Remember The Time* Bâlaam & Nefertiti

REMEMBER THE TIME

Néfertiti & Bâlaam

Qu’est ce que j’irai faire au paradis, quand tu t’endors près de moi

Tu tournes dans ta boutique d’antiquité grognon, tu t’es encore mis dans de beaux draps avec l’autre cornu des enfers, Le roi, ton langage voyons mon vieux. C’est bien ça le problème, ta langue trop pendue qui n’hésiter pas à faire savoir au demi ailée déchu que tu n’étais ni en accord avec lui ni en cohésion. C’est simple, il t’insupporte. A vrai dire beaucoup de personnes t’agace tu as une profonde aversion pour les interactions avec les autres. Ils étaient tous si ennuyant et ceux qui croyait que les démons étaient le contraire... se trompe. Dans un monde tel que l’enfer et aux vues des millénaires que tu as passés tu pouvais affirmé qu’ils étaient tous aussi ennuyant. Bien moins que les humains mais tout de même. Soit. Tu devais faire profil bas sur terre en entendant que l’enfant gâté ne se calme, ordre de sa sainte reine. L’une des rares personnes qui ne te semblait pas fade. Dans de bons termes avec elle tu avais décider de prendre en compte sa suggestion et d’attendre. Lilith n’était pas dupe, tu pouvais soulever une rébellion aux seins des cercles infernales avec l’influence que tu possèdes. En plus d’être un être plutôt puissant (et narcissique) tu étais également un antiquaire hors pair, personne ne trouvais mieux que toi et aussi bien les vivants que les infernaux t’achetais tes trouvailles et secret comme tu es, jamais tu n’avoués ta manière de procéder. Occuper à nettoyer un vase antique chinois tu entendis la porte de ton établissement s’ouvrir, une femme voilée y rentra suivis d’une autre femme aux cheveux court brun. Tu les saluas alors que tu jeta un œil à la porte qui se referma derrière elle. Oh, Égypte. Ta boutique avais cette particularité de n’être jamais au même endroit. Intemporel.

Caché derrière les papyrus tu observais plus au moins discrètement la sorcière brune qui se baignait, tu l’observais d’un œil perplexe et à la fois... stupéfait, tu n’avais jamais vu une créature aussi divine que celle ci. Sans vouloir blessé ta reine. Tu commençais à croire que tu devenais vraiment gâteux, à croire à des paroles de bonnes femmes. L’une de ses femmes rentré toute a l’heure était apparemment une voyante et elle t’avais prédis une drôle de chose. Tes enfants domineront les cercles infernaux, les héritiers des enfers se hisseront en ton nom. Voici la première partie, la seconde dit que ça seras avec une sorcière égyptienne maudite, Nefertiti Khelifa. Tu avais entendu aussi les rumeurs qui courrait sur la brune dont les prétendants se battait, tu avais vendus un tas de filtre d’amour qui viser l’étudiante, tu avais même vendu à son père un sort de protection pour entourer leur propriété tant le succès de sa fille déclenché des querelles. Tu te retiens un juron lorsque tu entends sa voix se lever, elle t’a remarqué. Tu es vraiment le pire en infiltration mais en même temps c’est la première fois que tu te caches. Tu es plutôt du genre direct et sanguin.

«  - Mes excuses, je me suis égaré et je vous ai entendu. Les rumeurs sont donc vrais, « Nefertiti ». »

En arabe, tu lui réponds, tu savais parlais une infinité de langues et pourtant celle ci est ta préférée. Tu appuis sur son nom qu’elle porte à merveille. Tu t’avances vers elle en joignant les mains derrière le dos d’un air innocent. Tu t’approches d’elle jusqu’à être devant elle au bord de l’eau, tes lucarnes restent plongées dans les siennes, comme si tu avais sauter d’un plongeoir. Tu te noyais avec plaisir.

