'en tenir rigueur... Mais tout se que je voulais c'étais savoir pourquoi Sixteen était proche de toi... Donc... Je comprend un peu mieux... Et ça me rassure que tu ai un compagnon, parce que au moins je sais que tu ne vas pas me voler mon compagnon... C'est une guerre qui ne me concerne pas. Aussi, fait ce que tu veux. Tant que tu ne me vole pas mon petit ami... Je sais que je suis impulsif, c'est mon côté démoniaque. Après que tu m'ai serrer la main, je sortirais d'ici, et tu ne me verra plus débarquer ici... "

Et c'est se que tu fis, tu lui serra la main, puis tu partit enfin. Vos chemins se recroiseront peut-être... Mais pour le moment, ce n'était plus le cas...

FIN

Ⓒ 2981 12289 0
Contenu sponsorisé

Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander Empty Re: Quiproquo mortel * Jonathan & Alexander

Revenir en haut
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum