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♕ Faustus Johnny De Vilbusy * Quand la faiblesse laisse place à l'amour.
Jeu 21 Mai 2020 - 14:54
ft. Emerson Barrett.
feel free not to talk
Comme si ton frère n'existait pas à ces yeux, tu étais le seul qui comptais. L'actrice qu'elle était voulait que tu suive ces traces. Et ton enfance fut bercer par le théâtre, les castings et autres fanfreluches...
Tu détestais ça, et ta nourrice t'avait trouver un superbe échappatoire. Le dessin et les romans policiers, ou tu t'amusais toujours a faire l’enquête en même temps que ces nombreuses intrigues... Mais tu trouvais ça trop facile... Les romans ne comblait pas ta soif d’enquête. Alors tu espionnais vos voisins. Et plus le temps passait et plus c'est ton frère qui devient ta cible.
Tu rêvais de te rapprocher de celui qu'on te forçais à éviter.
Tu avais 19 ans. Et quand ton frère avait perdu l'esprit le premier soir. Tu l'avais su, tout comme tu avais su pour le viol de ce dernier... Pourquoi?... parce que tu connaissait Daniel... Mieux que quiconque... mais ça... cetait un souvenir que tu voulais oublier et qui pouvais te faire fondre en larme... Tu avais espionner le triton qui l'avait ramasser alors que tu allais toi même le faire. Mais l'homme avait déjà pris ton frère dans ses bras pour l'emmener dans sa caravane. Et toi tu les suivait. Quand tu vis qu'il soignait cet idiot. Tu fus soulager, il ne semblait vouloir du mal à celui que tu considérais comme un exemple...
Plus pour longtemps.
Le temps passait et tu savais que Édouard revoyait l'homme à la queue de Sirène, mais tu ne les espionnait plus, tu ne voulais pas être au courant de tout. Et surtout ne pas avoir à mentir devant Clémentine ta belle-soeur. Quand elle te demandait si tu avais vu son mari, tenant contre elle ta nièce, la petite Ayano.
Tu fus le premier qui découvrir le corps de la blonde au dessus du berceau de l'enfant, quand elle appris les frasque de ton frère... Mais tu ne pouvais pas vraiment dire que tu ne te doutais pas de se qui allait se passer...
Ça sembla être un déclic pour ton frère qui décida de partir. De tout abandonner. Et tu le suivis. Tu avais alors été le plus égoïste, tu voulais quitter cette vie d'aristocrate que tu détestait. Te libérer de ta mère qui avait enfoncer en toi les profonde ronces de la soumission.
Plus jamais on ne te soumettra à une idée si tu n'en à pas envie.
A ton arrivée à Philadelphie, tu compris que prendre ton indépendance est se que tu aurais du faire il y à longtemps, suivant l'idée de ton frère, tu change de nom avec plaisir. Tu l'as décidé. Et... Celui qui se nomme maintenant Salierye Alix De Vilbusy ne t'as nullement forcer. Tu Renonces au Nom d'Alice Ronald Wahsem pour celui de Faustus Johnny De Vilbusy. Tu avais déjà trouver un appartement et tu faisais des recherches pour trouver un travail, ton frère à semble t'il disparu, mais il t'avait déjà dis qu'il partait faire quelque chose que personne ne pourrait faire à sa place.. Tu ne mis pas longtemps à en trouver un. A dire vrai, quand tu découvris la porte menant au cabinet de détective Doe, tu avais tellement surpris le gérant qu'il acceptas de t'écouter... Et plus tard de t'engager.
Ton monde se concrétisait.
Tu avais un travail, un appartement pas trop mal... Tu allais souvent faire la fête dans le club de ton frère. Loin d'être prude, tu t'abandonnais volontiers au Sexe, au Whisky et aux joints. Ton frère t'avait également ouvert les portes du monde surnaturel, il était devenu Incube, et t'avait expliquer bien des choses, tout comme la nature de son nouveau mec. Tu l'acceptas avec un peu de mal, les dernières parties de religions dans ta tête se demandant si c'était une mauvais idée.
Il est d’ailleurs rare de te voir sans une clope à la bouche entouré de créatures obscures de tout horizon. Et pourtant, le jour ou tu LE rencontra, une toute autre drogue emplis tes veines.
Comme l'eau de mer rentrant dans les poumons des noyés.
Noyé d'émotion contraire tu l'avais été quand tu avais rencontrer le frère de Wolfgang Rosenwald. Aloïs avec son visage innocent avait toucher ton cœur. Et tu ne comprenais pas se qui te poussais à le courtiser avec tes valeurs Anglaises, fleurs, repas... Et tendresse. Toi qui n'en avait jamais offert à personne, pas même à ton frère durant ces crises. Tu étais maintenant souvent à passer derrière le triton rien que pour sentir son odeur salée alors que tu le serrait contre ton torse.
Et le triton te le rendait.
Et même alors que votre vie semblait toujours plus agréable, ton frère fit une connerie que tu du la réparer... Tu avais rejoint en courant avec Aloïs, Wolfgang... Qui tenait en pleurant le corps sans vie de ta nièce et tu t'autorisa toi aussi à laisser quelque larme noircie par ton maquillage maculé tes joues...
Pour aider ton frère cependant... Tu te contenta d'aider Wolfgang et Aloïs à cacher le corps de l'enfant noyée.
Et ce gros con avait disparut dans la nature. Vous l'aviez chercher pourtant. Mais deux mois n'avait pas suffit à le retrouver. Il était même rentrer seul. Et tu avait laisser éclater ta colère. Avant de le prévenir qu'Aloïs et toi ne rentreriez pas tout de suite histoire de quand même profiter d'un moment ensemble.
Puis votre voyage prit Fin.
Vous voilà de retour à Philadelphie.
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