« - je me demande... qu’est ce qu’une femme comme vous peux manquer ? Mais surtout pourquoi n’ose-t- elle pas dire à son père qu’elle ne veut pas de ce mariage ? Enfin.. vous pourriez choisir au lieu de subir. »

Curieux tu l’observes un long moment ses mots qui roulent sur sa langue sont divins, tu te surprends à esquisser un sourire amusé sur un visage bien trop fermé ou tirer. Tu le révoques te raclant un peu la gorge au passage, tu sors une montre à gousset de ton veston. Regardant l’heure d’un air distrait tu reprends une fois la parole cette fois ci une esquisse maline naître.

« - je pourrais vous aider. Faire de vous une femme libre. »

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Néfertiti & Bâlaam

Qu’est ce que j’irai faire au paradis, quand tu t’endors près de moi

Un sourire amusé prends place sur tes fines lèvres, tu hausses un peu les épaules croisant tes bras dans ton d’osés alors que tu continues de t’ approcher. Tu le sais, tu es un piètre menteur mais en même temps c’est pas vraiment ta came le mensonge. Tu la regarde d’un air malicieux, jouant avec une fleur de lotus dans l’eau. C’est appréciable de faire face à quelqu’un qui ne te crains pas à cause de ton aura démoniaque, mais c’est vrai que faut dire comparé à d’autres cafards qui foulent ce monde, la tienne est celle d’un prince infernale pas d’un simple cornu. Une intuition te disais que cette femme était particulière, ça te plais. Elle ferait une amende choix à se délecter, enfin si tu la convaincs de faire un pacte avec toi. Tu aimais les égyptiennes pour leurs tempéraments mais leurs convictions religieuses elles... t’exaperes.

« - Aussi doué pur le mensonge que toi de toute évidences. « Jeune homme » j’ignore si céleste du mensonge ou bien de la politesse. Les rumeurs disent toujours un tas de choses infondés, mais là je dois avouer que la plus belle femme de toute l’Égypte n’est pas une rumeur. Je sais aussi que vous le savez déjà mais que vous vous plaisez à l’entendre. À jouer les fausses candides. Vous pouvez m’appeler comme vs le souhaitez ça n’à pas d’importance à mes yeux, Balâam suffit néanmoins. »

Mutine et taquine, cette sorcière ne manque pas de culot et ça t’amuse. Tu ne comptais pas l’aborder ou échanger ne serait ce qu’une parole avec elle mais puisque tu es aussi doué pour le mensonge que pour la discrétion... autant faire avec. Ça égayera tes pauvres années tourmentes de lassitude et si tu pouvais oublié l’autre ailé déchu alors pourquoi pas. Non, t’es lucarnes ne parcours pas sa chaire, tu vaux bien plus que ça, nombreux sont tes frères à être affaibli par le plaisir de la chaire mais toi... tu trouves ça ennuyant et bien trop simple a avoir lorsqu’on est comme toi. Un peu d’insistance et les personnes vous tombes dans les bras. Où est le plaisir ? La brune recule comme une biche apeurée tu peux pas lui en vouloir, après tout tu débarques dans un moment d’intimité la plus palpante. Tu la fixes un instant avant de te mettre assis dos à elle gardant une fleur de lotus sur tes genoux. Celle là elle ira droit dans ta boutique.

« - Ce n’est pas un jugement, j’en ai que faire de votre vie. Je vous propose juste une porte de sortie. Un moyen, d’être la sorcière que vous pouvez être.. une question de famille... Je ne juges pas mais une famille ce n’est pas censé vouloir le bien de son enfant ? Je crains que le chemin que vous souhaitez emprunte ne vous mènera qu’à votre perte. »

Tu avais de multiple dons, la voyance ou qu’importe le nom que lui donne les humains était l’une de tes nombreuses cartes de ton jeu. En un regard tu pouvais sentir ton instinct décrire la vie à venir de la personne face à toi. Pourquoi serait tu ainsi avec l’autre enfant gâté si tu ne savais pas qu’il allait être détrôné ? Pourquoi est tu loyal à ta reine ? Tu savais beaucoup de choses. Tu trouvais juste ça dommage que la brune face à toi se rendait d’elle même à un destin funeste.

