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You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre Empty You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre

Dim 12 Jan 2020 - 23:12


You take me a reason for live"A name? You give me a name?... Really?"Razièl & Cassandre



Mi-Octobre 2017:
Il n'avait fallut qu'une minute d'inattention pendant son travail pour que le drame ne se déroule...

Cassandre avait fait un malaise, parce qu'elle avait but trop de boissons énergisantes et n'avait pas assez dormis, et avait reprit connaissance quand la police arriva sur les lieux du meurtre d'un homme. La police l'ayant prise pour une victime elle la fit examiner avant de la mettre en garde à vue pour lui poser des questions, en sachant qu'elle allait mieux.

Elle s'ennuyait dans sa cellule et la police avait demander un numéro de téléphone à la rouquine pour qu'on vienne la chercher après cet interrogatoire, afin qu'elle ne reparte qu'avec quelqu'un en qui elle avait confiance et qui pourrait la protéger. Car... Oui, la rouquine ne faisait pas apparemment pas assez forte pour se débrouiller toute seule. Ce n'était, comme disait le policier en charge d'elle: on ne va pas laisser une petite mignonne qui à déjà fait un malaise en voyant du sang repartir toute seule. C'est dangereux, la ville, la nuit pour un petit bout de femme.

Cassandre avait donc donner le numéro de la seule personne qui l'aiderait quelque soit l'heure.

Le policier appela donc Razièl Smilansky, afin de lui faire part de la présence de la rousse au sein du commissariat, ainsi que de lui expliquer plus ou moins la raison de la présence de la jeune femme, ainsi que de le rassurer, elle allait bien, mais elle refusait de manger la nourriture de l'établissement.

En sachant que le Policier était au téléphone avec le loup, elle se mit à hurler derrière.

"Ramène moi des nouilles sautées!!!!!"

Le policier semblait surpris et soupira en marmonnant un peu, sans se douter qu'un loup-garou avait une ouïe très fine, il lâcha un: Complètement folle cette bonne femme, déjà qu'elle se souvient plus de son identité...

Puis il raccrocha après avoir fait confirmer à Razièl qu'il arrivait. Attendait avec la rouquine qui était allongée sur le banc, attendant son ami... Enfin ami... Était-il seulement un ami? Et étais-ce vraiment le moment de penser à ça?...

Quand la porte du commissariat s'ouvrit sur Razièl, Cassandre se leva avec sa grâce habituelle, faisant une petite danse satisfaite, elle agrippa ses barreaux en posant ses joues contre ces derniers, souriante.

"Tu as apporté mes nouilles sautées?..."

La jeune femme avait dit ça avec un air si chou et si innocent que s'en était trop mignon, elle semblait presque inoffensive si on ne la connaissait pas...

Le Policier se leva en prenant le dossier de Cassandre.

"Vous êtes monsieur Smilansky je suppose, je suis l'Officier Keith, j'aurais besoin de quelques informations sur votre... Amie, elle dit ne pas avoir de ... Nom de famille."

Il jeta un coup d’œil à Cassandre et continua plus bas.

"Elle ne sembla pas très saine d'esprit... Elle à une maladie mentale... Elle est amnésique ou quelque chose comme ça?..."

Cassandre faisait de son mieux pour capter l'attention de Razièl en lui faisant des grimaces en rapport avec le Policier pour lui faire comprendre que c'était un gros boulet et qu'il était un peu misogyne. Et elle l'imitait aussi comme si c'était un porc.

Oui, la jeune femme avait un caractère bien différent avec son... ami.

You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre Empty Re: You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre

Mar 14 Jan 2020 - 15:37


YOU TAKE ME
A REASON FOR LIVE

FT. @"Cassandre"



Quand la lune dort le
soleil luit moi je
ne vois qu'elle


Mi-octobre 2017.


La soirée était bien calme aujourd’hui dans cette ville qui ne sembler jamais s’arrêter, la fête d’Halloween s’approchant peu à peu les maisons américaines aborder à présent tous des décorations extérieures en l’honneur de ce fameux jour. Ici, l’Halloween était vraiment une fête qui rapporte un paquet de pognon aux entreprises. C’était très différent de ce que tu avais connu dans ton enfance à Tel Aviv, capitale Israélienne ou la religion juive avait touché la plupart de ses habitants, donc toi, tu n’avais jamais fêté cette tradition de ta vie, le diable était déjà bien trop malin pour qu’en plus tu joues avec lui un 31 octobre. Les Américains n’avaient vraiment aucune conscience mais, ça ce n’était pas ton problème. Tu avais déjà assez de choses à t’occuper dont ton futur départ secret, tu étais pourtant arrivé à Philadelphie il n’y a même pas un an et demi et tu prévoyais déjà de repartir. Ça ne te choquer même plus après tout, depuis que tu avais fui la meute de ton père celle-ci n’avait cesser de te traquer, estimant que tu devais être jugé pour la trahison que tu avais infligée à cette communauté. Jusqu’ici tu avais toujours réussi à repousser les espions de ton père que ça soit par la parole ou la force, il y avait un prix sur ta tête mais, tu arrivais toujours à garder celle-ci intacte. Jusqu’il y a trois jours. Tu avais l’impression d’avoir échoué. Tu le savais tu étais resté bien trop longtemps au même endroit et finalement ils avaient réussi à sentir le concentré de ton odeur où tu squattais. Tu avais pris pourtant tes précautions, tu avais choisi ton deuxième prénom plutôt que le premier, celui par qui tous te connaissent. Samaël. Le fils qui défia son père. Dans la torah Samaël devient Lucifer de sa rébellion, de la tienne tu étais devenue Razièl. L’ange gardien des secrets et des mystères. Tu n’avais pas non plus d’adresse fixe, tu squattais par ci et par là, c’était bien trop risqué pour toi de prendre une location aux yeux de la loi tu rester Samaël Smilansky après tout. Tu t’étais infligé des règles strictes et pourtant tu les avais tous enfreint à cause d’une seule et même personne. Cassandre, la chasseuse de créatures.

Tu l’avais détestée à votre première rencontre la belle rousse avait prit en chasse ton seul et unique bêta à l’époque, tu l’avais mordu accidentellement tandis que celui-ci agent de police enquêter dans les bois à cause d’une disparition, malheureusement cette nuit-là la lune était pleine. Et le loup en toi enragé que tu as tenté de l’enfermer en achetant une pierre de nuit qui s’était révélé presque inefficace sur lui. Il t’avait retrouvé par la suite, affolé de sa condition, tu avais fait de sa vie un enfer pour ce pauvre homme qui était qu’un humain lambda hors, par la suite tu l’avais aidé dans son apprentissage et il était devenu un loup très fidèle envers toi. Tu étais son ancrage dans le monde surnaturel. Ainsi lorsqu’il hurla à la mort, tu fu le premier loup à attendre son cri, vous étiez liés de ta morsure et tu avais accouru pour l’aider. Delà fût ta première rencontre avec la chasseuse, tu avais dû la payer le double de ce que lui avait promis son « employeur » du moment pour qu’elle fasse demi-tour. Et Yahweh* avait décidé de continuer de la mettre sur ta route, tu l’avais rencontré une deuxième fois dans ce bar où tu jouais du piano puis ensuite dans ton restaurant asiatique préféré, tu t’étais même demander au début si celle-ci ne te suivait pas pour au final te couper la tête. Mais non. En dehors de son activité elle était une femme très intéressante, courageuse, intrépide et fidèle qu’à elle-même. Elle était inaccessible pour le monde entier, sauf pour toi. C’était censé être qu’une partie de jambes en l’air puis deux puis trois puis.. Tu laissas un peu trop tes affaires traînées chez elle et Cassandre avait finit par te faire comprendre plus au moins que tu pouvais rester. Entre deux cris au sujet de ses fameux vêtements elle avait montré du doigt une commode ou elle avait fait de la place pour toi. Tu lui étais reconnaissant car elle t’apportait sans le vouloir un étrange havre de paix et de naturel. D’ailleurs ou elle était ? Tu commençais à t’ennuyer sérieusement à être enfermer dans ce studio.