« - Je pourrais aussi, si vous le souhaitez. Vous épousez, faire de vous une femme pas seulement qu’un trophée mais une femme importante. Libre et puissante. Je pourrais vous fournir un tas d’ouvrages permettant de développer vos dons. Vous serez la sorcière la plus puissante d’Egypte et peut être du monde. Cependant, j’imagine que vous ne vous mariez pas à un inconnu. Enfin, pas l’un que votre père, misogyne, n’a pas choisi. Je pense que vous méritez bien mieux que de faire la popote et d’élever des mouflets qui vous cracheront dessus une fois le moment venu. »

Finis-tu d’un ton amer en te retournant largement vers elle pour plonge tes azurs dans les siennes, franchement tu ne sais pas pourquoi tu ferais ça. Faire des pactes c’est dans tes cordes mais avec de tels proportions... Ton sourcil se leva un peu perplexe d’un air indescriptible, tes pensées allant de tout part. Tu avais une envie gerbante de la protégée tout comme de l’embrasser... c’est détournant. Était ce ça ce qu’appelle les humains un coup de foudre ? Ah non. Tu ne peux t’en résoudre. Un homme comme toi avec tant d’ennemi ne lui apporterai rien de bon. Son destin serait moins funeste cette mais le danger... elle serait un point faible considérable et tu ne peux être faible. Tu te relèves commençant à te déshabiller, la colonne vertébrale faite d’écailles dévoiler et les écailles décorant tes épaules et tes cuisses avec, tu gardes cependant ton sous vêtement avant de plonger dans l’eau. Tu ne t’approche pas d’elle, nageant en face d’elle un long moment sous l’eau avant de revenir à la surface même pas un peu essoufflé. Tes mains se fondent sur tes cheveux blancs que tu replaces en arrière.

« - J’admet que je serais un mauvais choix, qui va à l’encontre de vos principes et vos croyance. Hors, vaux mieux un démon comme moi qu’un montre caché sous une chaire humaine ? Questionnes-tu avant de replongé la moitié de ton visage dans l’eau ne laissant que tes yeux devenant rouge vif à l’extérieur comme un alligator, Je te propose une existence d’une déesse en échange d’une fidélité absolu et que tu restes caché du monde. J’ai de nombreux ennemis qui pourrait te mette un danger. Cependant, si tu deviens aussi puissante que je le prévois, tu n’auras pas besoin de les craindre. Le pouvoirs des dieux résonnent en toi, je le sens de l’autre monde. Je ne te demande rien d’autre. Pas de m’aimé ni d’avoir quoi que ce soit d’autre avec moi. Juste te compagnie contre ta liberté. »

Avait-tu proposais dans la langue très ancienne de ce pays, une manière de parler qu’on dit que seuls les êtres extra développer peuvent comprendre. Comme elle. Un grand potentiel habite en elle mais comme on dit un grand pouvoir engendre de grande responsabilités. Et mon petit démon tu étais bien loin de savoir que cette femme allait engendrer ta progéniture.

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Néfertiti & Bâlaam

Qu’est ce que j’irai faire au paradis, quand tu t’endors près de moi

Évidemment que tu es respectueux, tu aimais le plaisir de la chaire c’est un fait et c’est encré dans ta nature profonde c’est tel que tu as étais forgé. Ce n’était cependant pas ta priorité, tu pouvais grandement t’en passer c’était tellement surfait.  Mais différemment de tes frères et sœurs cornu tu ne l’étais pas vraiment enfin... Tout dépends de comment on te voyait. Personne mise à part Lilith et Lucifer savait qu’en réalité l’Égypte était ton pays de « naissance ». Si Lucifer et Lilith ne voulait pas que tu te retournes contre eux c’était pour une raison précise... Tu n’avais pas menti en te présentant sous le nom de Balaam, c’était ton nom dans la croyance Biblique mais en réalité ici, on t’appelait surtout Apophis ou Aapef. Dieu du chaos, des forces obscures. Techniquement tu étais même plus fort que l’autre déchu mais bon.. durant ta jeunesse oui tu avais étais un fidèle ennemis des autres dieux mais à présent, tu étais plus calme. Tu avais décidés de vivre ta propre vie bien loin des conflits célestes.

« - c’est une façon détourné de dire que oui vous avez mentis. Mais, vous aimez en jouer aussi. Vous aimez la salière d’une manière même si elle vous exaspère. J’aimerai beaucoup connaître bien plus que votre physique. Vous m’avez l’air d’être une sorcière bien plus intéressante et pas seulement la plus belle femme du Caire. »

Sa façon de prononcer ton nom te fais un peu frémir d’excitation, cette égyptienne te plais vraiment. Tu le sais sinon tu serais directement venu au but et tu n’étais pas du genre à te murer dans le déni. Non. Tu voulais cette femme. Et tu allais l’avoir.

« - pourquoi vous ne pouvez pas me montrer vos pouvoirs ? Vous avez peur ? Qu’est ce que ça peut me faire ? Je trouve ça dommage c’est tout, vous avez du potentiel. Vous êtes une femme magnifique, puissante, avec un titre. Vous pourriez avoir bien plus que de vous contenter de ce qu’on vous donnes. Soit. Après c’est votre choix. Alors quoi ? Vous pensez que je vais faire la charité à toute les victimes ? On n’aides pas quelqu’un qui ne veux pas l’être. Défaitiste ? Je vous en prie... je sais que vous savez comme moi que ce mariage va vraiment vous conduire à votre perte. Vous espérer seulement qu’il va changer. Les gens ne changent jamais Madame Khelifa. »

Lentement tu commences à bouillir, ils l’avaient tellement conditionner que même si elle savait que la douleur l’attendait elle irait sagement pour honorer sa famille... tu pourrais l’enlever et la forcer à rester avec toi. Or, comme tu l’avais dis tu préférais laisser les autres faire leur propre choix, tu aurais aimé qu’elle accepte et ça te briser un peu le coe.. les couilles qu’elle refuse mais soit.

« - parce que vous connaissez Anderson mieux que moi peut être ? Oh je ne suis pas mieux, je suis sûrement pire. Bien pire. Cependant, moi je ne fais pas semblant. Je ne vous mentirez jamais et je serais toujours d’une transparence tout en vous considérant comme mon égal. Mais épousez le donc, vous faites ce que vous voulez. Juste si un jour vous avez besoin de moi... Claquez des doigts trois fois. Vous avez étudiez quel domaine ? Je l’admet il est moins misogyne que d’autres mais tout de même. Je ne l’applaudirai pas pour autant. Alors ayez des enfants avec un être digne de vous qui entachera pas vos gènes que ce gueu. »

Tu t’étais emporté un peu vers la fin mais ce sentiment que t’apposais cette prédiction ne te plaisais pas du tout. Cette femme était à part, impressionnante et tu étais certains qu’elle avait plus d’une corde à son arc. Ce Anderson ne le mériter vraiment pas.. Dans l’eau elle finit par se poser derrière toi, ses doigts caresse tes écailles et tu restes silencieux à profiter de ce geste. Ça te détends. Décrispant un peu tes épaules tendues, tu fermes tes paupières quelques secondes avant qu’elle ne revienne face à toi. Tu réponds avec joie à son baiser, la passion t’emporte un peu, glissant tes mains dans son dos frêle et blanc. Tu la pousses un peu contre le rebords avant de mettre fin au baisé.

« - Arrêtons nous la, je ne tiens pas à ce que soyez « déshonoré » pour votre futur mari. Il se retournerai contre vous et à cet instant je ne serais plus défaitiste mais réaliste. »

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