Même le film que tu regardais n’était plus si intéressant que ça, toi qui pensais pouvoir passer enfin une soirée tranquille dans ce quartier ou le brouhaha était constant voilà qu’à présent tu avais une mauvaise intuition. Qui se confirma au coup de téléphone que tu reçus, fronçant les sourcils violemment à l’annonce du policier tu éclatas rapidement en fou rire lorsque tu entendis la voix de la rousse au loin et les murmures de ton correspondant qui sembler dépassé par la jeune femme. Oh si seulement il savait à quel point elle était folle et secrètement à quel point tu étais fou d’elle. Dès l’appel terminer tu sautas dans des vêtements propres ayant cette fichue manie de te promener toujours dénuder ou en sous-vêtement dans le studio, après tout tu étais loup, les vêtements était un peu trop étouffant pour toi parfois. Il te fallut une bonne trentaine de minutes pour arriver au commissariat ou dans ta main tu avais un sac blanc dégageant une fumée odorante assez plaisante. Forcément que tu lui avais acheté des nouilles, commandé au préalable sur ton téléphone, tu détestais lorsqu’elle ne mangeait pas et tu allais sûrement l’engueuler pour s’être encore mis en danger si bêtement. M’enfin pour l’instant elle était beaucoup trop mignonne avec sa petite danse et à présent sa moue innocente contre les barreaux, ça te déplaisait fortement de la voir ainsi, tel une bête qu’on a mis en cage. S’approchant d’elle après avoir vaguement salué l’agent de police, tu lui pinças l’une de ses joues gentiment avant de lui tendre le sachet encore chaud.

« - Ouais ouais ouais… Avec supplément nouille et légumes je sais. Le chef a encore cru que c’était pour deux personnes, il n’arrive pas à se faire à l’idée que tu manges autant je crois… Déclares-tu en lui souriant gentiment puis tu lui murmuras tout bas, Est-ce que tu vas bien ? Ils m’ont dit qu’ils t’on retrouvés inconsciente... »

Tu attendis sa réponse avant de repartir vers l’agent de police qui t’interpela, tu lui serras la main avant de s’assoir face à lui pendant qu’il sortait le dossier de la chasseuse, ta mine se crispa un peu aux dires du policier, comment allait-tu la sortir de là ? Ton cerveau surchauffer pendant que tu faisais mine de l’écouter tandis qu’en réalité tu cherchais juste une solution pour la rousse. Jolie rousse qui n’arrêtait pas de te déconcentrer en faisant son petit numéro derrière l’officier, tu te retiens de rire avant de lui faire les gros yeux et reposant ton regard sur l’homme face à lui. Tu repensa au mime animalier de la chasseuse c’est vrai qu’il avait vraiment une tête de por.. Razièl. Un peu de sérieux voyons. Cette femme te faisait perdre ton contrôle bien plus que tu le voulais. Finalement tu passas une main distraite dans tes cheveux en les ébouriffant légèrement avant de lui répondre.

« - Vous pouvez m’appeler Razièl officier, je suis un ami du commissaire Milkovich, il n’est pas de service cette nuit ? Demandas-tu un air faussement surpris avant de continuer,  Oh.. Oui… C’est ma femme. Cassandre Smilansky. Nous avons été victime d’un accident de la route il y a deux semaines, d’ailleurs monsieur Milkovich s’est occupé de ma plainte vous devez avoir une trace dans vos dossiers. Malheureusement ma femme a eu un traumatisme crânien et un choc émotionnel. Ce qui explique son état… Elle ne se souvient pas qu’on s’est marier ni de son nom de jeune fille… Les médecins m’ont demandé d’être patient envers elle. »

Tu restas silencieux à la fin de ta phrase, ton regard retournant sur Cassandre dans sa cellule l’observant de longues minutes profondément, qu’est-ce que tu étais en train de faire pour elle ? Toi qui détester mentir ce qui allait contre tes principes et ta croyance. Mais, tu n’avais pas le choix. Tu te jetterai dans les flammes du Sheol* rien que pour que son âme sois sauver. Ainsi, tu n’hésita pas à aller plus loin dans ton mensonge espérant alors que la sympathie de l’agent finissent pas se montrer, grâce aux mimes de la chasseuse tu savais sur quel terrain jouer pour qu’il la laisse sortir.

« - Je crains que cette situation aggrave son état… Elle est fragile comme vous le savez sûrement et elle est sujette aux crises de somnambulisme, elle avait refusée de prendre son traitement hier elle pensait aller mieux… Toutes mes excuses monsieur l’agent pour le désagrément qu’elle vous a commis, si vous nous le permettez je peux me porter tuteur pour elle et répondre à vos questions. Mais, laisser la sortir et laissez-moi la ramener à la maison pour lui faire voir un médecin au plus vite.. »

Tu fis mines de poser une main sur tes paupières l’air désabusé, tu jouais la carte de l’époux fidèle et dépassé qui ne souhaitez juste la sécurité de sa femme. Tu le sentais, l’agent était si proche de craquer mais, ça à voir comment il allait à présent réagir. Mais, une chose était sûre : Cassandre t’en devais une et une bonne même.

*Yahweh = Seigneur, Dieu créateur etc.
* Sheol = L’enfer pour  les juifs.



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You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre Empty Re: You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre

Mar 14 Jan 2020 - 19:10


You take me a reason for live"A name? You give me a name?... Really?"Razièl & Cassandre



Mi-Octobre 2017:
Cassandre lui offrit un grand sourire avant de faire une moue boudeuse quand Razièl pinça sa joue.
Elle susurra alors très faiblement, sachant que personne à par lui ne pourrait l'entendre un petit.

"Ce n'est pas la joue que tu pince habituellement, mais je comprend... Trop de public..."

Son ton était taquin, comme à son habitude.

"Je n'y peut rien, quand j'ai fais j'ai faim... Et j'adore leurs nouilles... Ce sont les seuls à savoir faire en sorte que les légumes ne soit pas frit dans de la graisse animale... "

Puis elle sourit d'air rassurant en posant sa main sur la sienne, lui susurrant plus bas.

"Je vais bien, c'est... Le manque de sommeil... Et... il m'a donner du fil à retordre... J'étais fatiguée... Ne t'inquiète pas pour moi... Inquiète toi plutôt pour l'autre gros porc misogyne quand je serais sortie de ma cage... Je me sens pas bien la dedans... Fait vite... Tu pourras me faire une tresse... Louveteau."

Le ton était sensuel, elle le fixait dans les yeux, ses prunelles noisettes plantées dans celles couleur chocolat de Razièl... Lui faire une tresse... C'était la façon élégante que Cassandre avait de lui dire: Après que tu m'ai fait cette tresse, je m'abandonnerais à toi toute entière, mon corps sera le tiens jusqu’à המוות הקטן* (*: La petite mort en hébreu). Cassandre avait appris l'hébreu avec Razièl, elle apprenait vite. Elle n'avait qu'entre 18 et 22 ans, et connaissait déjà 16 langues vivantes couramment, ainsi que le grec et le latin. Elle avait apprit 5 de ces langues, le Français, l'Espagnol, Le Mandarin, L'allemand et L'anglais, avec son Mentor d'assassinat et père adoptif, Grishna, un homme qui avait recueilli Cassandre dans les bidonvilles ou elle était née, elle ne s'avait pas parler. Il lui à tout appris. Quand il est mort, Cassandre est alors partie dans le monde pour apprendre du monde, la haute société, la manipulation. Elle à ensuite appris l'Italien, L'Hébreu, L'Arabe, Le Russe, L'Africain, La langue des signes, Le Polonais, Le Japonais, Le Coréen, Le Vietnamien et Le Turc durant ses voyages auprès de ses amants... Et amantes.

Quand à louveteau... Elle savait à quel point Razièl détestait qu'on l'appel ainsi, mais comme la jeune femme lui avait bien dis plus d'une fois, je suis une emmerdeuse, tu restes, tu ne serais pas un peu maso Louveteau?...

Elle arrêta ensuite ses grimaces, bien trop affamée, elle oubliait souvent les besoins physiologiques lorsqu'elle était sur une affaire, au point que Razièl pouvait la traîner dans la douche ou la baignoire, dans la cuisine ou au lit... Mais au vu de comment ça se terminait bien souvent, c'était à se demander si Cassandre ne faisait pas exprès.
La jeune femme mangeait... Comme un goret. On lui avait appris à être classe et présentable dans ses missions, mais la... Elle savait qu'elle n'avait rien à prouver elle avait juste faim.

Il y a de tout façon bien longtemps qu'elle avait arrêter de faire semblant avec Razièl, que ce soit sur ses manières, son langage et bien d'autres choses.
Aussi après avoir terminé son plat, elle lâcha un bon gros rot et se rallongea en s'étirant comme un chat, offrant une superbe vue plongeante de son maillot qui se leva sur cette petite culotte en dentelle noire qui dépassait de son jean taille basse.

Le Policier la regarda avec une petite moue outrée et dégoûter, avant de grommeler.

"Élégant... Et très féminin."

Puis il reprit son attention sur Razièl, avant d'hocher la tête.

"Oui... L'Inspecteur Milkovich, il n'est pas de garde ce soir, il est sur une affaire, désolé pour vous... "

L'homme l'écouta, il notait pourtant tout se que Razièl disait dans le dossier qui portait le nom de Cassandre.

"Hum...Hum... Smilansky..."

Il nota le nom sur la chemise cartonnée Rose... Bah oui, c'était une fille après tout, alors que Cassandre détestait le rose, mais passons.

"Je vois... J'en suis vraiment désolé... Ça doit être dur pour vous... Elle ... Enfin entre nous... Elle s'occupe encore de vous mon vieux? Les tâches ménagères c'est pas une affaires pour un bon gaillard comme vous... Enfin... J’espère pour vous."

Il ricana et de loin dans sa cellule le regard noir de Cassandre fusilla l'homme qu'elle avait très bien entendue.

"Enfin, je clôture son dossier, votre histoire me fait de la peine, et vous m'avez bien fait rire, un homme au foyer.. Qu'est-ce que je raconte moi... Vous avez surement un homme de ménage plutôt."

Il ricana à nouveau et voyant que Razièl ne suivait pas il ajouta.

"Je plaisante détendez vous, je la laisse sortir... Vous avez vraiment pas d'humour."

Il ferma la chemise cartonnée et se leva en cherchant ses clefs, Cassandre s'approcha des barreaux, elle s’apprêtait à faire une bêtises, du genre... Saisir la cravate de ce gros porc et de la tirer entre les barreaux pour qu'il s'éclate la gueule dedans ... Mais elle savait qu'elle ne devait pas plus attirer l'attention sur eux... Aussi elle se contenta de sourire en sortant et écrasa "Maladroitement" le pied du Policier de son talon aiguille pendant sa petite danse de la joie avant de sauter au cou de son "Maris".

"Porte-moi..."

La réclamation ressemblait à une demande, mais c'était en réalité un ordre, si Razièl ne la retenait pas, leur couverture seraient griller... Elle voulait aller se faire ce gros porc qui la fusillait du regard en se tenant le pied et grommelant dans sa barbe tout les noms de coquillages.

Elle sortit avec le brun sans aucun au revoir, elle tremblait de rage, mais se pelotonnait tranquillement contre le loup musclé... Elle en profitait peut-être un peu il fallait l'avouer.

Elle monta a côté de lui dans la voiture et attendit qu'il monte avant de le regarder.

"Tu auras ta récompense... Tu as bien travailler."

Elle lui fit un clin d’œil amuser et posa un main possessive sur sa cuisse pendant la conduite.

"J'ai pas entendu tout se que tu lui à dis... Tu lui à dis quoi au juste?..."

Elle attendit la réponse en l'écoutant que d'une oreille, de toute façon elle ne répondrait pas, elle voulait juste savoir pour l'enregistrer si cela venait à ressortir. La jeune femme possédait une mémoire eidétique, tout se qu'elle voyait ou entendait restait gravé à jamais dans sa mémoire.

Elle se contenta d'hocher la tête alors que bientôt Middle Street, cette rue ou les putes, les dealers, la mafia avaient poser baguages à Philadelphie s'imposa devant ses yeux. C'était dans cette rue ou son appartement était, son petit deux pièces, enfin... Deux pièces... La chambre était son bureau de travail, et même Razièl avait interdiction absolue d'y pénétrer. Aussi pour lui il n'y avait que le studio que les deux partageaient ensemble. Et cela plaisait à Cassandre... Elle ne pensait pas avoir à ce point l'habitude d'une petite routine... Et pourtant, elle avait tout de même la sienne avec le loup-garou qui faisait son créneau à côté.

"Par contre érafle ma voiture et c'est ta jolie p'tite gueule que j'érafle."

Oui, encore une fois la grâce et la splendeur de Cassandre dans toute circonstances. Elle haussa les épaules et partie la première jusqu'à l'appartement, appartement qui se situait... Juste au dessus d'un bar échangiste. Elle entra dans ce petit appartement et poussa un gros soupir de fatigue et de soulagement, rangeant ses talons dans le placard à chaussures, le laissant ouvert pour Razièl, avant qu'elle ne file sous la douche. Elle chipa dans la commode de la salle de bain, juste à coter de son armoire, un t-shirt de l'homme qui vivait avec elle pour le mettre sur son corps encore mouillé, alors que même ses tétons pointaient, se voyant très bien sans problème avec le tissus.

Elle prit un peigne et le tendit sans un mot à Razièl s'asseyant sans un mot devant lui, elle lui demandait ainsi de faire une tresse avec ses cheveux mouillées... D'où venaient ses magnifiques boucles à votre avis?...

Elle sourit en sentant son amant s'occuper d'elle, elle n'avait jamais connu ça, on s'occupait d'elle, sans réelle contrepartie... Elle se mordit la lèvre en pensant que c'était du brun qu'elle était mordue, et elle avait peur, peur de lui avouer, peur de le perdre et d'être abandonner alors qu'elle était si habituée a lui.

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Dim 16 Fév 2020 - 20:34


YOU TAKE ME
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FT. @"Cassandre"



Quand la lune dort le
soleil luit moi je
ne vois qu'elle


Mi-octobre 2017.


Cette rousse était vraiment intenable et si sournoise, même en publique elle avait cette manie de réussir à te mettre dans tout tes états, tu levas les yeux au ciel lors de sa remarque au sujet de l’endroit que tu pince même si tu ne peux t’empêcher d’étirer tes lèvres dans un sourire quelque peu pervers. Tu hausses les épaules d’un air faussement désolé, effectivement il y avait bien trop de monde pour faire autre chose même si tu devais avouer que le lieu ne te rendais pas indifférent soudainement lorsque ce n’était pas toi dans la cellule. Finalement elle pose une main sur ta joue en t’expliquant alors sa mésaventure après s’être défendue au sujet du chef, ta main se pose automatiquement sur la sienne tandis que tu lui réponds bassement à ton tour.

«- Vaux mieux que je ne te demande pas combien tu as dormis ses derniers jours. Je t’ai déjà dis Cassy, si tu prends pas soin de toi je pars quelques jours de l’appart je ne veux pas que tu te mette en danger par ma faute. Réponds-tu d’un air sévère mais pourtant inquiet, Tu vas me devoir plus qu’une tresse et qu’autre chose à mordre pour te faire pardonner.»

Évidemment tu ne partirais jamais mais, tu avais trouvé cette unique solution pour faire réagir la rousse têtue. Tu laisses tes iris glissés sur la silhouette de la rousse enfermée qui se servait encore de la faiblesse qu’elle provoquée chez toi pour te manipuler à sa guise, elle te rendait si faible que ça te rendais fou. Tu grognas de protestation lorsqu’elle t’appela encore par ce surnom ridicule, tu lui fis un discret doigt d’honneur avant d’aller t’occuper de l’agent de police à présent hilare de la situation. Un sourire jaune resté sur tes lèvres, le loup en toi hurlant de remettre à sa place ce connard qui osait encore juger la rousse lorsqu’elle lâcha un rot à la fin de son repas. Tu aimais cette partie naturelle d’elle et insouciante qu’elle avait. Elle n’était pas qu’une assassine sans pitié elle étais aussi une femme instruite, intelligente, attentionné et loyale. Rien ne présager à votre relation après votre première rencontre catastrophique. Mais, tu avais trouvé en elle un refuge palpable qui se renforcer grâce à cette langue que vous partagiez parfois, tu avais été surpris qu’elle veuille apprendre l’Hébreu mais ce fût avec plaisir que tu lui appris l’ajoutant à son palmarès donc. M’enfin actuellement il n’y avait que le policier qui attirait ton attention notant alors tout ce que tu pouvais dire, si la misogynie n’était pas assez pour lui voilà qu’il devenait intrusif. Tu te tendis un peu mais, lui répondit tout de même.

«- Entre nous.. Ce n’est pas ma première pré-occupation mais, disons qu’on peut dire que j’ai de la chance tout de même je n’ai pas à me plaindre, sauf si peut-être elle reste ici cette nuit. T’exclames-tu tandis que tu prends une petite pause tandis que le policier ricana de sa dernière blague tu répondis pour finir, Oui.. J’suis pas très drôle je l’avoue. Profitez de votre santé monsieur l’agent, tout peu basculer si vite. Bonne soirée à vous et merci.»

L’agacement avait fleurit en toi à chaque minute qui passer, toi qui n’arrêtait pas de lui dire de faire attention en craignant que ce jour arrive, finalement c’était quand même arriver. Cassandre sortit de sa celulle se jetant dans tes bras, tu la rattrapa
mais ne pu t’empêcher de lui souffler.

«- Faut toujours que tu abuses toi hein. »

Saluant le policier une dernière fois tu sortis du commissariat à peine la porte fermé tu la reposas sur le sol lui lançant un petit regard noir alors que tu souffla longuement tu enfonces tes mains dans tes poches récupérant les clés de la voiture dans laquelle tu t’installa. La phrase de Cassandre te fis légèrement tiquer, elle avait de ses manières des fois qui mettait en rogne, comme à cet instant, tu lui sauvais la mise et elle faisait la duchesse.

«- J’ai bien travailler ? Sérieusement ?! Tu m’prends pour qu.. Humph. Écoute tu devrais plutôt tout simplement me dire merci d’avoir encore sauver tes miches, j’bosse pas pour toi ni quoi que ce sois, j’sais pas si tu réalise ce que je viens de faire moi je trouve pas ça drôle. J’ai pas besoin d’être récompenser je ne suis pas un chien Cassandre. »

Tu la regarda longuement d’un air contrarier tandis que finalement tu reportait ton attention sur la conduite qui te menas jusqu’à chez la rousse qui posa une main sur ta cuisse en te questionnant sur ton échange avec le policier, tu lui répondis juste que tu ne t’en souvenais pas vraiment, c’était vite arrivé. En réalité tu mentais tu ne voulais pas dire à voix haute que tu l’avais fais passer pour ta femme pour la sortir de ce pétrin, c’était beaucoup trop étrange dans cette relation ou vous ne donnez pas de mot exacte dessus. La route se passa bien et rapidement, le quartier ou elle habitait n’était pas vraiment top mais, tu supposais qu’elle faisait de son mieux, elle t’offrait déjà un abris après tout. Mais, ça renforcer ta peur lorsqu’elle sortait dehors tard la nuit même si ses compétences te rassurer tout de même, tu t’inquiétais constamment pour elle. Alors que tu te garais, la rousse ne pouvait pas s’empêcher d’encore une fois de te faire une petite pique.

«- Ouais. Comme si ça changer quelque chose à ton tacos que tu as déjà bien cabossé.»

C’est ce que tu répondit automatiquement c’était un petit jeu entre vous, des petites piques lancés par-ci par-là alors que vous rentrez dans l’appartement elle se déchausse et c’est ce que tu fis aussi après avoir vider les poches de ta veste sur la petite commode. Tu fermes le placard à chaussure avant de te rendre dans la cuisine pendant qu’elle filer sous la douche, tu préparas rapidement assez de pâtes pour faire une dizaine de pancakes que tu terminas la cuisson lorsque l’eau arrêta de couler, elle était toujours si longue sous la douche que tu faisais quelque chose pour t’occuper à chaque fois. Généralement c’était du ménage mais, là tu sentais la faim pointé dans ton estomac et tu la connaissais assez bien pour savoir qu’elle t’en piquerait sûrement. Les pancakes encore fumant dans une assiette posée sur le plan de travail tu t’assis dans le canapé devant le film que tu avais mis en pause, la chasseuse arriva vers toi cinq minute après habillée mais, encore dégoulinante d’eau elle te tend un peigne silencieusement alors qu’elle prend place devant toi. Elle est si ravissante que tu peux sentir le loup en toi grogner d’un plaisir non dissimulé tant tes yeux brillent. Tu l’attrapes sans dire un mot à ton tour tandis que avant de t’occuper d’elle, tu finis par changer de film pour mettre l’un de ses préférés. Tout aussi sagement tu commences à lui peigner les cheveux délicatement jusqu’à les tresser puis attacher un élastique à la fin de cette tresse unique. Tu l’observes un instant avant de lui déposer un baiser sur la nuque avant de te lever puis de t’exclamer.

«- Je vais me laver, je reviens, il y a des pancake prêt si tu veux. Tu dois faire remonter ton taux de glycémie si tu as fais un malaise toute à l’heure et la nourriture du resto suffira peut-être pas.»

Tu lui fis un petit sourire puis tu te rends dans la chambre pour aller chercher tes affaires avant de te rendre dans la salle d’eau ou tu prends une douche bien méritée mais pourtant rapide. Peut-être trop hâtif de retrouver la rousse qui faisais naître chez toi tant de questions que tu te posais, tout était si naturel avec elle. Tu n’avais rien chercher, tu ne voulais rien mais, pourtant tout te ramener à elle. C’est après être vêtus d’un simple jogging gris que tu reviens dans le salon.


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Dim 16 Fév 2020 - 23:10


You take me a reason for live"A name? You give me a name?... Really?"Razièl & Cassandre



Mi-Octobre 2017:
Cassandre,voyant le sourire quelque peu pervers de son... "ami" privilégier, se dit qu'elle avait gagner, il ne poserait pas plus de.... Ah. Merde.... Tel une enfant, Cassandre, lâcha tout de même pour la forme un gros soufflement agacé. Elle avait vécue seule pendant bien plus longtemps qu'il ne l'aurait imaginer, elle savait.... Plus ou moins se gerer.
Mais quand elle vie à quel point Razièl semblait vraiment inquiet pour elle... Elle souffla du bout des lèvres.

"... J'chai pas... Environ... 10h cette semaine... Je profitais que tu dormais pour aller faire de la filature..."

La rouquine fronça les sourcils, avant de se mordre la lèvre.

"T'oserais pas partir. Je te manquerais trop."

Son ton était presser, c'était surtout la peur qu'il ne parte vraiment qui l'avait fait parler... Elle se disait qu'il avait raison, une fois de plus, qu'elle devrait faire un effort, mais c'était son caractère, pourrait-elle vraiment tenir?...
Ce n'était pas cher payer pour quelqu'un qui la supportait comme Raziel le faisait. Est-ce que à ce stade elle le méritait?
Il était de loin la personne la plus agréable et compréhensible qu'elle connaissait, et elle en connaissait du monde la petite chasseuse...
Pourtant personne ne la connaissait elle.

En réalité, elle avait eu tellement peur quand le loup s'était pointé devant elle en demandant à se que son beta soit épargné... Ils connaissaient son visage...
Mais... Elle avait accepter. Elle avait cru comprendre que chez les loups, la meute était une famille... Et elle ne pouvait pas dire non à quelqu'un qui la suppliait avec ces yeux de chien battu...
Elle avait accepter la compensation et était repartie...

Et la... Elle la chasseuse qui se retrouvait en cage, était presque menée par le bout du nez par le loup?... Impossible. Et pourtant...

Bien plus qu'une tresse et quelque chose à mordre?... Cassandre eu une moue interrogative, mais ne posa pas plus de question, ce n’était pas le moment.
Elle eu cependant un sourire amuser en voyant le doigt d'honneur et profitant de son attention et que personne ne les regarde, elle lui offrit un doigt d'honneur à sa manière, elle leva le poing, souffla dessus et... comme par magie son majeur se leva. Elle était toute fière notre petite Cassandre. Fière de sa connerie.

Après avoir bien manger et fait sa digestion, elle regardait le plafond, attendant de sortir... Elle n'entendait pas grand chose d'ici de toute façon... Et elle était un peu fatiguée.

Elle sourit dans les bras de Raziel.

"Je n'abuse jamais Razzy sache le... Je profite simplement de ta faiblesse. Comme n'importe quel chasseuse... Je me venge. Parce que tu es ma faiblesse."

Le souffle court, elle avait lâcher ça de manière innocente, évidement qu'il était sa faiblesse, une chasseuse ne devait s'allier ou être proche de personne, pourtant elle l'avait laisser entrer dans sa vie et dans son environnement, d'une façon tellement naturelle que c'était à se demander si tout n'était pas prévu à l'avance.

La rouquine haussa un sourcil en le regardant d'un air de dire: c'est quoi cette petite crise la?...

"Je n'ai jamais dis que tu était un chien, alors descend d'un ton. Ouais. Tu m'as sauvé les miches. Mais tu était bien obligé. A qui appartient ton havre de paix? Soit mes bras? Evidemment."

Elle grogna. Mais c'était juste une de ses nombreuses piques... Elle n'en pensait pas un mot, elle était souvent puéril. Et encore une fois... Elle le prouvait.
Mais. Elle retira la main de la cuisse de Raziel pour se pencher et lui embrasser la joue.

"Merci Raziel... Désole que tu subisses ma mauvaise humeur... Pourquoi tu me laisse te faire subir ça?..."

Son ton c'était radouci, alors qu'elle gardait sa tête sur l'épaule du brun, la voiture était une automatique, dont pas besoin de passer le vitesse, être ainsi sur lui n'était du coup pas très gênant.

Après sa petite pique, elle le regarda d'un air profondément outré à sa réponse.

"COMMENT CA MON BÉBÉ EST UN VIEUX TACOS? Ecoute le pas ma petite citrouille, il est juste jaloux parce que je t'aime plus que lui!"

Son ton était taquin et elle tapota le tableau de bord de la BMW orange... Oui... Pas très discret...
Elle rentra rapidement, elle en avait assez d'être dehors.

Oui... Elle passait du temps sur la douche. Tout se quelle voulait c'était détendre toute ses cellules avec l'eau brûlante.
Quand elle sortie elle sourit encore plus.

"Ça sent trop bon... D'accord.."

Elle était satisfaite, évidemment qu'elle avait vu les yeux de son amant briller, le t-shirt lui appartenait peut-être, mais Cassandre mesurait un mètre soixante-et-onze, aussi le bas du t-shirt lui arrivait ... un peu plus haut que mi-cuisses.
Elle profitait du fait que Raziel s'occupe avec autant de douceur de ses cheveux, elle ferma même un moment les yeux, en confiance.

Après cette tresse... Elle tressaillit quand il embrassa sa nuque... Si proche de cette cicatrice quelle haïssait.
L'histoire de cette cicatrice... A vrai dire elle venait de Grishna, le mentor de Cassandre, il avait voulu l'immuniser à la torture... Et ses méthode étaient loin d'être orthodoxe.
Cassandre en avait été traumatisée et c'était pour cela qu'elle ne montrait plus son dos à quiconque...

Enfin, c'était sans compter sur celui qui venait de lui rendre le peigne. Ce n'était pas qu'il l'avait forcé, mais c’était déjà arriver une ou deux fois qu'elle oublie de lui demander d'éteindre la lumière, tellement les gestes et les paroles de l'homme qui prenait soin d'elle l'avait encouragé à ne plus avoir honte de cette partie d'elle.

Elle hocha la tête quand il prévient qu'il allait se doucher.

"J'ai fais tourner le sèche-linge, ton jogging est dedans, tu le demandait ce matin..."

Elle prit deux pancakes avant de les avaler avec un irish coffee, qu'elle gardait déjà prêt dans le frigo, mais bien entendu sans alcool.
Elle regarda le film du coin de l’œil avant de déplier le clic-clac pour s'affaler sur le lit nonchalamment. Normal étant donner que la chambre était convertie en bureau.
Le salon faisait ainsi office de chambre également.
Elle regarda Raziel revenir en jogging et sourit, buvant sa grosse chope de café froid, avec de la crème fraîche, du miel et du sucre de canne.

"Ça va t'es content? Je t'ai laisser de l'eau chaude cette fois, j'ai été plus rapide que d'habitude."

Elle le fixait.

"... "

Elle eu un petit hoquet et un petit rot.

"Tes pancakes sont vraiment excellents... Mais j'suis pleine comme une pute au matin, j'peux plus rien avaler..."

Elle posa sa chope de boisson vide.

"Je t'ai fait un coffee aussi il est dans le frigo pour aller avec les pancakes."

Elle sourit puis le laissa aussi manger et boire, normal... Surtout qu'elle savait comment tout ça allait se finir.

La rousse regardait son film d'un air concentré en attendant, il faut dire qu'elle avait toujours été fasciné par ce genre de film à l'eau de rose. Ce n'est pas qu'elle les aimait, c'est qu'elle en avait une fascination forte, au point que même si elle les critiquait c'était ses films préférer.

"... A aucun moment ça se termine comme ça, personne laisse rentrer un mec dans l'avion pour aller chercher sa "dulcinée"... Et pis en plus ça se finit toujours en larmes. Pourquoi ils pleurent toujours à la fin de ces films?... Moi je pleure que quand je suis triste..."

Elle fit la moue en jouant avec sa tresse.

"... Tu m'aimerais si j'étais ce genre de nunuche ?"

La question était lancée. Et elle regarda Raziel avant de sourire., évidemment et comme d'habitude elle ne prenait pas ça au sérieux.

"Bien sur que non, je serais ennuyeuse à souhait pour vous monsieur le grand alpha... Aller. t'as finis de manger... viens la."

Elle lui ouvrit les bras, s'étant redresser à genoux sur le lit. Puis sourit en le réceptionnant contre elle, collant sa poitrine au torse musclé de son homme. Oui il l'était à ce moment, c'était son homme. Elle sourit et l'embrassa, passant une main dans les cheveux de Raziel tout en passant son autre main sur l'épaule de brun, descendant dans son dos pour ensuite remonter de manière à laisser de jolies petites griffures parallèle.
Comme à son habitude, Cassandre semblait vouloir mener la danse, mais, c'était sans compter que son partenaire était le meneur de cette danse.

"A-attend. la lumière."

Elle se recula un peu pour se pencher vers le bord du lit, afin peut-être d'attendre la lampe de chevet.

You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre Empty Re: You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre

Jeu 21 Mai 2020 - 19:11


YOU TAKE ME
A REASON FOR LIVE




Quand la lune dort le
soleil luit moi je
ne vois qu'elle


Mi-octobre 2017.


Tu ne retiens pas la mine outrancière qui se forme sur les traits de ton visage, sérieusement dix heures ? En une semaine ? C’était si peu, tu grognas légèrement dans ta barbe lorsqu’elle ajouta qu’elle profiter que tu dormes pour aller faire de la filature, tes iris était bien sévère en la regardant. Peut-être que tu devrais réellement la laisser ici, au moins elle passera une véritable nuit de sommeil. Enfin, autant qu’on peut en avoir une dans une cellule. Tu te penchas une nouvelle fois vers elle pour lui murmurer ce que tu venais de penser puis tu reniflas d’un faux air dédaigneux lorsqu’elle termina sur le manque qu’elle pourrait provoquer chez toi.

«- Mouais, je sais pas ce qu’il me manquerait le plus, ton sale caractère ou ton joli p’tit cul.»

Tu esquissas un sourire taquin comme d’habitude tu aimais charrier ton monde même si dans cette phrase il y avait une pointe de vérité détourner, évidemment qu’elle te manquerait trop, elle était un petit bout de femme comme jamais tu en avais rencontré. Et pour rien au monde tu troquerais ce qui fait d’elle ce qu’elle est, tu adorais la taquiner sur ce sujet parce qu’il était bien plus simple d’agir ainsi que d’admettre à voix haute que tu l’aimais. Et malgré que tu ne lui dises pas, tu le savais, tu l’avais réalisé quelques jours après avoir emménagé chez elle, lorsque une routine naturelle s’était installé et que tu avais trouvé ton havre de paix à l’intérieur de celle-ci. Mais, tu ne lui avais rien dit. Tu ne dis jamais rien de toute façon. Mais, pourquoi ? Parce que entre vous ça avait été clair dès le début, c’était juste pour le plaisir de la chair et à présent tu croyais que si tu lui avouais peut-être que tu perdrai alors tout ce que tu as avec elle. Alors, tu pouvais bien garder ce secret pour toi, juste encore un peu, tu lui diras peut-être un jour quand cette situation ne te suffira plus et que tu seras sûr de ne pas te prendre un râteau.

C’était drôle de voir que pour une fois la situation inverse que celle qu’elle connaissait d’habitude se dérouler, la chasseuse chassée et piéger. Tu connais un bon nombre de loups ou créatures qui l’aurait laisser dans cette cage et peut-être bien même que certains serait prêt à payer pour que tu la tues. Bien qu’ils ignoraient tous à quoi ressembler la chasseuse « Pyra », surnom donné par la réputation qu’elle laisser derrière elle, beaucoup de créature rêver alors de la voir à son tour sur un bûcher. Et cette vérité te poussa à faire de ton mieux pour la protéger et c’est bien pour ça que tu étais aussi dur avec sa santé ou les risques qu’elle prenait pour toi. Tu lui lanças un regard plus que blasé lorsqu’elle te fit le coup du doigt d’honneur magique, tu retournas ton attention sur l’officier dont la conversation finie rapidement et grâce à ton histoire rocambolesque il libéra la jeune femme à présent identifier dans les services de police comme : Cassandre Sélène Smilansky, épouse de Samaël Razièl Smilansky. Comme si les femmes n’existaient que par le biais de son mari, ça te fatiguer. Tu es ma faiblesse. Dit-elle, ça t’empoigne le coeur d’une main dure, il s’emballe presque à jaillir de ta poitrine mais, tu souris.

« - Il n’y avait qu’un sac à puces pour devenir la faiblesse d’une chasseuse. Répondus-tu l’air malin avant de passe l’un de tes doigts le long de son nez, Qui aurait cru que l’aconit serait si belle.»

Tu lui tires la langue doucement, tu ne sais pas trop si elle est sérieuse ou non vous passiez tellement de temps à plaisanter et à rester dans les non-dits que même maintenant tu rester dans la sphère de l’amusement pour ne pas être blessé. La métaphore avec l’aconit et Cassandre est vrai à tes yeux, cette femme te tuer lentement de son amour et les jours passer dans l’ignorance ne rendait que plus amère la substance qui coule dans tes veines. Mais, tu pouvais pas lui en vouloir après tout tu étais d’accord avec elle, au début. Que du fun. Maintenant, tu veux plus. Or, peut-être qu’elle, elle n’en veux pas et le risque est trop gros. Pour une fois tu ne rebondis même pas sur ce surnom que tu détestes : Razzy.

Tu la regardais d’un air un peu boudeur, parfois tu pouvais être une vraie tête de con, surtout en ce moment ou tes sentiments te submerger et que la peur faisait de ton être son royaume. Tu avais tant de mal à tomber amoureux de quelqu’un que lorsque ça se produisait il fallait qu’on fasse le premier pas pour que tu l’admettes toi aussi. La sensation de culpabilité t’envahit lorsqu’elle s’excuse et tu te mords légèrement la lèvre inférieure tandis que dans ta tête ça siffle comme une cocotte-minute. Parce que je t’aime. C’est ce que tu voudrais répondre mais, que tu ne lui dis pas.


« - T’excuses pas, c’est pas de ta faute, j’suis de mauvaise humeur j’ai pas encore mangé. Déclares-tu en haussant les épaules avant de finir, C’est ma façon de payer mon loyer puis il y a que toi qui arrive à retirer l’odeur de chien mouillé de mes vêtements, j’peux bien supporter ça.»


Puis elle posa sa tête sur ton épaule tandis que tu conduisais, tu ne pouvais pas t’empêcher de poser légèrement le côté de ta tête sur la sienne, gardant les yeux rivés sur la route vigilant. Après tout tu avais obtenu ton permis de conduire américain mais, à cause de quelques conneries avec Léviathan tu t’étais retrouvé à n’avoir plus de points et donc avoir été destitué de ton permis quelque temps. Le temps dont tu apprends les limitations de vitesse, disaient-ils. Arrivé à destination tu pars en courant en direction de l’appartement tandis que Cassandre outrée réconforte «sa petite citrouille» que tu as personnellement toujours trouvé immonde. Autant le modèle te plaisais énormément, autant à la couleur, tu n’avais jamais compris. Même si au fond tu étais persuadé qu’elle l’avait acheté uniquement parce qu’elle était dans ses moyens. Puis un moment fugace d’insouciance et de normalité s’imposa dans votre routine, naturellement comme à son habitude, vous agissiez comme un petit couple et cette pensée te hanta jusqu’à la salle de bain. Ou sous le jet d’eau chaude, tu imaginais ce qu’il pourrait se passer dans le futur, Cassandre pourrait être une magnifique louve mais, tu savais que la chose dont tenait le plus la rousse était son humanité. Jamais, tu ne lui demanderais pas si elle veut être transformée. Même une vie au côté d’elle humaine semblait bien plus prometteur que tout ce que tu pouvais imaginer. La chasseuse t’apporter tout ce que tu voulais bien vouloir, tu ne la forcer pas à s’occuper de toi et tu n’étais pas du genre à lui faire des réflexions, en vérité c’était plutôt donnant donnant, vous ne vous posiez pas de questions mais, vous agissez. Il était commun que tu lui fasses des petites surprises transformant l’appartement en cabane de drap le temps d’un vendredi soir pour un cinéma spéciale horreur comme elle pouvait les aimer. C’était trop beau pour être vrai.

Le jogging était forcément dans le sèche linge prêt et probablement passer sous un rouleau à poil, Cassy ne supporter pas ça et comme pour en rajouter une couche en plus de ça tu perdais beaucoup tes cheveux. Et tu ne parlais pas en période de mue, être un loup de naissance avait aussi ses inconvénients. C’est le coeur légèrement lourd que tu reviens vers elle alors qu’elle est occupée à finir son repas, des nouilles pour deux et des pancakes, ça semblait fou pour les humains mais, tu mangeais la plupart du temps comme elle et ainsi tu n’avais pas de sensation de honte comme à ton habitude. Tu te sentais toujours gêné d’avoir un tel appétit et tu restreignais alors souvent le loup en toi qui devenait frustré. Pas avec elle.

« - Mouais, plus chaud ça aurait été mieux mais je vais pas jouer le difficile au vu de l’eau glacée avec laquelle je me douche d’habitude. J’sais ce que tu fais, tu essayes de te rattraper..Ca marche plutôt bien tu peux continuer. T’exclames-tu amusé avant de lever le pouce face à son rot, Huit sur dix, celui-ci était presque parfait ! C’était bon alors, je suppose que j’ai bien fait de tenter de mettre un arôme de cerise.»

Tu te dirigeas vers le frigo en la remerciant pour récupérer le coffee qui t’attendait sagement, c’est ce à quoi tu pensais sous la douche, cette fusion entre vous si naturel et réconfortante. Tu mangeas ta part tranquillement jusqu’à ce que ta tasse fût à son tour vide, tu nettoies rapidement la vaisselle sienne emportant la sienne avec toi puis tu mets dans un tupperware le reste des pancake dont tu sais trouverons quelqu’un pour les manger. Probablement une certaine rousse s’étant levé en pleine nuit pour finir une affaire et manger un p’tit bout en même temps. Alors que tu termines de rendre la cuisine propre, elle s’adresse à toi avant de répondre à sa question pour finalement t’inviter à la rejoindre. Tu lui souris tendrement en s’avançant vers elle alors que tu prends la parole.

« - Tu serais carrément chiante avec la misogynie intégrée et le stéréotype de la princesse en détresse, relevée par un homme riche et canon. J’préfère largement la Cassandre qui fait des concours de rots avec moi, m’accompagne dans mes raids et qui est intenable. Au moins j’m’ennuie pas. Dis-tu avant de t’arrêter devant elle et de commencer à faire des poses de bodybulder, Et toi ? T’aimerais que j’sois comme eux, bien musclé, bien rasé, un air ténébreux et de la tune qui coule si bien que j’t’en ferais des bains ? C’est pas avec mon bidou que j’vais te faire fantasmer sur une belle love story »

Rétorques-tu en pinçant le petit bout de peau de ton ventre gonflé par la nourriture et légèrement de surpoids, faut dire que tu buvais beaucoup de bières et la bouffe grasse était un peu votre point faible. En vérité tu n’étais pas vraiment gros mais, les normes qu’imposer la société te faisais parfois complexer sur ton physique bien que tu sois bien dessiné. Tu ris un petit instant avant de la rejoindre finalement elle t’accueillit chaleureusement comme à son habitude, tu la serras contre elle, sa poitrine contre ton torse-nu fait l’effet d’un coup d’électricité alors qu’une douce sensation de chaleur monte en toi. Tu commenças à déposer des baises papillons dans sa nuque et le conteur de son menton, tes mains partant à la découverte de son corps, comme si c’était la première fois, la gauche masse l’un de ses seins tandis que la droite empoigne fermement l’une de ses fesses après avoir remonté le tee-shirt qu’elle porte. Tu le trouvais mille fois mieux sur elle, tu es à deux doigts de céder à ton instinct primaire et de la renverser sur le lit pour fondre sur elle. Mais, tu aimes faire durer la passion et tu ne veux pas tout cacher. Soudainement, elle se décolle de toi, la revoilà encore avec sa lumière. Tu pouvais comprendre mais, ça te faisais si mal au coeur de voir les dégâts que cet enculé de Russe à créer chez elle, Cassandre ne se rendait pas compte de la femme magnifique qu’elle était et que sa cicatrice n’était qu’un détail. Personne n’est parfait. Mais, tu comprenais effectivement, encore plus sachant que toi, comparé à elle tu n’avais aucune cicatrice. Ni tatouage. Ta peau était comme un livre vierge qui n’attendait qu’à être griffonné de ses ongles. Marque-moi de ton amour.

Tu l’attrapes par les hanches pour la stopper alors que tu parsèmes à présent la peau arrière de l’une de ses cuisses, tes mains la caressant de tout part, tu lui mordilles légèrement la peau de sa fesse avant de continuer ton exploration jusqu’à sa fameuse cicatrice dont elle subit le même traitement ta main droite passe dans ses cheveux que tu empoignes légèrement en te collant à elle. Tes yeux ne brillent plus à présent ils sont plein d’un désir incontrôlé.

« - Éteins-si tu le veux vraiment mais, j’adore te voir, tu es si belle הלב שלי  *. Je suis si fou de désir pour toi... Tu n’as pas à avoir honte, il n’y a rien de plus beau à mes yeux que toi.. »

Tu tentais de la réconforter comme tu le pouvais mais, tu ne peux pas la forcer à faire quoi que ce soit et tu te sentirais bien trop mal d’agir ainsi. Forcer quelqu’un était pour toi source de déplaisir, tu pouvais clairement débander si tu voyais que Cassandre n’était pas consentante totalement. Bien que ça ne soit jamais arrivé, tu privilégier son plaisir avant tout. Tu attendis sa réponse et sa décision sagement, glissant ta tête-là ou son désir pulser. C’est bien plus tard qu’on vous retrouve nus et enlacées dans les couvertures défaits du lit d’infortune ou règnes votre bonheur. Tu es affalé sur le dos un drap couvre juste sur ton entre-jambe, ta tête repose sur le ventre de la jeune chasseuse et vos jambes sont emmêlés. Entre tes mains tu tiens une guitare appartenant à ton frère de coeur Léviathan qu’il a oublié à sa dernière visite. De tes doigts tu propages une douce mélodie calme et religieux. Tu chantonnes une berceuse en hébreu que ta mère te chanter souvent la nuit pour t’endormir, elle l’aimait bien parce qu’elle parlait d’un ange et ta mère n’arrêtait pas de dire que tu étais le sien. Et Cassandre adoré que tu lui parles de ton passé bien si les occasiosn étaient bien trop peu nombreuse pour elle, tu étais un véritable tombeau ou en toi reposer tes angoisses les plus inavouable à tes yeux. Tu profiter de ce moment en apesanteur, l’heure sonner de plus en plus tard mais tu t’en ficher. Tu n’arrivais pas à te sortir de la tête que tu avais reconnu Cassandre comme ta femme. Si tes parents l’apprendraient...

Puis soudainement une sonnerie se fait entendre celle de ton téléphone oublié sur le lavabo de la salle de bain, aussitôt tu t’arrêtes dans ta chansonnette pour aller décrocher dans ton plus simple appareil, tu fronces les sourcils alors que tu vois le nom de Léviathan s’afficher. Au téléphone il t’annonce ce que tu craignais le plus : La fameuse lettre de ta soeur que tu as reçus il y a quelques jours et bel et bien écrite de sa main. Tu avais cru à une blague, demandant à ton plus fidèle allié de la faire vérifier et c’est avec horreur que tu comprends que tu vas devoir te rendre dans cette ville étrange qu’elle a énoncée dans sa lettre. Centralia. Tu soupires en raccrochant alors que tu retournes dans le salon ou Cassandre s’y trouve, tu la regardes un instant te demandant si tu dois lui en parler. Non. Tu as déjà bien trop de problèmes, de toutes façons ce n’est que l’histoire de quelques heures pour sauver ta sœur et la ramener.


« - Tu veux aller dormir ou ça te dis une petite partie de mario kart ? Celui qui perds s’occupe des courses demain ?»


Tu veux juste garder ce cocon que tu possèdes avec elle-même si à peine aurait-elle les yeux fermer que tu te mettrais en route vers la ville maudite. Même si tu savais qu’il y avait un gros risque pour qu’elle gagne (encore) mais tu t’en fiche. Tu veux juste garder ce cocon que tu possèdes avec elle-même si à peine aurait-elle les yeux fermer que tu te mettrais en route vers la ville maudite. Sauf que cette fois-ci, en revenant, tu étais bien décidé à lui déclarer tes sentiments.

1* Mon coeur en hébreu.

La berceuse citée


Dans l'Univers, y a des milliards de vies
Sur Terre, sept milliards d'êtres humains
Peut-être trois milliards de filles
mais c'est toi qu'j'veux

(c) ANAPHORE
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You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre Empty Re: You take me a Reason for live ☾ Razièl & Cassandre

Ven 22 Mai 2020 - 0:12
You take me a reason for live
Tu vois bien à sa mine que ton loup désapprouve totalement se que tu as fait. Tu n'aurais même pas du lui dire, mais c'était plus fort que toi, tu ne pouvais mentir à celui qui restais à tes cotes depuis trop longtemps pour que  ça n'en paraisse pas bizarre aux yeux des autres. Et son regard se durcis encore plus quand tu lui avoue le fait que tu fais énormément de filature en ce moment.
Tu avais besoin de faire cette filature, c'était comme si tu avais trouver une chose importante, à dire vrai, tu pourchassais en ce moment une personne que... Tu croyais être une connaissance de Grishna. C'était donc purement informatif, même si ça ne t’empêchais pas de prendre un ou deux contrats en passant.

Sa plaisanterie te fait ricaner. Oh tu imagines bien se qui lui manquerais le plus et tu lui cingle immédiatement.

"Les deux bien entendu, l'un ne va pas sans l'autre."

Puis tu te mis à fixer le loup qui était en face de toi... Bon sang... Si alors qu'on t'avais donner cette mission tu avais su que des personnes comme lui existait... Tu ne serais peut-être pas devenue Tueuse à gage... Le loup, malgré tout se que tu avais pu apprendre sur cette race était d'une douceur presque écœurante avec toi quand il le voulait... Et même si tu râlait... Bordel que ça te plaisait. Et tes mains moites prouvaient que tu aimait trop ça pour que ça ne soit pas seulement anodin, Cassandre, ton cœur de chasseuse avait été griffé à sang par le brun qui conduisait... Et à qui tu devais avouer certaine chose.

Qui sais, tu n'aurais peut-être plus l'occasion de lui avouer plus tard?...

Mais tu allait attendre que vous soyez au calme, tu ne pouvais pas balancer ça, comme si tu lui disait que le feu était rouge... Non, et puis il te fallait aussi de la préparation... Tu ne te sentais pas encore assez détendue pour lui annoncer alors que tu rêvais d'une douche, de te poser et d'être tranquille pour ta soirée... Ce soir tu te promettais que tu dormirais à poing fermée, ce que tu n'avais pas fait depuis une bonne semaine.
Tu ne l'avouerais pas à ton amant mais tu avait même saigner du nez à cause de la fatigue...

Après tout tu devais bien l'avouer en soit, le brun avais raison, un jour ça se retournerais contre toi... Ce soir déjà tu avais eu chaud, heureusement que ce policier était la. Enfin, tout était relatif, mais tu aurais pus mourir. Tu n'avais jamais été aussi proche de la mort. Surtout que beaucoup la voulait ta mort. Avec ta profession tu n'avais clairement pas que des amis, ça c'était sur. Ta tête avait été mise à prix, enfin... Pour ceux qui la connaissait.

Sachant que 99% de ceux qui l'avaient vu étaient morts de ta main.

Tu aimais faire savoir à tes proies ton visage, c'était une marque de respect à ton sens, de respect et aussi pour les plus misogyne, tu montrais qu'une femme pouvais bien surpasser n'importe quel homme. Alors si en plus tu avais connus ton âge à cet instant Cassandre... Tu te dirais que tu avais grandit bien trop vite...

Dire que tu n'étais même pas majeure.

Ton entrainement auprès de ton mentor, ta vie dans les bidonvilles, ta relation avec la mort... Tout t'avais fait murir au poins que tu étais certaine d'avoir une vingtaine d'année?... Ce n'est pas comme si tu connaissais ton âge, et Grishna n'avait pas trouver utile de te donner une date de naissance... Étant donner que tu n'apparaissait nulle part dans les dossiers des naissances ou même ailleurs. Tu n’existais pas pour le monde...

Mais tu étais le monde de quelqu'un d'autre et ton monde était un sac à puces qui te conduisait chez toi. Enfin, non. Chez vous.

Raziel semble réagir à cette phrase que tu lui offre. Mais tu ne plaisante pas, il est ta faiblesse. Cependant, pour l'instant ut préfère en rire.

"Allons... Tu as un collier Anti-puce ça devrait aller. La prochaine chose à régler c'est les poils que tu perds... On devrait peut-être aller chez le vétérinaire. L'aconit est en soit une très joli fleur... Et se qui la rend si belle c'est le fait qu'elle ai une part de mortalité. Elle n'est pas innocente."

Tu souris tout aussi taquine. Tu aimes cette proximité, cette complicité que vous aviez. Tu espérais tellement ne jamais la perdre. Raziel était comme ta dernière part d'humanité qui résidait encore en toi. Sans lui tu n'étais qu'une tueuse sans pitié...

Comment avait-il réussi à faire fondre les murs de glace que ton esprit avait poser en bulle autours de ta personne?... C'était sans doute sa chaleur corporelle. Ouais, question bête, raisonnement logique.
Tu aimes plutôt bien être comparer à son aconit... Mais tu avais peur de causer sa perte... Si on savait que tu étais proche d'une créatures obscures est-ce que les autres se rebelleraient contre lui?...

Et si tu le mettait en danger?..

Pouah. Ridicule. Raziel était bien assez grand pour se protéger tout seul. Il te tenait largement tête et tu savais à quel point son loup n'était agréable sincèrement qu'avec toi... Si ce n'étais que ça tu savais que l'homme à tes côtés pourrait reporter n'importe quelle bataille. Et ça ne te rendait que plus abrutie par les sentiments qui agissait par vague dans cette petite zone du cerveau qui contrôlait tout ça...

Tant que ça te donnerais mal à la tête.

Son air boudeur te fait louper un battement de cœur et tu te niche contre son épaule, lui laissant tout de même l'espace de conduire librement. Tu sens sa tête reposer sur la tienne et tu fermes les yeux, t'abandonnant un peu au plaisir de cette scène.

Tu te sens vraiment bien.

La réponse qu'il te donne face à la question te fait te redresser et clairement froncer le nez. Non mais et puis quoi encore?...

"Je ne t'ai jamais demander de faire ça pour payer ton loyer Raziel, et encore mieux je ne t'ai jamais demander de payer un loyer. Tant que tu ranges tes fringues à leur place je considère que tu l'as payer ton "loyer". "

Tu fais même les gros guillemets avec tes doigts, lui montrant bien que tu n'apprécie pas beaucoup sa remarque.

"Et si tu as faim tu aurais du me le dire je t'aurais garder des nouilles."

C'est à ton tour de lui offrir une tête boudeuse, remplacer bien vite par un haussement d'épaules.

"Bah. Tu savais juste pas faire une lessive correctement."

Outch. Encore une fois la rousse tacle. Tu étais vraiment d'humeur à lui en mettre plein la tête, enfin quand même gentillement, tu serais plus dure que ça avec d'autres. Et tu regardes la route, qui défile, ça t'apaise, tu commence à te dire que tu aurais vraiment du dormir un peu plus, la fatigue finira par prendre le dessus...

Enfin tu vas pouvoir te poser. Enfin, après avoir réconforter ta voiture. Elle t'as bien servie depuis que tu l'as et tu n'es pas peu fière qu'elle te ressemble à ce point, ayant le même orange cuivré que tes cheveux.
Tu finis par toi aussi monter et votre petite routine commence avec plaisir. Tu prend ta douche en premier et tu le laisse y aller alors que toi tu grignote tranquillement.

Tu ne connais rien du débat intérieur que TON loup semble avoir au sujet du faite que tu ferait une magnifique louve. Parce que tu avais été claire avec lui quand votre relation avait enfin passer le stade des jambes en l'air pour vous laisser le temps de discuter... Tu lui avait avouer que la seule chose dont tu étais sûre sur toi, c’était d'être humaine. Aussi si un jour tu venait à perdre ça, tu ne le supporterais pas. Tu ne pourrais pas vivre en ne sachant même plus qui tu étais, en n'étant même plus sûre que tu ai un jour appris quelque chose sur toi-même.

Alors que ta bouillotte revient tu lui offre un sourire et un bon gros rot. On t'avais toujours appris à quel point roter c'était mal devant les gens, mais devant Raziel, c'était normal. Au contraire, il se contentait de t'en rendre un. Avant qu'il en se plaigne pour l'eau. Tu lui offre une petite tête de biche innocente.

"Désolée... Je lavais mes cheveux... Ils ont besoin d'un grand entretient tu sais..."

Tu lui tire ensuite la langue en riant.

"L’arôme de cerise était parfait, mais je crois que je mérite au moins un huit et demi!"

Alors que tu as finis et tu râles encore un peu pendant le programme, tu sais que Raziel s'affaire à faire la petite vaisselle... Tu as déjà essayer de l'aider, mais les regards qu'il te lançaient te faisait te rassoir aussi sec. Aussi tu ne le contrariait pas, et alors que tu lui pose cette fameuse question, tu la regrette même un peu à peine après l’avoir finis.

Mais sa réponse te réconforte.  

Le loup affirme qu'il t'aime comme tu es et que ça ne t’irait pas. Il préfère donc ton toi au naturel... Sans artifice.. Et... C'est une des choses qui qu'on déjà séduite chez lui. Jamais il ne te demandait de changer, jamais il ne faisait de remarque sur tes habitudes... Il aimait ça. Et tu lui offrit un sourire en remerciement, sans réponse.

Pourquoi faire? Un sourire valait milles mots!

Puis il commence à faire son numéro de bodybuildeur et ça te fait franchement rire.
Avant que tu ne choppe son ventre en le malaxant.

"Moi je te préfère comme ça... Tu es parfait comme tu es. Pourquoi se référer à se que les autres veulent?... Et puis je préfère que tu ai ce "petit" bidon. Au moins je sais que tu manges à ta faim, et que je pourrais l'utiliser comme oreiller personnel..."

Tu le regarde dans les yeux avec un grand sourire. Et c'est alors que votre attirance vous appelle à nouveau comme si c'était insupportable... Et ça l'était.  Vous étiez des aimants, fait toujours pour se retrouver. La preuve, puisse que c'est toujours se qui c'était passer avant qu'il n’habite ici, c'était comme si vous vous suiviez mutuellement.

Le destin jouait des tours qui vous étaient favorables.

Ta poitrine est a peine contre son torse que ses lèvres viennent déjà parcourir ta peau avec tellement de tendresse et d'impatience que tu ne peux empêcher un soupire d'aise sortir d'entre tes lèvres. Et un gémissement les franchis lorsque ces mains empoignent à la fois ton sein et fesse. Tu grogne un peu alors que tu viens à ton tours embrasser sa peau tout en caressant le corps chaud de l'alpha qui te surplombe, tu lui offres de magnifique griffes dans le dos en souriant légérement... Mais alors que tout allait bien, un flash te revannt en tête tu veux éteindre la lumière. Ta cicatrice, encore et toujours, tu ne peux malheureusement pas te faire à l'idée que cette horreur fait partie de toi.

La partie la plus honteuse de ton anatomie.

Raziel te maintient. Tenant tes hanches, tu es maintenant sur le ventre alors que tu avait commencer à ramper vers la lumière, tu sens ces baisers sur tes cuisses. Et tu soupires, de plaisir, de soulagement, d'envie. Il remonte et mordille la peau de tes fesses, qui te fait te mordre la lèvre avec un leger roulement d'yeux de plaisir, puis sa bouche remonte encore... Et si au debut tu t'étais crisper... Voila que maintenant tu abandonnes l'idée d'éteindre la lumière, il remonte encore et saisit tes cheveux, te tirant un peu plus vers lui.

Il profite de ta tresse.

Ce qu'il te souffles, te fais frissonner de partout.
Putain tu aimes cet homme. Et alors que tu allais le dire... Sa tête descend bie ntrop bat et bientot tu n'es de toute façon plus capable de reflechir correctement.

Mais assez réflechie pour qualifier cette scène comme la meilleure.

Votre moment privilégier se termine avec autant de tendresse que de douceur.
Le loup joue de la guitare, la tête sur ton ventre et toi, tu caresse doucement ses cheveux, un leger sourire aux lèvres. La berceuse qu'il chante commence à t'envoyer dans les bras de Morphée... Et les bras de Morphée te son rapidement retirer alors que son téléphone sonne, tu râles pour la forme en sachant que Levianthan pouvait t'entendre qu'on appelais pas les gens à cette heure.

Tu ne te posa même pas la question de se qu'il voulait.

L'homme qui était l'ami le plus proche de ton amant venait pas ma lde vois ici et tu t'entendais assez bien avec pour lui éclater tout autant ta mauvaise humeur au visage.
Tu n'écoutes pas la conversation, tu voulais laisser à ton amant son jardin secret s'il le désirait. S'il voulait te le dire il te le dirais sans que tu ai à demander. Et tu es quand même soulagée que Raziel revienne aussi vite , alors que tu te met à lui bailler au nez.

Tu entends sa proposition, mais avec la fatigue, tu met un moment à la comprendre.
Tu secoue la tête et tu le tire dans le lit avec toi, soupirant d'aise de sentir la chaleur de son corps contre le tien, au moins vous êtes à l'aise. Vous êtes peut-être en tenue d'adam, mais au moins vous ne creuvez pas de chaud.

"Je veux dormir... Je ferais une vraie nuit de sommeil cette fois-ci, j'irais faite les courses demain... T'inquiète..."

Tu te niches contre lui, la tête sur son torse. Le bras autours de sa taille... Et alors qeu ton esprit commence à partir vers le marchand de sable tu ne peux t'empecher de laisser une simple phrase courte sortir d'entre tes lèvres. Echappée de la franchise de la fatigue que tu avasi sans doute trop au moment de passer en sommeil.

"Je t'aime Raziel."

Juste quatre mots. Et tu t'endormis comme un bébé.
Quatre mots que tu savais allait boulverser votre vie... Mais tu étais loin de te douter à quel point. Tu ne savais pas se qui allait se passer apr la suite Cassandre. Mais crois-moi ma jolie. Si encore maintenant tu es en vie, c'est sans doute à cause de cette phrase, murmurée à l'orée de ton sommeil que le loup à entendu.

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